Un groupe de 122 chiliens qu'y ce trouvent en Irak pour realiser
des travaux des vigilance à des différants intreprise qui ont
des investissements des EEUU en Irak, ont sucités la preoccupation
des medias, c'est pour ce-là que le gouvernement chilien, par le biais
de la ministre de la défense Michelle Bachelet, en exclamant sa préoccupation
en ce qui concerne la présence de Chiliens dans une zone "à
risque et dangereuse". "Nous sommes préoccupés (...)
bien que le Gouvernement ne puisse pas s'impliqué beaucoup plus",
a dit.
Jusqu'ici cette histoire, regrettablement commune et répétée
jusqu'à la fatigue, d'invasion américaine, d'un gouvernement
"socialiste" qui lame bottes à l'expansion impérialiste
d'un "capitalisme réel", et partisans de salariés
qui protègent des intérêts corporacionales. Toutefois,
ce qui est particulier est que, en dépit le silence à ce sujet
de le moyens de communication de masses, ont, relativement, sorti à
la lumière le fait que des 122 Chiliens, la majorité (si bién,
tous) sont des ex-militaires qui ont pris part pendant le coup d'état
de du 73, et même, beaucoup d'entre-eux sont ont des accusations à
leur contre pour dès violations aux droits humains pendant la période
de la dictature. C'est-à-dire, assassins et tortioners qui, protégés
par l'impunité et par la justice qui profite seulement au capital,
retournent à la scène de la répression avides de sang.
Au milieu du climat dans lequel l'ex-militante d'organisations
de la gauche réformiste (Bachelet) nous informe la nouvel d'un probable
envoi de troupes à soutenir le coup d'état à Haïti,
nous recevons les tristes nouvelles que les ex-tortioners le sont encore,
et en recevant trois mille 200 dollars de salaire au lieu d'exercer son maqueabélic
office en toute impunité (auquel on ajoute une assurance vie par 100
mille dollars).