arch/ive/ief (2000 - 2005)

La quantité des gens mobilisées, partout en essayant d’amélioré leur qualité de vie ou en participant pour la solution de celle-ci. En proposant d’autres relations de pouvoir, d’autres relations économiques, d’autres relations entre élève et professeur et tu vois qu’il y a une différence dans le passé et maintenant.

Chávez est une personne comme nous tous, une personne que comme tous les révolutionnaires du monde allons vers la transformation et bien, de cette façon était-il, moi, toi et tous les autres dans touts les endroits dont nous sommes passaient et nous savons rencontrait des gens, des collectifs qui sont dans cette voie là. La différence au Venezuela est qu’il y a l’Etat ou bien le Gouvernement Révolutionnaire au quel il faut lui faire révolution touts les jours pour l’épurer, pour le nettoyer, pour qu’il se comprenne lui-même et ils comprennent la dynamique populaire, pour laquelle il est là et c’est sa fonction de travailler pour les gens, avec le peuple.


Dans le concret sont les comités, les organisations, les comités urbain, les comités ruraux, les tables d’eaux, en fin, les différentes formes d’organisations populaires qu’ont commençaient avec c’est processus révolutionnaire, en plus, la diminution de l’analphabétisme, l’opportunité de l’enseignement à une quantité des jeunes qui leur future était simplement le travail et pas les études, et la quantité de personnes qui avait abandonnaient leurs études et qui les ont reprit les gens de la rue entre délinquants et voyous qui sont trouvaient leur place dans les forces armées qui les a donnait une place dans la société. Avec la mission « vuelvan cara » beaucoup des sans emplois ont un travail, les formations des coopératives, il y a quatre projets de Métro, on construise des trains dans tout le pays, il y a beaucoup des projets concrets qui existent, on voit l’intérêt pour la transformation. Parallèlement à ça, il y a les gens, que via les ministères, font pression pour que le l’Etat agisse et qu’il accomplisse sa fonction d’aide ou de médiateur et pour donner les outils pour le développement dans tous les niveaux…

Ce que nous sommes entrain de faire fait aussi partie de çà. Nous avons dû lui faire savoir au ministère de la culture que ce que nous faisant été nécessaire et qu’eux devaient continuer pour massifier cette expérience dans la peinture, la poésie, etc. en plus des députés, des intellectuels, que Venezuela se connecte à d’autres peuples. Et à travers de l’art, de la culture, des racines de chaque peuple pour montrer ce que nous sommes et travailler ensemble. Tous cela montre que « oui » il y a une avance, une transformation de ce qui se passe au Venezuela est vraie et le 15 août 04 démontre le « avant » et « l’après. »

Le peuple demande la radicalisation du processus, le nettoyage des institutions, le nettoyage des maisons communales, des ministères, du gouvernement. C’est à dire que le peuple a assumait qu’on ait en révolution, donc l’Etat ne peut pas rester immobile, mais il doive s’adapter aux nécessités du peuple.



La constitution dit qu’à la moitié du mandat du président, si ont obtiennent un 20% de signatures qui ont voté pour le président il y a un référendum.



C’est le gouvernement qui crée ce référendum ?
Oui, c’est exact dans l’année 99 par Lozada, et par le même gouvernement qui doit être ré-légitimé et gagne la révolution et il continu. Pour moi, c’est une figure géniale parce que si Chavez sort du gouvernement et le prochain présidant ne continue pas dans la voix qui à était initier dans la moitié du mandat : référendum. Et non seulement le présidant mais aussi les bourgmestres et gouverneurs. Avec ce processus le peuple a prit tellement de pouvoir qu’il est très difficile que d’à haut dans un ordre sans que le peuple réagisse automatiquement. Avec tellement des pratiques de démocratie on a récupéré l’Etat à nouveau, l’Etat de Droit, on a résistaient à la grève pétrolière, ils ont récolté des signatures, il y a un référendum, il y a des élections pour les bourgmestres et des gouverneurs. Cela dit, une pratique démocratique et une pratique d’organisation populaire car on voit que les parties politiques perdent pouvoir ou perdent l’espace et l’espace est-il reprit par les secteurs populaires. Donc c’est une réalité bien présente et vers ceci est dirigée la politique du gouvernement, de l’Etat. Vers la création des organisations alternatives, et que le pouvoir de l’Etat soit bien présent, mais le pouvoir est du peuple.