arch/ive/ief (2000 - 2005)

De lijst MARIA die voor de Kamer opkomt in Brussel-Halle-Vilvoorde en in het arrondissement Leuven profileert zich als een echte partij van de werkende mensen. MARIA verzamelde het meeste arbeiders op haar lijsten.

In Leuven en Brussel samen telt de lijst 47 kandidaten. 21 kandidaten zijn arbeiders of arbeidsters, 8 zijn bedienden, 3 zijn leraar, 2 zijn student, 10 hebben een diploma van hoger onderwijs; verder staat er een huisvrouw en ook 2 kunstenaars op de lijst (Rik Poot uit Vilvoorde en Sylvie Nawasadio, zangers ex-Zap Mamma).
62 % van de kandidaten op de lijst MARIA wordt uitgemaakt door arbeiders of bedienden! Bovendien wordt de lijst zowel in Brussel als in Leuven getrokken door een arbeidster: Maria Vindevoghel, ex-Sabena, arbeidster Cleaning en vakbondsdéléguée en Bea Knaepen, arbeidster bij Bosch in Tienen en eveneens vakbondsdéléguée.

Volgens de lijst MARIA is het geen toeval dat in de andere lijsten de stem van het volk niet doordringt: op die lijsten moet men naar arbeiders zoeken als naar een speld in een hooimijt.
De lijst MARIA is de enige lijst waarbij de werkende mensen ervan op aan kunnen dat hun stem effectief zal weerklinken in het parlementaire halfrond.

Beaucoup de travailleurs sur la liste MARIA; Et alors ?
Est-ce là un critère de qualité ?

En France, le parti représentant le plus la "classe ouvrière" est le FN de Jean-Marie LEPEN !

Beaucoup d'ouvriers et d'employés votent pour l'extrême droite, sans doute parce qu'ils sont intellectuellement moins armés pour déchiffrer le populisme des fascistes.

Et lorsque l'on voit la liste MARIA, ou aussi la petite animation d'un certain Salim qui est apparue sur ce site il y a 2 jours, on peut le dire :
la liste MARIA n'a rien à envier au populisme de l'extrême droite !

A bon entendeur...

De kritiek van Nemo lijkt me niet ter zake en totaal ongegrond.

Maria mag dan arbeidster zijn, ze heeft onmiskenbaar veel kwaliteiten. Het hebben van een diploma is geen absolute garantie voor kwaliteit en het ontberen ervan staat niet per definitie voor afwezigheid van kwaliteit.

Maria heeft binnen de vakbond bewezen dat ze de belangen van de werkende mensen en de zwakkeren in de samenleving ter harte neemt. Ze heeft bewezen dat ze talent heeft. Ze heeft ook nog heel wat te leren, maar wie heeft dat niet. Ik twijfel er niet aan dat ze tot bloei zal komen en bewijzen dat niet allen een cafébaas, maar ook een kuisvrouw niet bij de pakken moet blijven zitten en een verschil kan maken in onze samenleving.

Cher "Nemo", pourrais-tu utiliser un autre pseudo sur ce site vu que l'on pourrait te confondre avec moi-même qui signe ici "Némo" (avec un accent sur "e") depuis longtemps? Quant à ton commentaire, cher homonyme, je ne le partage pas vraiment tout à fait. C'est vrai que les slogans et les discours de la liste Maria sont très simples, voir même parfois simplistes, (par exemple le slogan central et l'unique qui figure sur l'affiche, "Sa voix est la nôtre", pourrait être dit par un PS ou un MR) mais de là à les comparer avec le populisme de l'extrême-droite, là, pas du tout d'accord. Tout bonnement parce que la liste compte des gens issus de l'immigration et qu'il y a aussi un discours anti-raciste.

L'arguments qu'il y aurait des ouvriers au FN est une blague, et plutôt un mythe. Les leaders des partis d'extrême-droite sont certe des populistes, mais certainement pas des populos: Le Pen, Haider, Berlusconi, etc, sont des millionaires, et leurs cadres ne sont pas des ouvriers, loin de là.

Le Vlaams Blok est étroitement lié avec les 'Barons' du port d'Anvers et le milieu financier. Lors des dernières élections, il organisait des soupers de soutien: 10.000 balles le couvert ... Pas mal de travailleurs gagnent à peine ça en un mois!

C'est très différent d'une liste comme MARIA, menée par une ouvrière, avec un salaire plus que modeste, et composée essentiellement de travailleurs et de syndicalistes. Des gens qui ne se laissent pas dire et qui ne fourbissent pas de belles formules alambiquées et instruites pour masquer une réalité sociale catastrophique.

MARIA est justement l'antithèse de l'extrême droite, et c'est seulement elle et des gens comme elle qui pourront battre l'extrême doite, entre autre en mobilisant les gens du peuple qui sont dégoûté [ à raison ] des 'magouilles politicardes '. Pour celà on ne peut pas compter sur les partis gouvernementaux, qui continuent à financer l'extrême droite, ni leurs ONGs ...

Voici un extrait de la lettre de Maria vindevoghel, qui explique pourquoi elle se présente aux élections.
Rien à voir avec du populisme, ou du simplisme très cher Némo (avec ou sans accent sur le "e"!).
Juste un parlé "vrai", dû à une expérience de vie dans le monde du travail. Rien à voir avec le PS, le MR ou le PC donc...

"Aujourd’hui, j’en ai marre d’être toujours réduite à seulement nettoyer des avions. Je veux aussi nettoyer le Parlement. C’est pour cela que j’ai décidé, avec d’autres ex-Sabéniens, d’introduire une liste à la Chambre. Je veux absolument être élue. Pourquoi ?

La faillite de la Sabena a provoqué une catastrophe sans précédent pour l’emploi, la vie familiale, la santé, l’éducation des enfants pour des milliers de familles. Trois ex-Sabéniens se sont suicidés. Le plan social n’a même jamais été signé et encore moins respecté. Malgré tout cela, la commission parlementaire Sabena a été une farce totale qui a épargné tous les responsables politiques de cette catastrophe.

Aujourd’hui, les gens ne savent plus pour qui voter. 87 % des Belges ne font plus confiance aux hommes politiques. Moi, avec ce que j’ai vécu et continue à vivre tous les jours, je ne peux que leur donner raison. Ces gens ne savent rien de ce que nous vivons, ils sont sur une autre planète, celle de la rentabilité à tout prix. Une logique qui nous tuera tous, ici comme au tiers monde.

J’ai peur que le dégoût des gens pour la politique ne les pousse à voter pour l’extrême droite. J’entends déjà ce genre de réaction au travail. Il faut leur proposer une alternative.

Je pense qu’il est temps que de simples travailleurs fassent leur entrée au Parlement, tout en restant travailleurs et syndicalistes. Je veux donner un espoir aux gens et j’y crois."