Argentine : une centaine d'arrestation by fab Wednesday, Sep. 01, 2004 at 5:39 PM |
Une manifestation a dégénérée en affrontements qui ont fait 8 blessés et une centaine d'arrestations.
Mardi 31 août 2004, une manifestation était convoquée pour la libération
des 22 prisonniers politiques et la fin des poursuites judiciaires pour
4000 militants à niveau national. Au même moment se trouvait dans le pays De Rato, le directeur général du FMI qui devait se réunir avec le président Kirchner.
Les manifestants se sont retrouvés Place de Mai (siège du palais
présidentiel) et ont renversé les barrières de sécurité qui séparent la
place en deux, se retrouvant du même coup pratiquement à la porte de la Casa Rosada. Peu de temps après, quelques organisations, Quebracho à leur tête, décidèrent de brûler des pneus à la porte du ministère de l'Economie
(sur un côté de la place de mai), endroit où se trouvait réunit
l'espagnol de Rato et le ministre de l'économie Lavagna. Ce
qui a donné lieu à quelques échauffourés avec les forces de l'ordre.
Ensuite, l'intervention des pompiers à donné lieu à des affrontements. Les policiers ont utilisé des gaz lacrymogène et des balles de caoutchouc. 38 personnes ont été prises au piège dans le métro dans lequel la police a tiré des gaz, les trains ont été arrêtés et les manifestants ont été arrêtés sur les voies du métro.
Le bilan de la jounée est lourd : plus d'une centaine d'arrestations et
huit blessés. A priori, les charges ne permettent pas une libération
immédiate et les arrêtés risquent jusqu'à trois ans de prison.
Le paradoxe du jour est qu'alors que le mot d'ordre principal était
libération des détenus politiques, il y en a 100 de plus !!!
Une manifestation est prévue vendredi.
paradoxe by liberté Wednesday, Sep. 01, 2004 at 7:30 PM |
un paradoxe qui n'en est pas un. à NewYork egalement les arrestations de masses se poursuivent. on y voit même des quidam, qui n'on rien à voir avec la manifestation se faire encercler et arreter en groupe (de gens ne se connaissant ni d'eve di d'adam) par la police qui les prends pour simplement avoir ete là "ou il ne fallait pas".
Il faudrait evidement que la manifestation perdure jusqu'a ce que tout le monde se fasse arreter ou blesser.
A chaque fois, la police gagne d'un cheveux parce que la foule n'est pas prete à aller jusqu'au bout avec des methodes. en gros, le groupe de tête des manifestant se fait "latter" et arreter, tandis que l'arriere s'ennuie (ne sait pas ce qui se passes devant) et abandonne vite la place.
au lieu de trouver des systemes de relais et de fluidification. c'est notre masse qui fera la difference, mais c'est egalement notre intelligence qui fera pencher la balance et sauter les verrous.
ce 29 Aout, il y avait 500 000 manifestants pour ... 10 000 policiers.
heureusement qu'il s'agissait de defiler pacifiquement... :)