arch/ive/ief (2000 - 2005)

 

Des militaires des Etats-Unis et du Chili sont les gestionnaires d'un coup d'État qui aurait due être mené à bien le 25 mars en Bolivie, mais qui continueraient actuellement à travailler pour déstabiliser le gouvernement de Carlos Mesa.
Ce rapport qui a été repris de la page "The Narco News Bulletin", un " media " chargée de traiter des sujets de démocratie et de guerre, il signale que le plan pour renverser le gouvernement de Carlos Mesa continue en marche et il existeraient même trois plans.
En reprenant un rapport d'intelligence il indique que les objectifs sont celui d'empêcher le Referendum pour définir l'exportation de gaz, l'Assemblée Constitutive, la sanction d'une nouvelle Loi d'Hydrocarbures et d'obtenir la sortie du gaz par le Chili.
En accord avec ce qui est repris par le rapport, les préparatifs pour porter un coup d'État auraient pour but de fond "de provoquer la réaction des forces sociales et de créer le chaos et la confrontation interne", en justifiant de cette façon l'interventions de troupes Chiliens, soutenus par des marines, pour "pacifier" le pays et en même temps éliminer les mouvements et fabriquer un gouvernement en accord avec les intérêts en jeu.
On donne même des informations de mouvement de troupes militaires Chiliens dans les mois derniers, en particulier dans la localité de Colchani, au nord du Chili.
Le second plan qui est en agenda est : que les agences d'intelligence fassent pression sur le gouvernement de Mesa pour appeler à des élections anticipées.
Un troisième plan serait d'obtenir la fermeture du Congrès National et sa dissolution, ou au moins que le sénateur Leopoldo Fernández, militant d'ADN, reste, à partir du mois d'août comme président du Sénat.
Alors, on chercherait que Fernández assume la présidence une fois renversé le gouvernement de Carlos Mesa.
"Il faudra être très attentifs, parce que cette nouvelle attaque contre la démocratie et les mouvements sociaux en Amérique latine est à peine dans ses débuts et, malheureusement, et nous aurons beaucoup à reporter à ce sujet...", fin de la note qui circule sur Internet.

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