Solidarité active et urgente pour les Prisonniers Politique (Chili) by Traduit par Mauricio Wednesday, Apr. 28, 2004 at 12:05 PM |
Tito Medel Vega et Eduardo Asenjo González, deux combattants contre la dictature, actuellement emprisonnés. par Cadre Riquelme
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Tito Medel Vega et Eduardo Asenjo González, deux combattants
contre la dictature, actuellement emprisonnés.
par Cadre Riquelme (*)
Eduardo Esteban Asenjo González (Carte d'Identité : 7.172.003-9), militant du Front Patriotique Manuel Rodriguez (FPMR) arrêté en avril 1986 par la Centrale Nationale d'Informations (CNI), est restée dans l'ex Prison Publique, dans laquelle il s'est enfui en janvier 1990. Depuis ce jour là il se trouvait alors dans la clandestinité. Eduardo Asenjo a été condamné par 12º Tribunal de Santiago - en absence -, seulement en 1997. Il doit accomplir une commdene de 15 années et un jour de prison par l'assaut à l'arsenal "Ricchi", produit dans 1984. Il y a plus de un mois que Asenjo, militant actuellement actif du Mouvement Patriotique Manuel Rodriguez (MPMR) reste emprisonné dans le Module "B" de l'ex-Pénitentiaire et son cas est dans l'attente de la résolution sur la demande de "prescription" faite au tribunal par les avocats Alejandra Arriaza et Federico Aguirre du CODEPU.
Pour sa part, Tito Alberto Medel Vega (66 années), arrêtée le 22 août 2002, est aussi emprisonné dans le Module "B" de l'ex-Pénitentiaire. Il est traité dans la Cause Rôle 818-2002 par le Sixième Ministère public Militaire Santiago, accusé de la supposée infraction "de stockage d'armes feu et explosifs". Dans le recoure de protection interposé dans sa faveur par l'avocat Alejandra Arriaza, il se rend compte du grave état de santé dont il ce trouve, parce qu'il souffre de "diabète melitus" et "insuffisance cardiaque grave". Le Sixième Ministère public lui a accordé dans six occasions la liberté sous caution, à pétition de la défense, mais la Court Martiale l'a niée dans toutes les occasions pour "danger pour la société". Les trois membres des branches militaires de la Court Martiale se sont opposés à la liberté de Tito Medel, tandis que les deux membres civils lui ont accordée. Le Ministère public Militaire a demandé pour Medel - en première instance - une peine de trois années, ce qui rend inexplicable l'attitude de la Court Martiale, qu'il continue à lui nier la liberté sous caution sous prétexte de être "un danger pour la société". Les avocats Alejandra Arriaza et Federico Aguirre, continuent avec les diligences pour obtenir la liberté rapide de ces combattants antidictatoriales. Le fils de Tito Medel, Ernesto Medel Salas il est aussi arreté dans le Module "B", aussi accusaient pour "stockage d'armes à feu et explosifs".
(*) ex prisonnier politique, militant du MPMR