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[ Jamais deux sans trois! ]
by Activista Thursday, Jul. 21, 2005 at 2:34 PM

A l’approche du quatrième anniversaire de l’évènement le plus médiatisé dans l’histoire de l’humanité, les attentats du 11 septembre, les éléments qui contredisent la version officielle s’accumulent implacablement. Focus sur l’effondrement des tours et plus particulièrement de la troisième tour, le « Building 7 ».

[ Jamais deux sans t...
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A l’approche du quatrième anniversaire de l’évènement le plus médiatisé dans l’histoire de l’humanité,
les attentats du 11 septembre, les éléments qui contredisent la version officielle s’accumulent implacablement.

Le fait que certaines des enquêtes soient menées par des intérêts privés ou des groupes citoyens, peut leur conférer un caractère amateur, partisan, parfois même délirant tant les questions qu’elles soulèvent sont effarantes. Et sont dès lors faciles à contrer ou dénigrer par les partisans du scénario consacré par les médias et autres autorités compétentes.

Donc quand des doutes, critiques ou accusations émanent de proches, de membres de l’appareil officiel ou comme ce fut la cas récemment d’un ancien conseiller de bush himself, elles méritent une attention particulière !
Le 12 juin Morgan Reynolds professeur émérite à l’université A&M du Texas et conseiller économique de bush sous son premier mandat publiait une analyse détaillée des attentats.
L’angle d’attaque particulier de cette enquête est l’effondrement des tours et plus particulièrement de la troisième tour, le « Building 7 ». Celle qui plusieurs heures après et comme les jumelles, s’effondrera dans une chute rappelant les nombreuses images de destructions d’immeubles contrôlées auxquelles la télévision nous avait habitué.
Comme le fait remarquer l’auteur : « Il est impossible de nier l’existence du débat scientifique autour des causes réelles de l’effondrement des tours jumelles et de l’immeuble numéro 7. La thèse officielle se contredit elle-même. Seule une démolition professionnelle, contrôlée, peut rendre compte de tous les éléments d’enquêtes avérés, sur l’effondrement des trois buildings »
Ni plus, ni moins ! Au lendemain des attaques les experts en construction et en aéronautique des USA et d’ailleurs, s’interrogèrent sur la validité des explications données.

Le choc provoqué par la tragédie, le recueillement directement suivit par la vague de paranoïa et les diverses restrictions des libertés postposèrent de fait, aux Etats-Unis du moins, toutes réflexion de fond ou toute publication allant à l’encontre de l’Official Version.
Un mandat plus tard la donne a changé et les langues se délient . Pour prendre la mesure de l’enjeu il suffit de citer encore ce même ancien collaborateur du président :
« Si les trois grattes-ciels d’acier du World Trade Center se sont bel et bien effondrés par une démolition contrôlée, alors l’hypothèse d’une conspiration interne et d’un attentat gouvernemental contre le peuple américain serait incontestable ».

D’emblée il est révélateur de constater qu’une grande partie du public qui fut pris à témoin en boucle jusqu’à saturation, a souvent oublié le troisième effondrement. C’est que les médias ont pour la plupart suivit la volonté officielle voulant que certains aspects étaient nettement moins dignes d’intérêt que d’autres, tel la « Tower7 », l’incendie de la bibliothèque du congrès ou encore les images prises par une caméra de surveillance du pentagone. Dans ces trois épisodes, entre autres, les seules images disponibles, voir même malencontreusement autorisées provoquent un doute légitime dès la première vision.
Si dans le cas des deux premières tours l’impact des avions, l’explosion et l’incendie provoqués peut raisonnablement convaincre le témoin et le téléspectateur, dans celui de la troisième l’explication officielle justifiant la destruction par les secousses, la propagation du feu, la présence de carburant, etc., présente beaucoup de non sens et de zones d’ombre.

Commençons par signaler un fait dont l’omission coutumière ne peut être innocente, le « WTC 7 » abritait au moment de sa destruction une série d’institutions financières certes, mais surtout plusieurs agences gouvernementales de renseignements. CIA, IRS, SEC, Secret Service, dont le bureau clandestin de la CIA à New York et la division du renseignement chargée de surveiller l’armée et l’industrie de l’armement états-uniennes.
Et plus particulièrement le centre de crise, fraîchement rénové et équipé en bunker urbain, destiné à faire face à l’éventualité d’un scénario catastrophe comme celui qui eu lieu ce jour là, précisément ! Sa destruction comme celle des autres étages provoquant au sein des services spéciaux un chaos rendant difficile toute réponse appropriée au évènements en cours …
Focalisons-nous sur ce troisième effondrement : les images nous montrent un troisième chute verticale, mais ici point d’avion, ni d’explosion. Juste quelques secousses largement en-deçà du seuil de résistance prévu, un incendie et la présence d’un réservoir de diesel.
Depuis les attentats nombreux sont les physiciens ou spécialistes en construction qui publient différentes analyses rappelant d’une part que ces conditions extrêmes et exceptionnelles (explosion, incendie et même impact(s) d’avion(s)) font, partie du cahier de charge des concepteurs et constructeur de tels bâtiments ; d’autre part qu’elles n’expliquent ni la destruction des tours, ni la manière même dont elles se sont effondrées c’est-à-dire toutes les trois sur elles-mêmes, à la manière d’une destruction assistée par explosifs. Si dans leurs chutes les tours une et deux ont sérieusement endommagé les édifices voisins, il est intéressant de noter que sur trois, pas une ne se soit couchée, même partiellement.

Rappelons aussi qu’auparavant et depuis, jamais un incendie n’eu raison de tel tour d’acier et de béton, le triste exemple de la tour Windsor à Madrid est là pour nous le rappeler.
Il est aussi troublant d’apprendre que tous les experts en bâtiments ou explosifs, enquêtant sur les destructions étaient systématiquement écartés et subissaient diverses pressions des autorités comme le rapporte Reynolds.
Et comment ne pas se poser de question quand on découvre que les débris des tours ne furent pas seulement évacués mais que le béton fut pulvérisé et mélangé à la terre aussi vite que possible, le métal vendu en Chine et en Inde en dépit des protestations des familles des victimes et de certains enquêteurs dénonçant l’évacuation des pièces à conviction !

L’effondrement de la tour n°7 et peut-être même des deux principales est un angle d’approche intéressant mais pour quiconque ne dispose pas des connaissances appropriées il est difficile de se faire une idée personnelle. Cette enquête a le mérite de poser des questions pertinentes mais elle ne doit pas pour autant occulter d’autres éléments bien plus accusateurs, car avérés, vérifiés et reconnus par les autorités elles-mêmes :

-Neufs services de renseignements internationaux avaient averti les autorités US de l’éminence d’attaques terroristes utilisant des avions de ligne, deux de ces services précisant même les cibles ! Signalant aussi la présence probable des terroristes sur le territoire des USA.

-Le FBI et d’autres services de sécurité signalèrent dans des rapports alarmant mais sans suite, la présence « anormalement élevée d’arabe étudiant le pilotage » et « soupçonnant une cellule ben laden » ou réclamant des mandats tous refusés !

-Le 11 septembre même, malgré tous ces avertissement et contre la volonté des gradés, Dick Cheney organise - sur la côte ouest - un grand exercice de simulation d’attaque terroriste utilisant des avions de lignes qui mobilise une grande partie de l’US Air Force!


Et ce n’est pas tout, car grâce à la magie cathodique et particulièrement en cette journée qui va marquer notre quotidien, tout devient possible !
Un jeune homme de 24 ans passant avec peine son examen de mono-moteur devient un as du Boeing. Réussissant sans coup férir une manœuvre défiant les lois de l’aéronautique : plongeant de plus de deux milles mètres d’altitudes il récupère un 747 à quatre mètres de la pelouse pour l’encastrer dans un immeuble de quatre étages.
Sans bien sur laisser de traces, ni sur la pelouse, ni carlingue, ni débris mais néanmoins aucun problème pour identifier les passagers : cherchez l'erreur!
Ce même immeuble qui s’avère être le quartier général de la première puissance militaire mondiale, protégé par une base aérienne en alerte constante, équipé des systèmes anti-aérien et anti-missiles les plus performants qui soient, capable d’intercepter des cibles bien plus rapides et moins évidentes qu’un avion de ligne, cette place forte si l’en est une, devient cible facile et sans défense !
Et si cela ne vous suffit pas rappelez-vous que le passeport identifiant le chef des terroristes, échappant miraculeusement du brasier voleta tranquillement pour atterrir au pied d’un honnête agent du FBI !

L’intérêt de poursuivre les enquêtes sur le 11 du 9, de les divulguer est évident, vu ses répercussions, la manière dont il sert d’alibi, au nom des victimes directes et indirectes, assassinées le jour même et depuis il est urgent de lever les doutes.

Et il est tout aussi évident que ce qui pourrait être la plus grande manipulation -même partielle- de l’histoire des médias, deviendrait alors le talon d’Achille de l’administration bush !


(Un article précédent traite des aspect avérés concernant les attaques et particulièrement de leur genèse, démontrant qu’au delà des dysfonctionnements, un groupe identifié a « laissé faire » les terroristes, pour le lire cliquez ici.)

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Erratum!
by Activista Thursday, Jul. 21, 2005 at 4:58 PM

C'est bien l'annexe de la maison blanche et non la bibliothèque du congrès qui brûla le 11 sept!

Fausse manœuvre la version postée n’est pas la définitive et corrigée !
Veuillez accepter mes excuses virtuelles !;)