arch/ive/ief (2000 - 2005)

28 mars le 2004
Dans des déclarations au journal « El Universo », a signalé que "on prépare le déstitution de Chávez, en combinaison avec un soulèvement interne et une invasion frontalière de la Colombie qui ouvre le chemin à l'entrée des Etats-Unis" à la région.
C'est-à-dire, il a expliqué, Washington n'envahira pas seulement le Vénézuéla, mais le fera avec un allié militer capable d'ouvrir un second front en Colombie, où ils agissent depuis des années d’importantes forces des guérillas et des groupes paramilitaires d'extrême droite.
Cependant, le professeur de l'Université de New York a signalé que la stratégie estadunidense n'est pas simple, parce que il éxiste un "second front" en Colombie, important allié de Washington, parce que s’ils envoient "des troupes de grande force contre le Vénézuéla les guérillas ils auronts le chemin ouvert vers Bogota".
Par conséquent, pour affaiblir les insurgés colombiens il a besoin des alliés dans ses frontières, comme serait le cas au Brésil et l'Équateur, a ajouté Petras, qu’y a visité Quito pour prendre part dans les journées préparatoires du Premier Forum Social des Amériques, qui auronts lieu entre les 25 et 30 prochain juillet dans cette capital.
Le président Chávez a dénoncé à diverses occasions le plan déstabilisateur qui propulse les Etats-Unis contre son gouvernement en ayant comme pointe de lance à l'opposition interne, qui a maintenu une forte offensive en s'appuyant dans la démmande de tenir un referendum révocatoire de son mandat qui empêche la fin de sa période constitutionnelle.
En même temps, Washington collabore depuis le précédent gouvernement de Bill Clinton avec Bogota dans l'application du Plan Colombie, stratégie antidrogues avec un grand composante militer qui cherche déraciner les cultures illicites de coca dans les zones qui est attribué sont contrôlé par les guérillas et les paramilitaires.
Uni au Plan Colombie, que dans les quatre dérniers années a doté au pays sud-américain de 3 mille 200 millions de dollars, il s'ajoute le fait que dans les jours récents Washington il a communiqué au président Alvaro Uribe son intention d'augmenter ses forces armées, où a un nombre non déterminé de militaires et un groupe d'effectifs appelés des "contractants".
http://www.rebelion.org/venezuela/040328petras.htm

L'affaire de la drogue passerait au Vénézuéla, par la pression militaire d'EE.UU. en Colombie
Ainsi l'indique une étude stratégique de l'État Major Général de la Garde Nationale.
(...)Le document conclut qu'on ne doit pas écarter une certaine tentative par les organisations criminelles de produire des modifications internes au Vénézuéla et fournir ainsi l'installation d'une nouvelle base d'opérations là.