arch/ive/ief (2000 - 2005)

Prisonnières Politiques au Chili
by Mauricio Sunday, Aug. 01, 2004 at 2:53 PM
huitobxl@yahoo.es

Reprise de la grève de la faim pour la liberté des tous les Prisonnières Politique du Chili.

audio: MP3 at 3.3 mebibytes

Bonjour, je m’appel Miguel Peña du collectif « Rodriguista », mais en réalité j’appartiens aussi à une coordination des organisations dont le Centre Culturel Sub-Terra, le collectif contre l’impunité, ARLAC, Simon Bolivar. Il y a plusieurs collectifs qui travaillent pour ce causse (pour les prisonnières politiques).

En premier lieu il faut se rappeler qu’en virant un mois avant, plus au moins ce finit une grève de la faim a prêt 74 jours. Cette grève avait comme objectif demander une loi de grâce présidentielle que c’est une loi qui a était offerte de la part du gouvernement à 32 prisonnières politiques car ils considéraient qu’ils sont déjà passait plus des 10 ans en prison, et même du secteur de l’appareil judiciaire affirmait qui ont été mal jugées comme le ministre Cumplido, qui a été un de promoteur d’une loi pour juger les prisonnières politiques. Face à cette faut juridique, puisqu’ils ont été jugés par un tribunal militaire et aussi par un tribunal civil le gouvernement donnait l’opportunité a travers cette loi a quelques prisonnières politique qui devait être acceptée au parlement ou au sénat pour c’eux qui avaient accompli plus des 10 ans.

La grève finalise 74 jours après au Chili et le lendemain fonts les votations au sénat mais celle-ci est négative puisqu’il n’y a pas de cuorum nécessaire à cause que la droit s'est opposé à ce que les prisonnières puisent sortire en liberté. Deux semaine plus tard au sénat et pour manque des trois votes de la concertation, du gouvernement chilien est empêchait, encore une fois l’application de cette loi.

À cause de cette nouvelle décision négative deux des prisonnières politique qui se trouvent en traitement intensif dû a la grève dont ils viennent de finir et qui sont sorties affaiblis, décident la reprise de la mobilisation, en tenant comptes leur état critique de santé, comme les problèmes au cœur et des séries des maladies en conséquence de cette grève. Aujourd’hui ils reprennent la mobilisation dans un état critique et ils sont déjà a sa première semaine plus au moins avec des examens approfondis pour contrôler leur état de santé.

Ce que nous attendant maintenant c’est que ce mardi trois août ils verront au parlement à nouveaux, spécifiquement à la chambre de député, la loi de grâce.

La concertation et le gouvernement ont promit de donner ce bénéfice aux prisonnières, mais depuis plus d’un an que cette loi n’a pas était accordée. Nous attendant et exigeons que le gouvernement accomplissent ses promesses et c’est pour quoi nous manifesterons ce lundi 2 à cinq heurs de l’après-midi en face de l’ambassade du Chili pour exprimer notre malaise et exiger l’application de cette loi et en même temps nous exigeons l’application de la loi de grâce présidentielle pour les deux prisonnières politique que se trouvent dans un état de santé critique et que le gouvernement peut leur donner sans passer par le parlement.