arch/ive/ief (2000 - 2005)

Des paysans de Caraparí sont arrivés à la La Paz.

Marcheurs demandent d'annuler le contrat avec Petrobras

Le rapport de Francesco Zaratti Jorge est une insulte à l'intelligence, a affirmé Arias, qui s'est déclaré hier en grève de faim.

La marche des 70 paysans de la localité de Caraparí, Grande province Chaco du département de Tarija, après parcourir 1.500 kilomètres est arrivée hier à la ville de la La Paz, au milieu des échantillons sympathie et solidarité de la population paceña.

La marche de 44 jours exige l'annulation des contrats de risque partagé avec l'entreprise Petrobras du Brésil, qui exploite actuellement des hydrocarbures des puits de pétrole de San Alberto et d'autres de cette zone pétrolière.

"Nous sommes arrivés à l'objectif mais n'avons pas atteint encore l'objectif qui est la récupération des hydrocarbures pour le peuple bolivien, c'est pourquoi nous ne nous irons pas jusqu'à l'obtention de nos demandes. Nous ne sommes pas ici pour une promenade ", a affirmé ici le représentant des marcheurs, Jorge Arias, celui qui a conduit le mouvement qui a commencé le 30 mai, dans la localité Pajoso - de Tarija.

Ce qui est marcheurs au cri "de force, force la lutte est dure, mais nous vaincrons ", "o fusil, mitralla le Chaco ne se calla" et en portant des pancartes avec des légendes comme "le Chaco présent. Le gaz est de est boliviens ", sont arrivé au centre urbain du siège de Gouvernement approximativement à 13.00 heures.

Les dirigeants de la Centrale Ouvrière bolivienne (COB) à la tête le secrétaire Général, Luis Choquetijlla, et de la Centrale Ouvrière Régionale (COR) de El Alto, dirigés par Robert de la Cruz et d'organisations et d'organismes comme l'Université Publique de El Alto (UPEA), et du Conseil départemental des résidents des 20 provinces du département de la La Paz, et de d'autres, se sont ajoutés à la marche qui a venait de l'urbe alteña envers le centre urbain paceño.

"Ni les pétrolières peuvent affaiblir cette marche parce qu'elles nous ont vues partir depuis Tarija avec escorte policière, mais les meilleurs témoins sont les transporteurs qui ont vu comme nous avons marché pas à pas les 1.500 kilomètres, en traversant des routes difficiles et en supportant les rigidités du temps et la faim", ont exprimé quelques-uns de marcheurs, à propos des versions qu'ils ont rendu compte que dans le parcours les marcheurs ont été aidés par des véhicules.

"Ceux qui sont nés dans le lieu nous avons été des témoins dont le puits de San Alberto il a été découvert par des Gisements Pétrolifères Fiscaux boliviens (YPFB) en 1990, et de la capitalisation et la signature du contrat avec Petrobras", a affirmé aussi le représentant de ce groupe, Jorge Arias, celui qui préside la Commission de l'Environnement de la Commune d'Yacuiba.

Par la lettre ouverte et publique que nous lui avons envoyé au président, Carlos Tire Gisbert, nous présentons comme témoin à charge à l'ex mandataire du pays, Jaime Paix Zamora, parce que dans sa gestion il a été découvert et a inauguré les opérations du puits San Alberto, il a rappelé des Aryens.

À propos du rapport récent du délégué présidentiel pour la Révision et l'Amélioration la Capitalisation, Francesco Zaratti, sur la situation du puits San Alberto, Aryens a soutenu, ce dernier est constitué dans une insulte "pour l'intelligence de ce qui est boliviens". La Loi de la Capitalisation des entreprises stratégiques comme Gisements Pétrolifères Fiscaux boliviens (YPFB), Entreprise Nationale de Télécommunications (Entel), et d'autres, a été promulguée par l'ex président Gonzalo Sánchez de Lozada (1993 - 1997).

ENVIRONNEMENT

Dès que les dommages environnementaux, au moins trois marcheurs consultés par EL DIARIO, ont été d'accord pour affirmer que Petrobras explore les gisements pétrolifères de San Alberto sans respecter l'environnement.

"Les déchets qu'ils produisent les envoient directement à la rivière San Alberto, qui passe par la zone. Cette eau n'est déjà pas apte pour la consommation. Il donne de la peur donner de boire jusqu'aux vaches, ni que dire des dommages qu'on ait fêtent aux poissons, ils ont pratiquement disparu ", il a affirmé le René marchant Camargo.

Une autre personne de Caraparí, qui a préféré l'anonymat par crainte aux représailles de Petrobras, a affirmé que ni le Maire ni le Sub-prefet et aucune autorité d'Yacuiba ne font rien pour freiner les dommages contre l'environnement. "Ils sont achetés par l'entreprise c'est pourquoi ne disent ni font rien", il a manifesté.