arch/ive/ief (2000 - 2005)

Vénézuela, une démocratie participative.
by Mauricio Wednesday, Aug. 04, 2004 at 5:57 PM
huitobxl@yahoo.es Photo by Jo

La République Bolivarienne du Venezuela continu sa révolution pacifique avec une vraie démocratie participative dont le peuple est un acteur important dans les décisions en faveur de leur bien-être. Le pays se construit une image révolutionnaire qui peu à peu s’amplifie vers les différentes organisations alternatives latino-américaines pour qu’un jour les peuples opprimés se relèvent contre ceux qui s’enrichissent et qui les exploitent.

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Mon nom est German Gonzalez, je suis colombien l’organisation dans la quelle j’appartiens est la fédération nationale syndicale unitaire agricole FENSUAGRO. C’est une organisation corporative dont ils font partie des syndicats de l’agro-industrie, comme par exemple de banane, de la palme d’huile, des fleurs d’exportations qui viennent en Europe, mais aussi des petites et des moyennes propriétaires et des paysans sans terre, c’est à dire, un ensemble des organisations qui ont des commissions internes pour chaque activités. Dans cette organisation il existe aussi une commission de la femme, de la femme rurale, et aussi une commission nationale qui est chargé du développement du problème de la femme en tant que tissu social. Donc c’est une organisation qui lutte pour une réforme agraire démocratique, se batte pour les droits humains, pour des meilleurs salaires et pour une stabilité aux ouvrières de l’agriculture.

C’est une organisation qui en plus d’être l’union du tout le secteur agraire a une affiliation en toute l’Amérique latine que s’appelle CLOC et dont ils font partie touts les pays de l’Amérique latine et du caraïbe au niveau rurale, et qui le 16 juin 2004 il y a eu une réunion mondial à Sao-Paulo, Brésil.

Celle-ci est notre organisation et nous sommes ici pour des problèmes politique comme réfugier politique, mais nous tenant contacts toutes les semaines et nous échangeons de la documentation avec l’organisation et nous nous s'organisant pour la solidarité vers les paysans et la société civile dans son ensemble, au peuple colombien, surtout les exploités.

Nous séparant notre posture de ceux qui détiennent les intérêts, et pour cela ils nous persécutent, les propriétaires des entreprises, les propriétaires de la terre ; ceux qui ont le pouvoir et qui poursuive les personnes que pense différemment pour une meilleure vie ou pour un pays différent, qu’il y ait une justice sociale pour tout le peuple colombien. A partir de là, notre travail syndical est une perspective globale, par exemple la révolution Bolivarienne du présidant Chavez est un acte qui nous semble très important, surtout comme nous le connaissons, qui a été un militaire qui a été arrêté à cause des ses tendances sociales et ses positions par apport à son peuple. Dans cette conception ils sont en train de développer entre autre une reforme agraire, la distribution de la terre pour les paysans, la santé qui est très important et dont ils sont créés des postes par le mouvement bolivarien, aussi l’extension du réseau d’eau potable puisqu’ils étaient inexistants dans les alentours de Caracas jusqu’à maintenant, et il y a quelque chausse très importante qui est le plan Robinson qui est précisément l’éducation que consiste à enseigner à lire et à écrire aux plus anciennes et enfants, à tout le monde.

Donc la situation de vénézuela nous semble qu’au moment de se consolidé est un triomphe pour l’Amérique Latine. C’est un fait puisque c’est une expérience et un exemple pour les peuples de l’Amérique Latine. C’est-à-dire que ce qui va ce passer le jour du référendum est qui va gagner sûrement le mouvement révolutionnaire de la république de Vénézuéla mais qu’il y a, aussi des risques. L’opposition est très forte et en même temps elle est liée avec l’impérialisme Nord-Américain, avec les monopoles, pour cela nous devons prêter la meilleure solidarité possible depuis l’Europe vers le mouvement Bolivarienne que, je répète, est un espoir pour les peuples de l’Amérique Latine.

Ils nous ont dites, des gens de la même opposition, car il y a de port-paroles et ça ont la sue maintenant à « Lion » qu’il y avait des gens qui venait de Vénézuéla, et ils estimaient que le mouvement bolivarien aller avoir un minimum de 15%, donc c’est la même opposition qui admet qu’ils vont perdre. Ça veut dire que ce mouvement a les appuis du peuple et des paysans et des villes.

Il y a des organisations qui travaillent fortement en Vénézuéla, avait vous des contactes avec elles ?

Bien sur, avec la coordination Samora qui est l’organisation agraire nationale créée dans ce gouvernement et aussi avec des associations des femmes et les associations des jeunesses agraires dont on a aussi des relations et les instituts que précisément comme je disais en octobre on a pu discuter avec des différentes organisations et maintenant on maintien les contacts via l’Internet et sa nous permet d’être plus ou moins informés par rapport à ce qui se passe dans la réalité vénézuélienne.

Les gens dissent qu’il faut soutenir le processus, qu’il faut soutenir le présidant Chavez parce que c’est une conquête très importante.

Une chausse qui m’a étonnai c’est la démocratie. Les gens peuvent dire ce qu’ils pensent, ils peuvent dire au gouvernement ce qu’il doive faire par rapport à des réformes et des réclamations très sérieusement aux institutions et ils les obligent à y aller dans les régions et le présidant soutien cette attitude populaire. C’est-à-dire que, pour moi c’est une vraie démocratie puisqu'ils donnent la possibilité pour que les gens donne son opinion de façon à consolider ses propres organisations. Par exemple : j’y participais à une assemblée nationale, et les critiques qu’ils fessaient contre le directeur de l’organisation qui est chargé de faire la réforme agraire à causse que dans cet état on ne fessait rien ou parce que les projets étaient très lents et a ma surprise le troisième jour il a eu une réception au palais Miraflores, qui donnait le présidant Chavez pour les dirigeants de « vidas campesinas » de ce secteur et il était informé et très contant que les gens puis critiquer le gouvernement de la lenteur des reformes. Donc c’est une magnifique opinion que j’ai eue de cette expérience de démocratie.

German Gonzales
by Mauricio Wednesday, Aug. 04, 2004 at 5:57 PM
huitobxl@yahoo.es Photo by Jo

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