Liberté mantenant
A partir du 12 avril 2004
sept prisonièrs politique, arrêtés dans la Prison de Haute
Sécurité et Pénitentiaire de Santiago ont entamé
come mésure extrême et face à des fause promése
de la présidence et du poivoir législatif, une nouvelles grève
de la faim à caractère indefinie.
Actuellement dans les
prisons Chiliens restent des dizaines de prisonniers politiques soumis a des
politiques permanents et planifié d' isolement, des répressions,
des pressions et violence organisée. Ces hommes et ces femmes sont
révolutionnaires, lutteurs sociaux, des chiliens et des mapuches, qui
ont livré leur vie aux causes justes de la liberté, à
la dignité, la justice sociale et le respect des droits du peuple.
Un immense arsenal de
lois spéciales ont été établi pour les maintenir
en prison pendant des années interminables. Plus encore, les Tribunaux
civils et militaires et les Gouvernements successifs de la Concertation recourent
à des manoeuvres illégals et commettent des aberrations juridiques
évidentes qui passent même au délà des leurs propres
réglementations.
Dans la majorité
des cas ils ont été des victimes directes de la répression
de la dictature de Pinochet. Tous ont été torturés en
des temps de gouvernements civils, avec les mêmes méthodes et
par les mêmes bourreaux que pendant la dictature militaire.
Nous dénonçons
cette situation et l'ilegitimité de ces processus.
Les prisonniers politiques
combattent pour la Liberté et la Justice, contre l'exploitation et
l'oppression. C'est pourquoi le même État, qui protège
avec zèle aux criminels et bourau de la dictature militaire, c'est
avec une haine féroce contre eux qu'ils agisent, prétendant
ainsi donner un exemple et effrayer les organisations populaires ons paralysants
les luttes du peuple, pénalisant la rébéllion.
Fatigués de l'éternelle
moquerie, les camarades et les frères emprisonnés font un nouveau
sacrifice de leur corps. Celle-ci n'est pas une décision facile puisqu'ils
ont à sa neuvième grèves de la faim dans cette période
de " démocratie " avec le coût physique que ceci entraîne.
L'extermination physique
et la tromperie au peuple ont rendu possible pour plus d'une décennie
de faire taire et de dissimuler la situation des prisonniers politiques. Aujourd'hui
les choses changent. Le peuple et ses organisations reprennent le chemin de
la lutte. Nous n'admettrons sous aucune circonstance l'injustice aberrant
qu'aujourd'hui continnue à ce commettre contre nos frères. Nous
dénonçons publiquement l'hypocrisie d'un gouvernement et d'un
système qui condamne à Cuba dans les forums internationaux tandis
que dans le Chili enterre de par vie à des hommes et à des femmes
pour le délit de ne pas accepter la misère et l'exploitation
et l'exploitation à laquelle ce même système condamne
à tout un peuple.
Ça suffit. Nous
appelons aux organisations politiques et sociales à être à
la hauteur des nécessités du moment.
C'est aujourd'hui qu'il
faut agir. Ne suffisent déjà pas les bonnes intentions. Nous
exigeons des actions concrètes. Que ceux qui parlent de droits humains,
cessent de parler et ils agissent. Les prisonniers politiques ne sont pas
une monnaie d'échange face aux criminels qui ont torturé, ils
ont violés et ils ont assassiné en développant des pratiques
monstrueuses condamnées par toute l'humanité.
Les grilles de la prison
seulement s'ouvriront avec un peuple qui dans la rue se bat pour les siens,
ses fils emprisonnés. La liberté des prisonniers politiques
est une partie de la grande liberté tout de notre peuple.
1. Liberté à tous les Prisonniers Politiques
sans condition.
2. Solution définitive de tous les accusés et condamnés
par la Dictature et la Concertation.
3. Terme à la condamnations par extradition.
Rencontre pour la liberté
e-mail: libertadahora@chile.com