arch/ive/ief (2000 - 2005)

Prisoniers Politique aux Chili
by Traduit par Mauricio Wednesday, Apr. 21, 2004 at 8:12 PM
libertadahora@chile.com

nouvelles grèves de la faim aux Chili

Liberté mantenant


A partir du 12 avril 2004 sept prisonièrs politique, arrêtés dans la Prison de Haute Sécurité et Pénitentiaire de Santiago ont entamé come mésure extrême et face à des fause promése de la présidence et du poivoir législatif, une nouvelles grève de la faim à caractère indefinie.

Actuellement dans les prisons Chiliens restent des dizaines de prisonniers politiques soumis a des politiques permanents et planifié d' isolement, des répressions, des pressions et violence organisée. Ces hommes et ces femmes sont révolutionnaires, lutteurs sociaux, des chiliens et des mapuches, qui ont livré leur vie aux causes justes de la liberté, à la dignité, la justice sociale et le respect des droits du peuple.

Un immense arsenal de lois spéciales ont été établi pour les maintenir en prison pendant des années interminables. Plus encore, les Tribunaux civils et militaires et les Gouvernements successifs de la Concertation recourent à des manoeuvres illégals et commettent des aberrations juridiques évidentes qui passent même au délà des leurs propres réglementations.

Dans la majorité des cas ils ont été des victimes directes de la répression de la dictature de Pinochet. Tous ont été torturés en des temps de gouvernements civils, avec les mêmes méthodes et par les mêmes bourreaux que pendant la dictature militaire.

Nous dénonçons cette situation et l'ilegitimité de ces processus.

Les prisonniers politiques combattent pour la Liberté et la Justice, contre l'exploitation et l'oppression. C'est pourquoi le même État, qui protège avec zèle aux criminels et bourau de la dictature militaire, c'est avec une haine féroce contre eux qu'ils agisent, prétendant ainsi donner un exemple et effrayer les organisations populaires ons paralysants les luttes du peuple, pénalisant la rébéllion.

Fatigués de l'éternelle moquerie, les camarades et les frères emprisonnés font un nouveau sacrifice de leur corps. Celle-ci n'est pas une décision facile puisqu'ils ont à sa neuvième grèves de la faim dans cette période de " démocratie " avec le coût physique que ceci entraîne.

L'extermination physique et la tromperie au peuple ont rendu possible pour plus d'une décennie de faire taire et de dissimuler la situation des prisonniers politiques. Aujourd'hui les choses changent. Le peuple et ses organisations reprennent le chemin de la lutte. Nous n'admettrons sous aucune circonstance l'injustice aberrant qu'aujourd'hui continnue à ce commettre contre nos frères. Nous dénonçons publiquement l'hypocrisie d'un gouvernement et d'un système qui condamne à Cuba dans les forums internationaux tandis que dans le Chili enterre de par vie à des hommes et à des femmes pour le délit de ne pas accepter la misère et l'exploitation et l'exploitation à laquelle ce même système condamne à tout un peuple.

Ça suffit. Nous appelons aux organisations politiques et sociales à être à la hauteur des nécessités du moment.

C'est aujourd'hui qu'il faut agir. Ne suffisent déjà pas les bonnes intentions. Nous exigeons des actions concrètes. Que ceux qui parlent de droits humains, cessent de parler et ils agissent. Les prisonniers politiques ne sont pas une monnaie d'échange face aux criminels qui ont torturé, ils ont violés et ils ont assassiné en développant des pratiques monstrueuses condamnées par toute l'humanité.

Les grilles de la prison seulement s'ouvriront avec un peuple qui dans la rue se bat pour les siens, ses fils emprisonnés. La liberté des prisonniers politiques est une partie de la grande liberté tout de notre peuple.

1. Liberté à tous les Prisonniers Politiques sans condition.
2. Solution définitive de tous les accusés et condamnés par la Dictature et la Concertation.
3. Terme à la condamnations par extradition.

Rencontre pour la liberté
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