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Après les événement et les mesures des Etaits Unies contre Cuba
by Mauricio Tuesday, May. 18, 2004 at 7:15 PM

Conférence de press

Conférence de press de l'ambassadeur de Cuba.
Lundi 17 mai 2004, Bruxelles.

Le 6 mai 04, le gouvernement des États Unies a approuvé un ensamble des mesures contre Cuba, c'est le résultat du travail d'une comission que les États Unies ont organisée spécialement de façon à etudier le sujet de comment organiser ce qu'ils appellent " la transition " à Cuba. Ces mesures je les décrirai dans trois groupes :
1. Il y a des mesures déstinées à devenir plus fortes, a faire que le blocus économique contre Cuba sois plus dure encore, et ont envisagé d'apliquer l'article 3° de la loi Helms-Burton, que jusqu'à présent son aplication a était suspendues .
2. D'autre mesures qu'ils sont plustôt destinées à soutenir la subversion à Cuba, cet à dire, des mesures de soutien aux radios et télévisions subversives et soutenir, aussi, les groupes d'oppositions, évidemment avec de l'argent.
3. Et le troisième groupe des mesures qui vont en détriment des contacts entre Cuba et les États Unies, cet à dire, les visites de cubains-americains qui aujourd'hui peuvent rentrer à n'importe quels moment passeront seulement à trois fois par an et uniquement pour les personnes qui ont des liens dirécte, famille proche à cuba. Aussi diminueront les niveaux de ressource économique que chaque Cubains-americain pourrait envoyer à ces familles et endurcir les restrinctions pour les voyages de nord-americains vers le Cuba, cet à dire un citoyen americain, pour pouvoir aller vers le Cuba doit être en possetion d'un autorisation, mais s'il n'a pas cette autorisation.... il peut reçevoir une ammende et sur tout il pourrait avoir une peine de prison.

Le gouvernement de Cuba a déjà fait une déclaration, et qu'il examine point par point et il les rejette.

Il y a des mesures dans lesquelles je n'ai pas fair des références et qui sont simplement ridicules par exemple : on dit qu'une fois entamée la transition le gouvernement des Etats-Unis soutiendrait le nouveau gouvernement et une des choses qu'il fera serait de vacciner touts les enfants cubains.....
......il arrive que dans le cas de Cuba l'indice de vaccination, reconnu par les Nations Unies est un des plus hauts dans le monde, cet à dire, ils abordent des décisions vraiments ridicules.

En tout cas, en outre, ces déclarations qu'il a été fait par le gouvernement de Cuba, après qu'il eut connaissance de ces mesures...
... il y a eu, vendredi passé, une manifestation de cubains dont on calcule que plus d'un million de personnes ont défilé face aux bureaux d'intérêts des USA en exprimant son rejet à ces mesures. Cette manifestation a était présidée d'une brève intervension du président Fidel Castro, dans laquelle il s'est adresse directement à Bush et finalement lui a fait savoir qu'en cas où il serait décidé par les USA à donné une agression militaire à Cuba, il sera avec le peuple cubain dans la première ligne pour défendre notre pays. Nous ne pouvons pas parler à l'heure actuelle qu'il y ait une imminence d'un agression militaire, mais il est évident que tout ce programme est destiné à bouleverser l'ordre au Cuba et à démolir le gouvernement légalement instauré dans notre pays.

Q :Porquoi punir précisémente, les cubains qui sont ceux qui envoient de l'argent à ses familles et qu'ils aident aussi à l'économie cubaine ? bien entendu, les mesures sont de Bush ?

R :Il y faut demander aux américains. Je pense que les mesures annoncées attentent contre les droits humains de trois groupes de personnes : les cubains qui vivent à Cuba, que comme vous dites, il y a des parents qui reçoivent de l'argent et en plus qu'ils sont des familles qui se réunissent fréquemment dans des voyages à deux sens. Il punit aussi aux cubains-américains, cet à dire, à ceux qui vivent aux Etats-Unis comme vous dites, on lui restreint les possibilités d'envoyer de l'argent, on lui restreint les possibilités à eux de pouvoir voyager et aussi américains même, puisque devient plus dure les possibilités de voyager à Cuba. Seulement ceci, par exemple : si un scientifique cubain écrit un article et il veut le publier dans une revue spécialisée aux Etats-Unis cela n'est pas possible, il ne peut pas être fait, il est intérdit , si un artiste cubain reçoit un prix grammy et qui doit voyager aux Etats-Unis pour recevoir ce prix il ne peut pas, parce qu'ils ne lui donnent pas le visa, c'est tout un schéma qui évite le contact entre les peuples. Je ne sais pas à qui ils craignent ? Si nous sommes tellement mauvais comme ils disent ils pouvaient laisser que les gens voient par eux même, non ? Mais il paraît qu'ils ont la crainte que les peuples soient mis en rapport ou que les peuples ce connaissent.

P : Vous pensez demander de l'aide à d'autres pays pour ce qui est une violation aux droits humains contre Cuba ?

Nous n'avons rien fait jusqu'à présent. Les mesures américaines s'ils incluent un chapitre d'essayer d'attirer à leurs positions à d'autres pays, pose cela explisitamente et une de des quatorze mesures est de travailler avec des gouvernements pour qu'ils soutiennent ce paquet de mesures. Jusqu'à maintenat, aucun gouvernement ne l'a fait. Quelques un l'ont déjà rejeté, mais jusqu'à présent, aucun lui a soutenu ces mesures. Parce qu'ils sont évidemment des mesures d'ingèrences, mesures qui cherchent provoquer des problèmes.

En ce qui concerne le Mexique :.......

....Comme j'ai lu dans la presse, par exemple le président Fox a fait des déclarations.....je ne voudrai pas le commenter... car j'ai ni le texte complet ni la maîtrise du sujet..... Je ne veux pas commenter de ceci.

Sur le blocus :

Il y a presque 45 années du blocus économique à Cuba, ceci nous a provoqué de terribles problèmes de type économique, plus de 75 milliards de dollars on calcule, des pertes seulement par le fait d'appliquer le blocus et qui n'est pas simplement le commerce international.
L'Union Européenne a rejeté le blocus dans les Nations Unies traditionnellement quand on approuvent chaques années une résolution contre le blocus, l'Union Européenne vote en bloc cette résolution, cet à dire que le blocus économique contre Cuba s'arrête.

Sur ces dernières mesures je ne connais pas que l'Union Européenne ait fait une certaine déclaration, je ne sais pas s'il lui rejette aussi... je pense que s'il est conséquent il devrait la rejeter, cet a dire, il va en ligne avec sa position traditionnelle, mais bon jusqu'à présent il ne l'a pas fait.

P. Le gouvernement cubain pense demander ?

Nous n'allons pas démander quoique ce soit à personne. Nous, pensons réellement que chaqu'un a la possibilité de s'exprimer. L'Union Européenne c'est constantement exprimée sur beaucoup de sujets, je pense que dans ce sujet ci, elle devrait aussi se prononcer et rejeter ces mesures, mais bon, jusqu'à présent il ne l'a pas fait.

P. L'attitude du gouvernement mexicain. Qui, d'une part rejette l'embargo à Cuba et d'autre part il soutient l'envoi d'un rélateur de la commission de droits humains des Nations Unies.

Bon celui-là est un sujet qu'il faut demander au gouvernement du Méxique, un sujet que je ne voudrais pas commenter beaucoup si ce n'est que les relations entre les deux peuples sont des relations indestructibles et nous nous avons réellement senties mal dernièrement par les événements qui sont arrivé avec les relations entre les deux gouvernements. Nous espérons que ceci on puisse le résoudre, mais celle-ci on laisse entre les mains des autorités mexicaines. Récemment le gouvernement du Méxique a décider de retirer son ambassadeur du Cuba et a demandé à l'ambassadeur cubain qui retourner aussi à La Havane, dans 48 heures. Ça a réellement été un fait d'une mesure sérieuse, grave et nous espérons que le gouvernement méxicain donnent quelques pas pour contribuer a régulariser la situation, c'est-ce que je peux dire. Mais logiquement, comme je disais, nous nous sentons vexé ou tristes mais très sûrs de l'amitié qui existe entre les peuples du Méxique et Cuba.

P : Que pas devraient donner le Mexique pour améliorer cette situation ?

Non, non. Je serais incapable de dire au gouvernement méxicain ce qu' il doit faire ou pas, ni personne. Mais c'est évidemment un problème qui a surgie de ce côté là et doit être commencé à être résolu du même côté. Le ministre cubain de relations extérieures l'ont sûrement vu et a donnés spécifiquement une conférence de presse sur le sujet du Méxique, à savoir, le sujet des relations entre Cuba et le Mexique après de cettes mesures et je leur demande de vous diriger vers là parce qu'il donne des éléments et il explique des choses que je ne pourrais pas expliquer les, puisque ce n'est pas mon sujet.

P : Vue comme ils sont les relations entre Cuba et le Mexique, le Monsieur Fidel Castro va assister au sommet de Guadalajara ?

Le Monsieur Fidel Castro, président de Cuba, il est invité officiellement par les autorités mexicaines au 3°sommer d'Union Européenne et Amérique-Latina qui va avoir lieu à Guadalajara. C'est une invitation qui comme dans tous les événements de ce type serait prise avec le sérieux nécessaire par nos autorités, mais encore il n'est pas défini qui assistera.

P Comme vont-ils les relations avec l'Union Européenne ?

Bon, les relations avec l'union Européenne, ils sont un peu affécté. Cuba a donné sa position tres claire, Cuba n'accepte pas que l'Union Européenne ni personne prétend lui dire comme doivent être les choses au Cuba. C'est un sujet que doivent définir les cubains.
L'Union Européenne a prisent l'année passée une série de mesures que vous les connaissez, et nous pensons que le premier pas est de commencer à rectifier ces mesures. Personne n'a le droit de jusgar à Cuba bien au contraire sanctionner.

P :Le changement de gouvernement en Espagne peut influencer les perspectives avec l'Union Européenne ?

R :En réalité nous ne prenons part dans la réunions portes fermées des européen mais, bon, ici nos amis européens ils parlent de ces choses et est indiscutable que le Monsieur Aznar a joué non seulement dans cette dernière étape mais pendant toute son étape face au gouvernement espagnol un rôle négatif, un rôle destiné à créer des problèmes entre Cuba et l'union Européenne. Aznar a été le père de la position commune sur, selon un exercice unilatéral et sélectif qui fait l'union européenne sur le Cuba et qui en plus il copiés ce qui était dans une lettre du gouvernement des Etats Unies aux gouvernements Européens sur le sujet, cet à dire, que c'est là une demonstration que Monsieur Aznar parlait seulement au nom des USA au sein de l'Union Européenne sur le sujet de Cuba. Mais il est vrais que l'Espagne est un point de référence importante dans l'Union Européenne quand on parle de l'Amérique-latine, les relations historiques, culturelles qui existent entre les peuples latino-americains et le peuple espagnol. Je pense que l'Espagne peut continuer à jouer un rôle, nous espérions que c'est maintenant un rôle positif dans les relations entre l'union européenne et Cuba.

P :Face aux mesures draconiennes où clairement le discours des Etats-Unis n'a aucun déguisement, et que montre ouvertement qui veut déstabiliser le gouvernement cubain, Cuba prenne des mesures estratégiques en ce qui concerne les derniers événements ?

Bon, je ne sais franchement pas. Jusqu'à présent le gouvernement a donné quelques pas internes qu'ils cherchent, fondamentalement essayer d'éviter à la population des affectations économiques suite à ces mesures du gouvernement des Etats-Unis.
Dans le secteur international c'est difficile de prevoir ce qu'on peut faire, il est très difficile de condamner les Etats-Unis au niveau international. Récemment dans la commission de droits humains à Genève, par exemple dans la même scène où se ont approuvaient par un vote la resolution anti-cubaine, qui on a dit qu'il ne condamnait pas, que seulement demandé que nous recevions un observateur mais que Cuba rejette parce que simplement le fait que nous on distingue dans la commission de droits humains comme si à Cuba il y ait des violations massives de droits humains. C'est un exercice que nous concideramos politisé, discriminatoire contre Cuba et que ce qui prétend est de justifier la politique que les Etats-Unis suit contre Cuba.
Mais bon, dans cette même scène Cuba a présenté un projet de résolution sur la situation des prisonniers qui sont dans la base navale de Guantanamo, une base qui est occupée illégalement contre la volonté de Cuba. Il y a là des centaines de prisonniers, résultat de la guerre de l'Afghanistan dans lesquels ils n'ont aucun droit, qu'on ne reconnaît comme prisionnièrs, ni pouvoir obtenir que s'en occupe par des avocat et qu'ils vont présenter des charges contre ces prisonnièrs. Ils sont dans une limbe du point de vue juridique et c'est un sujet qui préoccupe beaucoup, par exemple je rappelle que le Parlement Européen a emis, dans son rapport sur le DDHH face à la commission de droits de l'homme de cette année une recommandation à l'union européenne pour traiter ce sujet des droits humains et condamner là ces pratiques.
En mai on présente ce texte et je peux vous dire que quelques délégations européennes ont dit que c'était un texte très équilibré, très bien extructuré et qu'il reflétait la réalité sur un sujet très préoccupant, toutefois ce texte n'a pas pu aller devant l'Union Européenne elle-même, n'a pas pu le soutenir pour la simple raison qu'il critiquer les Etats Unies, il est alors évident qu'il y a un double patron, une double morale quand on parler de droits humains de tout sujet. Quand il faut critiquer les Etat Unies, donc, les gens parlent plus bas, il ne sorte pas à la presse.....

En ce qui concerne les mesures internes : Il y a une série de mesures que comme je disai, essaye de préserver, je dirai, le niveau de vie de la population dans la mesure qu'il est possible. Il y a toute une série de mesures, toute une série de plans qui étaient prête entamer et qu'on vous garantit qu'il continue les plans d'appui à la santé, à l'éducation, à la culture et qu'ils vont être continués à développer, il y a, aussi des mesures qu'ils tendent à la distribution des biens de première nécessité, les magasins en devises ont été temporairement limitées à des ventes d'aliments, moyens d'hygiène, etc.. Et on a temporairement suspendu, jusqu'à nouvel avis, les ventes de biens moins nécessaires avec l'objectif, je répète, de chercher garantir que l'essentiel arrive à toutes les personnes. Vous savez bien que les devises au Cuba n'abondent pas, cet à dire, non toute la population a accès à ces magasins, une partie a seulement accès à ces magasins. Il y a ici aussi d'autres problèmes qui sont possé sur la table, par exemple les prix du pétrole qui affectent non seulement Cuba mais dans toutes les parties du monde. Un accroissement record durant de nombreuses années et, bon tout ceci nous oblige à réétudier ce sujet et c'est ce que nous somme entrain de faire . Toujours dans le but et l'objectif que la population soit la moins affecté possible.


FIDEL DIRIGE UNE MARCHE GIGANTESQUE À LA HAVANE
Bush manque d'autorité morale pour parler de Cuba


LE président Fidel Castro a affirmé au cours de la gigantesque marche d'un million de Cubains sur le Malecon havanais, ce vendredi, face à la Section des Intérêts des États-Unis,que "W". Bush n'a ni le droit ni la morale pour parler de terrorisme, de droits de l'Homme, ni de liberté et de démocratie.
Fidel a caractérisé le défilé comme un acte de protestation indignée et une dénonciation des brutales et impitoyables mesures proposées par l'administration Bush.
Le leader de la révolution a soutenu que les Cubains ne se rassemblent pas dans un geste hostile envers le peuple nord-américain dont il connait bien les racines éthiques.
Il a affirmé savoir d'avance ce que Bush pense de ceux qui participent à la marche, que ce sont des masses opprimées, anxieuses de liberté, mais il ignore, a-t-il, dit, que ce peuple digne et altier qui a résisté durant 45 ans à l'hostilité, au blocus de la puissance la plus grande de la terre, aucune force ne pourrait le mener comme un troupeau.
Un homme d'État doit savoir, a signalé Fidel, que les idées justes tout au long de l'histoire ont démontré être plus puissantes que la force, et il a indiqué que chaque époque a eu ses idées, bonnes et mauvaises, et celles-ci se sont accumulées mais qu'à cette étape que nous vivons, dans un monde barbare et globalisé, sont apparues "les plus ténébreuses et les plus douteuses".
Il a ajouté qu'il n'existe dans le monde que Bush veut maintenant imposer, de notion d'éthique, de crédibilité, de normes de justice, de sentiments humanitaires, ni de principes de solidarité et de générosité.
Le président cubain a souligné que tout ce qui s'écrit sur les doits de l'homme dans le monde de Bush et de ses alliés est un mensonge colossal et, en ce sens, il a rappelé que des milliards d'êtres humains vivent dans des conditions infrahumaines, sans la moindre connaissance, y compris pour comprendre la tragédie qu'ils vivent.
Il a également fait référence aux millions de personnes qui meurent chaque année de faim et de maladie "dans l'idyllique Eden de rêve qu'est la terre" et au rythme accéléré avec lequel se gaspillent les hydrocarbures.
Le président a affirmé quer l'objectif de ses propos n'est pas d'offenser Bush mais comme celui-ci s'est proposé d'intimider et d'apeurer Cuba, de détruire son système économique, social, son indépendance et son existence physique même, il considère de son devoir de lui rappeler certaines vérités.
Vous n'avez ni la morale ni le droit de parler de liberté, de démocratie et de droits humains quand vous exhibez une puissance suffisante pour détruire l'humanité, quand vous avez ignoré les Nations Unies, violé les droits de n'importe quel pays et mené des guerres de conquête pour vous emparer des ressources.
Le chef de l'État a souligné que Bush ne peut non plus mentionner le mot démocratie parce que son ascension à la présidence a été frauduleuse, ni parler de liberté parce qu'il ne conçoit pas d'autre monde que régi par la terreur.
Fidel a exprimé que Bush accuse de tyranie le système économique et politique qui a conduit le peuple de Cuba aux plus hauts niveaux d'alphabétisation, de connaissances et de culture, qu'il possède une mortalité infantile inférieure aux États-Unis et reçoit gratuitement l'éducation, la santé et d'autres services de grande importance sociale et humaine.
Le dirigeant cubain a affirmé qu'il est risible d'écouter Bush parler de droits de l'Homme à Cuba, un pays où 45 ans de révolution n'ont pas vu une torture, un disparu, un escadron de la mort, d'exécutions extra-judiciaires ou de gouvernants qui se soient faits millionnaires.
Il a réitéré que Bush manque d'autorité morale pour parler de Cuba et a affirmé qu'il agresse ce pays pour des raisons politiques mesquines à la recherche d'appui électoral d'un groupe de renégats, de mercenaires, d'anciens batistiens et leurs descendants.
Il n'a pas non plus de morale pour parler de terrorisme, a-t-il continué, parce qu'il est entouré d'un groupe d'assassins qui, avec des actes de terrorisme, ont causé la mort de milliers de Cubains.
Il a dénoncé que Bush ne dissimule pas son mépris pour la vie humaine parce qu'il a ordonné la mort extra-judiciaire d'un nombre gardé secret de personnes dans le monde.
Fidel a précisé que Bush n'a que le droit de la force brutale pour intervenir dans les affaires de Cuba et proclamer la transition d'un système à l'autre.
Il a prévenu que le peuple cubain peut être effacé de la face de la terre mais non subjugué ni soumis à la condition humilliante de néo-colonie des États-Unis.
Il a affirmé que les êtres humains ne connaissent ni peuvent connaitre la liberté dans un régime d'inégalité comme celui des États-Unis et il a rappelé que la seule égalité dans les ghettos noirs et les réserves amérindiennes est celle d'être pauvres et exclus.
Fidel a dénoncé que Bush "a décidé que notre sort est jeté" et il a salué comme les gladiateurs romains qui allaient combattre dans l'arène: "Salut, César, ceux qui vont mourir te saluent" Mais, a-t-il assuré, dans ce cas Bush serait à des milliers de kilomètres de distance et moi en première ligne pour mourir en combattant à la défense de la patrie.

http://www.granma.cu/frances/2004/mayo/vier14/fidelmarcha.html