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Venez connaître la nouvelle page web de Clajadep, le réseau latinoamericain de divulgation des luttes de résistance, avec une section en français.
Vous pouvez y mettre vos comentaires ou envoyer vos opinions et nouvelles. Â cette étape d’offensive du capital est important serrer les liens entre les mouvements sociaux qui bâtissent le pouvoir populair et developpent diverses formes de résistance. Nous sommes interesés surtout nous mettre en contact avec des groupes d’immigrants, des sans- emploi,des jeunes,des okupas et des nations opprimées
À augmenter l’échange horizontal entre les dynamiques de résistance
Clajadep

http://clajadep.lahaine.org

Le chant du cigne et le bal du caméléon
Profesor J

Je ne veux pas être embêtant, et moins en paraître, en plus je ne veux pas être arrogant ni le ressembler, mais despuis quelque temps ils se manifestent certaines tendances que nous avons distingués afin de nous alerter et de nous prévenir, et comme corollaire il y a quelques-uns qui m’on pris pour un quelconque bureaucrate de CCOO et m’on donné un coup de bois
Vous vous trompez, je n’aime pas la façon dont il écrit ce type. Il a raison sur certaines choses, mais comme il n’est pas sympathique, il n’attire pas et on continue comme ça. Par fortune je ne poursui acune médaille de sympathie, mais plutôt soulever les voiles que les opportunistes mettent sur les informations afin d’enjôler. Ce n’est pas ma faute s’ils ne portent aucun vetêment sur soit et qu’ en soulevant quelques chose on voit jusqu’au grain de beauté qu’ils cachent des regards osés du public. Vous pouvez me croire, mais il ne m’interesse le moins du monde plaire à personne, non plus qu’ils fassent attention à ce que je dis, mais ne me demandez pas que je reste en silence devant le sans-gêne de quelques-uns.

Il y a beaucoup des gens qui jouent aux échecs de la politique, sacrifient un pion ou le fou pour plus tard se manger la tour ou la reine, pour aller à la poursuite du roi. Le roi c’est l’état, où plusieurs personnes veulent arriver et les pions sont les naïfs qui restent sur le chemin ou qui sont poussés d’une façon vilaine au précipice en nom de ( en parlant avec une voix enrouée) “stratégie”.
Sur le dessin de la stratégie on fait des changements tactiques à fur et à mesure de la marche et d’après les besoins, seulement l’ennemi est en train de gagner du terrain avec la sienne
Cette stratégie,ou plutôt...les stratégies, puisque même s’il semble, invraisemblable, ici c’est plein des stratégies et ils se reunissent ceux qui ce ressemble plus ou moins et nous continuons comme ça. Au nom de la stratégie les principes sont sacrifiés en un précontraint réalisme, un peu comme un maquiavelisme. Maquiavelo a écrit que la fin justifie les moyens et sur ça il se manifeste ferme partisan de la pensée illuministe et rationaliste que perméabilisé l’époque, oú la logique cartesienne faisait de les siennes captivant maures et chrétiens, et ces derniers se sont divisés en plusieurs groupes, courants, sectes, églises, en fin, ces groupements qu’ils font pour attirer des gens et les emmener comme des moutons et utilisant exactement ce mot, comme la chanson qu’on m’ emboîté étant enfant: le seigneur est mon berger et au vertes prairies il m’emmene me reposer.Zut! Quand je revois ma mémoire je trouve ces chansons enregistrées et je suis émerveillé de la ruse des églises, que font chanter une et mil fois la même chose pour qu’elle soit gravée à feu et après qu’il ait l’air comme s’il arrive une foi despuis le plus profond, comme que c’est la voix d’un être spirituel qui nous parle dès l’interieur et le hasard qu’elle nous dise les même choses que nous rabâchent les spécialistes du marketing de soutane ou de n’importe quoi, qui nous font ce lavage mental..
Ainsi chaqu’un porte son dieu, de sa mecque ou de sa stratégie, quelque chose comme une carotte il faut mettre devant l’âne, que suspendu devant ses yeux à un petit bâton attaché, il ne se rend pas compte qu’à fur et à messure qu’il marche la carotte s’échappe elle aussi et il marche encore pour l’attraper. Il font de même à l’interieur de nos têtes, ils nous parlent de la logique et ils nous mettent les petits bâtons et les carottes pour marcher et marcher et nous font aller à la messe, cultes et manifestations ou défilés des exclus ou quoi qu’il en soit pour continuer à nourrir les petits bâtons et les carottes , que quelques-uns appelent utopies et d’autres le royaume du ciel . C’est ça qui explique pourquoi les églises ont ses branches de gauche progresistes, comme Frei Beto, qui est le conseiller de la cour de Lula et il lui parle très bas à l’oreille comme Richelieu ou un Rasputin quelconque.

Mais bon, elle est la partie plus facile à comprendre de ce pépin où une bonne partie de la gauche internationale s’est transformée réticente à se rallier à la lutte de la résistance des peuples. Les archéologues du futur auront ses difficultés pour comprendre et quelques-uns vont se tordre de rire, quoique notre problème n’est pas chez les futurs archéologues ou les égyptologues ou capitalistologues, mais plutôt les actuels futurologues, ceux qui se déplacent avec la carotte à la main en traînant des ânes pour les entasser avec le bétail qui fourrent dans la cour de la stratégie.

Pendant tout une anné la gauche s’est mise à chanter des louanges à Lula, le caméléon, et les Attac menen trois ans avec la mème chanson de l’humanisation et modernisation du capitalisme, car les trop ignorants n’ont rien pour le substituer, c’est à dire, ils sont restés sans carotte pour lui donner à l’âne et si le pain manque, les gâteaux sont aussi bons, et c’est pour ça que Genoino en a mangé un au cirque du Forro de Porto Alegre, j’ai oublé lui demander s’il y avait un goût à cerises ou à chocolat, même que j’imagine que pour lui ça a été un détail inaperçu. Ces types de Le Monde Diplomatique qui ont inventé la poudre, celle de l’humanisation , ont habillé à Lula de carotte pour attirer les ânes, lui ont mis un habit de cette couleur, couleur carotte et l’ont vendu comme rouge en pariant à la cécité des gens. Il est déjà vu que la carotte rouge c’est très bon marché, le produit est vendu, il y a en beucoup que l’achetent, alors.... à vendre voilà qui est dit!

Maintenant nous avons des carottes partout, car Chomsky, la Klein, Wallerstein ( à vraie dire, je ne sais pas bien comment l’écrire , mais ça c’est un détail insignifiant) et d’autres 30 s’ont mis l’habit et maintenant ils marchent heureux avec la nouvelle couleur, qu’en plus, ça leurs va très bien, la seule chose c’est qu’ au lieu des ânes, maintenant se sont des lapins ceux-là qui vont derrière eux, à la fin la recette est comme le canif de boy scout, mil usages. Ils se sont enlevés le déguisement multicolore avec lequel ils s’envolent par dessus les multitudes en les éblouissant avec son vol élevé et ils ont atterri en mettant les pieds dans l’excrément, donc maintenant ce sont des porcs ceux qui veulent manger les carottes. Et elles sont bon marché, sachez qu’ elle se trouve facilement partout. Le monde est en train de se remplir des carottes

La prochaine fois que vous les mangez, vous le savez déjà, pensez que c’est une stratégie, voyons quel goût vous le trouvez.

Les stratégies nous font voir le chemin, mais comme ce chemin n’existe pas, parce que il existe seulement dans l’esprit ( gaffe du prof, alors il existe. C’est vrai mon pote, comme dieu existe, c’est une création des hommes, une création culturelle, et s’il a été crée, il existe) les discussions vont et viennent. La réalité est obstinée. Ce n’est pas par là, elle nous dit. Mais les stratèges sont plus acharnés: non, c’était la faute de Stalin, le démon matérialisé, si nous mettons celui là qui est très bon la chose sera différente. Différente, mon oeil! Le problème n’est pas celui qui gouverne la machine à broyer la viande qui s’apelle état, plutôt c’est dans la mème machine, dans les structures. Il faut en finir avec elles.

Bon, ils dissent quelques-uns, il faut finir avec l’état, mais comment? Et ils adviennent d’autres discussions et des nouvelles stratégies. Peut-être soit convenable se demander: qui? Et tous ont la réponse au bout des lèvres: le peuple!!!! Il faut l’organiser, on nous disent, en levant les yeux de la table pleine de plans, des boussoles, des compas et tout le reste, comme si notre question était déplacé C’est quelque chose d’évident, ils continuent et retournent ses yeux aux plans et plans, en organisant l’organisation, après ils la peignent couleur carotte et la livrent mise en boîte au deuxième échelon, qu’à son tour il se reuni en faisant de séminaires et en invitant des parlementaires, des leaders syndicaux, en fin, tous ces sorte de types là.. Un d’entre eux se met en face et avec un petit bâton signale vers le schéma dessiné sur le tableau , quoique les plus sophistiqués utilisent des moyens audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!!! Répond le groupe, en suite ils s’en vont et chaqu’un se reuni avec le troisième échelon et ils fonts de même, quoique il se remarquent moins les audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!! Répond à l’unisson le choeur du troisième échelon d’où se dirige chaqu’un au quatrième et ainsi de suite, jusqu’au arriver au peuple. Plus il y a des échelons,plus effectif est l’apparat. Pour tester les résultats convoquent aux marches et manifestations, ils placent le microphone devant, la commision de finances s’ occupe des maillots, les pancartes, les casquettes et les sifflets.
La commision de propagande fait des affiches pour convoquer au peuple, quelques-uns font des messes et d’autres emmenent le chanteur qui est à la mode. L’important est ressembler des gens et lui dire au grand public que le peuple suit les instructions ou les appels des stratèges. Après ils se réunissent pour évaluer le résultat de la convocation. Les nouveaux plans , quelques fois il ne l‘est pas claire porquoi le peuple ne vienne pas, mais ça on peut le résoudre. Lula a engagé au principal entrepreneur du marketing de la bourgeoisie brésilienne
Le sujet est maintenant au Bahammes en prennant le soleil mort de rire en attendant les nouvelles élections.
Ah! Les élections. J’étais en train d’oublier. Ce sont les moments les plus angoissants de ces stratèges, car les chiffres signaleront si les ânes vont ou il ne vont pas derrière la carotte, en plus il vont mettre quelques-uns dans les structures de domination
Il serait drôle si ce n’était pas tragique et regrettable. Quand nous demandons qui, ils répondent que c’est le peuple, mais nous les voyons, à eux, en train d’élaborer ce qui le peuple doit faire. Ils justifient que le contraire est pur spontaneisme, que doivent être organisés, et de préférence bien attachés à l’apparat, comme un échelon de plus de l’immense pyramide prémonitoire du nuveau état qu’ils défendent et où par un hasard bizarre ils doivent être eux qui le dirigent ,bien sûr, ils ne vont pas faire tout ce boulot pour une bouchée de pain.

Mais bon, on peut leur dire, n’attachez pas aux gens, organisez, soit, c’est bien, mais laissez que ces groupes décident ce que vont faire, comment et quand. Ils nous regardent avec une mauvaise mine et ils écrivent mil articles pour expliquer porquoi ça ce n’est pas possible, tandis que nous regardons vers ce peuple et nous voyons que les autonomies et rébellions surgissent partout. Il y a une contradiction indubitable, mais bon, sont les carottes. Les gens déjà ils n’en veulent plus. Ils nous disent que les gens ne vont pas s’organiser par eux mème, il faut les convaincre, il faut les appeler, qu’ils ne bougent pas, à la fin, ils ont des arguments, mais il leur serait plus facile d’organiser deux ou trois groupes dans un quartier qui se jeteraient à la bataille et pourront voir comme l’exemple se reproduisse, comme les gens, en voyant que les autres peuvent se auto-organiser et faire des choses, eux aussi peuvent, et ainsi le phénomène se répandre et dans les moments d’éclatement sociale ces même groupes et l’ensemble de la population ont été, jusqu’au maintenant capables de faire tomber des gouvernements

Le problème des stratèges et des analystes est dû à qu’il faut diriger, il faut lui dire au peuple ce qu’il doit faire, il faut soutenir les couches parasitaires de dirigeants et d’intellectuels adorateurs de la carotte, le culte carotte, c’est sa fonction, son option et sa stratègie. Eh bien!, alors, c’est son problème à eux, qu’ils restent tout seuls, il faut les enlever les bases avec la lutte directe, il faut donner des coups de bâtons aux dirigeants et les envoyer à l’hôpital, puisque les gâteaux ne sont pas suffisants

Et qui sont ceux qui viennent à s’auto-proclamer des dirigeants, des leaders ou d’avant-garde? Ici le but est réunir quelques intellectuels et installer un parti,un courant, une église ou une ONG. Ils l’appelent l’intellectuel colectif. Voilà c’est là qui est!

Les intellectuels sont un problème. C’est l’heure de s’en débarrasser d’eux . Par exemple les jeunes dans les universités devraient sortir aux quartiers pour aprendre, ne pas suivre les règles du cloître. Les enseignants dans les écoles devraient aider à multiplier l’ irrévérence Les quartiers ne plus admettre les chercheurs sociaux, faire intérieurement ses propes recherches.

Il ne faut plus accepter les aspirines des ONGs, couper les liens avec eux et developper des projects d’autogestion aux quartiers populaires, usines occupées, et les champs. Il faut créer des écoles alternatives aux quartiers. Enfin, il faut substituer l’activité des intellectuels individuels du sommet par la création, la recherche, l’art et la culture jalli du prope peuple, ça fait partie de la lutte de la résistance . Les étudiants et tous ceux qui accompagnent les activités intellectuelles, devraient quitter les théoriques et découvrir des nouvelles méthodologies d’interprétation, recherche et analyse à côtés des mouvements sociaux autonomes, des communautés originaires, des quartiers périphériques , enfin, sortir du cloître.

Assez de bouger la tête d’un côté à l’autre en voyant comme les intellectuels sautent ça et là comme les saltimbanques, entrent dans les coulises et ils reviennent pour apparaître habillés d’autre couleur. Avant c’était le rouge, suivit le rose, après ils se sont habillés en vert, en suite d’arc en ciel, maintenant ils sortent avec la couleur carotte. Le prochain est couleur caca, remplie de vers de terre.

Chin chin! Avec mojito

Profesor J
Coordinnateur de Clajadep
profesor_j@yahoo.com

CLAJADEP

Réseau de diffusion et échange d’autonomie et pouvoir populaire.
Los textes diffusés par le réseau répresente seulement aux signataires Si vous voulez publier, envoyez nous vos textes ou nouvelles à:
clajadep4@hotmail.com o a claj_n@yahoo.fr

Réseau Clajadep. Communiquez, échangez, donnez vos opinions, informez, critiquez.
Mettez vous en contact.

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. http://clajadep.lahaine.org

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Nouvelles: claj_n@yahoo.fr Coordination: clajadep4@hotmail.com
Chile: clajadepchile@yahoo.fr Bolivia: clajadepbolivia@yahoo.com
Brasil: clajadepbrasil@yahoo.com.br Argentina: clajargentin@yahoo.com.ar
Peru: clajadeperu@yahoo.es Canada: clajadepcanada@yahoo.ca
Europa: clajeurope@yahoo.fr USA: clajadep_usa@yahoo.com
D’autres pays: claintern@yahoo.com
De Cours Clajadep: cursosclajadep@yahoo.com

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Anarquisme et marxisme: ana-mar-subscribe@yahoogroups.com
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Autogestión en Argentina: autogestionarg-subscribe@yahoogroups.com

Autonomie et pouvoir populaire par pays et régions:
África: autonomiaAfr-subscribe@yahoogroups.com
Argentina: autonomiaArg-subscribe@yahoogroups.com
Bolivia: autonomiaBol-subscribe@yahoogroups.com
Brasil: autonomiaBra-subscribe@yahoogroups.com
Chile: autonomiaChi-subscribe@yahoogroups.com
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Le chant du cigne et le bal du caméléon
Profesor J

Je ne veux pas être embêtant, et moins en paraître, en plus je ne veux pas être arrogant ni le ressembler, mais despuis quelque temps ils se manifestent certaines tendances que nous avons distingués afin de nous alerter et de nous prévenir, et comme corollaire il y a quelques-uns qui m’on pris pour un quelconque bureaucrate de CCOO et m’on donné un coup de bois
Vous vous trompez, je n’aime pas la façon dont il écrit ce type. Il a raison sur certaines choses, mais comme il n’est pas sympathique, il n’attire pas et on continue comme ça. Par fortune je ne poursui acune médaille de sympathie, mais plutôt soulever les voiles que les opportunistes mettent sur les informations afin d’enjôler. Ce n’est pas ma faute s’ils ne portent aucun vetêment sur soit et qu’ en soulevant quelques chose on voit jusqu’au grain de beauté qu’ils cachent des regards osés du public. Vous pouvez me croire, mais il ne m’interesse le moins du monde plaire à personne, non plus qu’ils fassent attention à ce que je dis, mais ne me demandez pas que je reste en silence devant le sans-gêne de quelques-uns.

Il y a beaucoup des gens qui jouent aux échecs de la politique, sacrifient un pion ou le fou pour plus tard se manger la tour ou la reine, pour aller à la poursuite du roi. Le roi c’est l’état, où plusieurs personnes veulent arriver et les pions sont les naïfs qui restent sur le chemin ou qui sont poussés d’une façon vilaine au précipice en nom de ( en parlant avec une voix enrouée) “stratégie”.
Sur le dessin de la stratégie on fait des changements tactiques à fur et à mesure de la marche et d’après les besoins, seulement l’ennemi est en train de gagner du terrain avec la sienne
Cette stratégie,ou plutôt...les stratégies, puisque même s’il semble, invraisemblable, ici c’est plein des stratégies et ils se reunissent ceux qui ce ressemble plus ou moins et nous continuons comme ça. Au nom de la stratégie les principes sont sacrifiés en un précontraint réalisme, un peu comme un maquiavelisme. Maquiavelo a écrit que la fin justifie les moyens et sur ça il se manifeste ferme partisan de la pensée illuministe et rationaliste que perméabilisé l’époque, oú la logique cartesienne faisait de les siennes captivant maures et chrétiens, et ces derniers se sont divisés en plusieurs groupes, courants, sectes, églises, en fin, ces groupements qu’ils font pour attirer des gens et les emmener comme des moutons et utilisant exactement ce mot, comme la chanson qu’on m’ emboîté étant enfant: le seigneur est mon berger et au vertes prairies il m’emmene me reposer.Zut! Quand je revois ma mémoire je trouve ces chansons enregistrées et je suis émerveillé de la ruse des églises, que font chanter une et mil fois la même chose pour qu’elle soit gravée à feu et après qu’il ait l’air comme s’il arrive une foi despuis le plus profond, comme que c’est la voix d’un être spirituel qui nous parle dès l’interieur et le hasard qu’elle nous dise les même choses que nous rabâchent les spécialistes du marketing de soutane ou de n’importe quoi, qui nous font ce lavage mental..
Ainsi chaqu’un porte son dieu, de sa mecque ou de sa stratégie, quelque chose comme une carotte il faut mettre devant l’âne, que suspendu devant ses yeux à un petit bâton attaché, il ne se rend pas compte qu’à fur et à messure qu’il marche la carotte s’échappe elle aussi et il marche encore pour l’attraper. Il font de même à l’interieur de nos têtes, ils nous parlent de la logique et ils nous mettent les petits bâtons et les carottes pour marcher et marcher et nous font aller à la messe, cultes et manifestations ou défilés des exclus ou quoi qu’il en soit pour continuer à nourrir les petits bâtons et les carottes , que quelques-uns appelent utopies et d’autres le royaume du ciel . C’est ça qui explique pourquoi les églises ont ses branches de gauche progresistes, comme Frei Beto, qui est le conseiller de la cour de Lula et il lui parle très bas à l’oreille comme Richelieu ou un Rasputin quelconque.

Mais bon, elle est la partie plus facile à comprendre de ce pépin où une bonne partie de la gauche internationale s’est transformée réticente à se rallier à la lutte de la résistance des peuples. Les archéologues du futur auront ses difficultés pour comprendre et quelques-uns vont se tordre de rire, quoique notre problème n’est pas chez les futurs archéologues ou les égyptologues ou capitalistologues, mais plutôt les actuels futurologues, ceux qui se déplacent avec la carotte à la main en traînant des ânes pour les entasser avec le bétail qui fourrent dans la cour de la stratégie.

Pendant tout une anné la gauche s’est mise à chanter des louanges à Lula, le caméléon, et les Attac menen trois ans avec la mème chanson de l’humanisation et modernisation du capitalisme, car les trop ignorants n’ont rien pour le substituer, c’est à dire, ils sont restés sans carotte pour lui donner à l’âne et si le pain manque, les gâteaux sont aussi bons, et c’est pour ça que Genoino en a mangé un au cirque du Forro de Porto Alegre, j’ai oublé lui demander s’il y avait un goût à cerises ou à chocolat, même que j’imagine que pour lui ça a été un détail inaperçu. Ces types de Le Monde Diplomatique qui ont inventé la poudre, celle de l’humanisation , ont habillé à Lula de carotte pour attirer les ânes, lui ont mis un habit de cette couleur, couleur carotte et l’ont vendu comme rouge en pariant à la cécité des gens. Il est déjà vu que la carotte rouge c’est très bon marché, le produit est vendu, il y a en beucoup que l’achetent, alors.... à vendre voilà qui est dit!

Maintenant nous avons des carottes partout, car Chomsky, la Klein, Wallerstein ( à vraie dire, je ne sais pas bien comment l’écrire , mais ça c’est un détail insignifiant) et d’autres 30 s’ont mis l’habit et maintenant ils marchent heureux avec la nouvelle couleur, qu’en plus, ça leurs va très bien, la seule chose c’est qu’ au lieu des ânes, maintenant se sont des lapins ceux-là qui vont derrière eux, à la fin la recette est comme le canif de boy scout, mil usages. Ils se sont enlevés le déguisement multicolore avec lequel ils s’envolent par dessus les multitudes en les éblouissant avec son vol élevé et ils ont atterri en mettant les pieds dans l’excrément, donc maintenant ce sont des porcs ceux qui veulent manger les carottes. Et elles sont bon marché, sachez qu’ elle se trouve facilement partout. Le monde est en train de se remplir des carottes

La prochaine fois que vous les mangez, vous le savez déjà, pensez que c’est une stratégie, voyons quel goût vous le trouvez.

Les stratégies nous font voir le chemin, mais comme ce chemin n’existe pas, parce que il existe seulement dans l’esprit ( gaffe du prof, alors il existe. C’est vrai mon pote, comme dieu existe, c’est une création des hommes, une création culturelle, et s’il a été crée, il existe) les discussions vont et viennent. La réalité est obstinée. Ce n’est pas par là, elle nous dit. Mais les stratèges sont plus acharnés: non, c’était la faute de Stalin, le démon matérialisé, si nous mettons celui là qui est très bon la chose sera différente. Différente, mon oeil! Le problème n’est pas celui qui gouverne la machine à broyer la viande qui s’apelle état, plutôt c’est dans la mème machine, dans les structures. Il faut en finir avec elles.

Bon, ils dissent quelques-uns, il faut finir avec l’état, mais comment? Et ils adviennent d’autres discussions et des nouvelles stratégies. Peut-être soit convenable se demander: qui? Et tous ont la réponse au bout des lèvres: le peuple!!!! Il faut l’organiser, on nous disent, en levant les yeux de la table pleine de plans, des boussoles, des compas et tout le reste, comme si notre question était déplacé C’est quelque chose d’évident, ils continuent et retournent ses yeux aux plans et plans, en organisant l’organisation, après ils la peignent couleur carotte et la livrent mise en boîte au deuxième échelon, qu’à son tour il se reuni en faisant de séminaires et en invitant des parlementaires, des leaders syndicaux, en fin, tous ces sorte de types là.. Un d’entre eux se met en face et avec un petit bâton signale vers le schéma dessiné sur le tableau , quoique les plus sophistiqués utilisent des moyens audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!!! Répond le groupe, en suite ils s’en vont et chaqu’un se reuni avec le troisième échelon et ils fonts de même, quoique il se remarquent moins les audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!! Répond à l’unisson le choeur du troisième échelon d’où se dirige chaqu’un au quatrième et ainsi de suite, jusqu’au arriver au peuple. Plus il y a des échelons,plus effectif est l’apparat. Pour tester les résultats convoquent aux marches et manifestations, ils placent le microphone devant, la commision de finances s’ occupe des maillots, les pancartes, les casquettes et les sifflets.
La commision de propagande fait des affiches pour convoquer au peuple, quelques-uns font des messes et d’autres emmenent le chanteur qui est à la mode. L’important est ressembler des gens et lui dire au grand public que le peuple suit les instructions ou les appels des stratèges. Après ils se réunissent pour évaluer le résultat de la convocation. Les nouveaux plans , quelques fois il ne l‘est pas claire porquoi le peuple ne vienne pas, mais ça on peut le résoudre. Lula a engagé au principal entrepreneur du marketing de la bourgeoisie brésilienne
Le sujet est maintenant au Bahammes en prennant le soleil mort de rire en attendant les nouvelles élections.
Ah! Les élections. J’étais en train d’oublier. Ce sont les moments les plus angoissants de ces stratèges, car les chiffres signaleront si les ânes vont ou il ne vont pas derrière la carotte, en plus il vont mettre quelques-uns dans les structures de domination
Il serait drôle si ce n’était pas tragique et regrettable. Quand nous demandons qui, ils répondent que c’est le peuple, mais nous les voyons, à eux, en train d’élaborer ce qui le peuple doit faire. Ils justifient que le contraire est pur spontaneisme, que doivent être organisés, et de préférence bien attachés à l’apparat, comme un échelon de plus de l’immense pyramide prémonitoire du nuveau état qu’ils défendent et où par un hasard bizarre ils doivent être eux qui le dirigent ,bien sûr, ils ne vont pas faire tout ce boulot pour une bouchée de pain.

Mais bon, on peut leur dire, n’attachez pas aux gens, organisez, soit, c’est bien, mais laissez que ces groupes décident ce que vont faire, comment et quand. Ils nous regardent avec une mauvaise mine et ils écrivent mil articles pour expliquer porquoi ça ce n’est pas possible, tandis que nous regardons vers ce peuple et nous voyons que les autonomies et rébellions surgissent partout. Il y a une contradiction indubitable, mais bon, sont les carottes. Les gens déjà ils n’en veulent plus. Ils nous disent que les gens ne vont pas s’organiser par eux mème, il faut les convaincre, il faut les appeler, qu’ils ne bougent pas, à la fin, ils ont des arguments, mais il leur serait plus facile d’organiser deux ou trois groupes dans un quartier qui se jeteraient à la bataille et pourront voir comme l’exemple se reproduisse, comme les gens, en voyant que les autres peuvent se auto-organiser et faire des choses, eux aussi peuvent, et ainsi le phénomène se répandre et dans les moments d’éclatement sociale ces même groupes et l’ensemble de la population ont été, jusqu’au maintenant capables de faire tomber des gouvernements

Le problème des stratèges et des analystes est dû à qu’il faut diriger, il faut lui dire au peuple ce qu’il doit faire, il faut soutenir les couches parasitaires de dirigeants et d’intellectuels adorateurs de la carotte, le culte carotte, c’est sa fonction, son option et sa stratègie. Eh bien!, alors, c’est son problème à eux, qu’ils restent tout seuls, il faut les enlever les bases avec la lutte directe, il faut donner des coups de bâtons aux dirigeants et les envoyer à l’hôpital, puisque les gâteaux ne sont pas suffisants

Et qui sont ceux qui viennent à s’auto-proclamer des dirigeants, des leaders ou d’avant-garde? Ici le but est réunir quelques intellectuels et installer un parti,un courant, une église ou une ONG. Ils l’appelent l’intellectuel colectif. Voilà c’est là qui est!

Les intellectuels sont un problème. C’est l’heure de s’en débarrasser d’eux . Par exemple les jeunes dans les universités devraient sortir aux quartiers pour aprendre, ne pas suivre les règles du cloître. Les enseignants dans les écoles devraient aider à multiplier l’ irrévérence Les quartiers ne plus admettre les chercheurs sociaux, faire intérieurement ses propes recherches.

Il ne faut plus accepter les aspirines des ONGs, couper les liens avec eux et developper des projects d’autogestion aux quartiers populaires, usines occupées, et les champs. Il faut créer des écoles alternatives aux quartiers. Enfin, il faut substituer l’activité des intellectuels individuels du sommet par la création, la recherche, l’art et la culture jalli du prope peuple, ça fait partie de la lutte de la résistance . Les étudiants et tous ceux qui accompagnent les activités intellectuelles, devraient quitter les théoriques et découvrir des nouvelles méthodologies d’interprétation, recherche et analyse à côtés des mouvements sociaux autonomes, des communautés originaires, des quartiers périphériques , enfin, sortir du cloître.

Assez de bouger la tête d’un côté à l’autre en voyant comme les intellectuels sautent ça et là comme les saltimbanques, entrent dans les coulises et ils reviennent pour apparaître habillés d’autre couleur. Avant c’était le rouge, suivit le rose, après ils se sont habillés en vert, en suite d’arc en ciel, maintenant ils sortent avec la couleur carotte. Le prochain est couleur caca, remplie de vers de terre.

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Profesor J
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Venez connaître la nouvelle page web de Clajadep, le réseau latinoamericain de divulgation des luttes de résistance, avec une section en français.
Vous pouvez y mettre vos comentaires ou envoyer vos opinions et nouvelles. Â cette étape d’offensive du capital est important serrer les liens entre les mouvements sociaux qui bâtissent le pouvoir populair et developpent diverses formes de résistance. Nous sommes interesés surtout nous mettre en contact avec des groupes d’immigrants, des sans- emploi,des jeunes,des okupas et des nations opprimées
À augmenter l’échange horizontal entre les dynamiques de résistance
Clajadep

http://clajadep.lahaine.org

Le chant du cigne et le bal du caméléon
Profesor J

Je ne veux pas être embêtant, et moins en paraître, en plus je ne veux pas être arrogant ni le ressembler, mais despuis quelque temps ils se manifestent certaines tendances que nous avons distingués afin de nous alerter et de nous prévenir, et comme corollaire il y a quelques-uns qui m’on pris pour un quelconque bureaucrate de CCOO et m’on donné un coup de bois
Vous vous trompez, je n’aime pas la façon dont il écrit ce type. Il a raison sur certaines choses, mais comme il n’est pas sympathique, il n’attire pas et on continue comme ça. Par fortune je ne poursui acune médaille de sympathie, mais plutôt soulever les voiles que les opportunistes mettent sur les informations afin d’enjôler. Ce n’est pas ma faute s’ils ne portent aucun vetêment sur soit et qu’ en soulevant quelques chose on voit jusqu’au grain de beauté qu’ils cachent des regards osés du public. Vous pouvez me croire, mais il ne m’interesse le moins du monde plaire à personne, non plus qu’ils fassent attention à ce que je dis, mais ne me demandez pas que je reste en silence devant le sans-gêne de quelques-uns.

Il y a beaucoup des gens qui jouent aux échecs de la politique, sacrifient un pion ou le fou pour plus tard se manger la tour ou la reine, pour aller à la poursuite du roi. Le roi c’est l’état, où plusieurs personnes veulent arriver et les pions sont les naïfs qui restent sur le chemin ou qui sont poussés d’une façon vilaine au précipice en nom de ( en parlant avec une voix enrouée) “stratégie”.
Sur le dessin de la stratégie on fait des changements tactiques à fur et à mesure de la marche et d’après les besoins, seulement l’ennemi est en train de gagner du terrain avec la sienne
Cette stratégie,ou plutôt...les stratégies, puisque même s’il semble, invraisemblable, ici c’est plein des stratégies et ils se reunissent ceux qui ce ressemble plus ou moins et nous continuons comme ça. Au nom de la stratégie les principes sont sacrifiés en un précontraint réalisme, un peu comme un maquiavelisme. Maquiavelo a écrit que la fin justifie les moyens et sur ça il se manifeste ferme partisan de la pensée illuministe et rationaliste que perméabilisé l’époque, oú la logique cartesienne faisait de les siennes captivant maures et chrétiens, et ces derniers se sont divisés en plusieurs groupes, courants, sectes, églises, en fin, ces groupements qu’ils font pour attirer des gens et les emmener comme des moutons et utilisant exactement ce mot, comme la chanson qu’on m’ emboîté étant enfant: le seigneur est mon berger et au vertes prairies il m’emmene me reposer.Zut! Quand je revois ma mémoire je trouve ces chansons enregistrées et je suis émerveillé de la ruse des églises, que font chanter une et mil fois la même chose pour qu’elle soit gravée à feu et après qu’il ait l’air comme s’il arrive une foi despuis le plus profond, comme que c’est la voix d’un être spirituel qui nous parle dès l’interieur et le hasard qu’elle nous dise les même choses que nous rabâchent les spécialistes du marketing de soutane ou de n’importe quoi, qui nous font ce lavage mental..
Ainsi chaqu’un porte son dieu, de sa mecque ou de sa stratégie, quelque chose comme une carotte il faut mettre devant l’âne, que suspendu devant ses yeux à un petit bâton attaché, il ne se rend pas compte qu’à fur et à messure qu’il marche la carotte s’échappe elle aussi et il marche encore pour l’attraper. Il font de même à l’interieur de nos têtes, ils nous parlent de la logique et ils nous mettent les petits bâtons et les carottes pour marcher et marcher et nous font aller à la messe, cultes et manifestations ou défilés des exclus ou quoi qu’il en soit pour continuer à nourrir les petits bâtons et les carottes , que quelques-uns appelent utopies et d’autres le royaume du ciel . C’est ça qui explique pourquoi les églises ont ses branches de gauche progresistes, comme Frei Beto, qui est le conseiller de la cour de Lula et il lui parle très bas à l’oreille comme Richelieu ou un Rasputin quelconque.

Mais bon, elle est la partie plus facile à comprendre de ce pépin où une bonne partie de la gauche internationale s’est transformée réticente à se rallier à la lutte de la résistance des peuples. Les archéologues du futur auront ses difficultés pour comprendre et quelques-uns vont se tordre de rire, quoique notre problème n’est pas chez les futurs archéologues ou les égyptologues ou capitalistologues, mais plutôt les actuels futurologues, ceux qui se déplacent avec la carotte à la main en traînant des ânes pour les entasser avec le bétail qui fourrent dans la cour de la stratégie.

Pendant tout une anné la gauche s’est mise à chanter des louanges à Lula, le caméléon, et les Attac menen trois ans avec la mème chanson de l’humanisation et modernisation du capitalisme, car les trop ignorants n’ont rien pour le substituer, c’est à dire, ils sont restés sans carotte pour lui donner à l’âne et si le pain manque, les gâteaux sont aussi bons, et c’est pour ça que Genoino en a mangé un au cirque du Forro de Porto Alegre, j’ai oublé lui demander s’il y avait un goût à cerises ou à chocolat, même que j’imagine que pour lui ça a été un détail inaperçu. Ces types de Le Monde Diplomatique qui ont inventé la poudre, celle de l’humanisation , ont habillé à Lula de carotte pour attirer les ânes, lui ont mis un habit de cette couleur, couleur carotte et l’ont vendu comme rouge en pariant à la cécité des gens. Il est déjà vu que la carotte rouge c’est très bon marché, le produit est vendu, il y a en beucoup que l’achetent, alors.... à vendre voilà qui est dit!

Maintenant nous avons des carottes partout, car Chomsky, la Klein, Wallerstein ( à vraie dire, je ne sais pas bien comment l’écrire , mais ça c’est un détail insignifiant) et d’autres 30 s’ont mis l’habit et maintenant ils marchent heureux avec la nouvelle couleur, qu’en plus, ça leurs va très bien, la seule chose c’est qu’ au lieu des ânes, maintenant se sont des lapins ceux-là qui vont derrière eux, à la fin la recette est comme le canif de boy scout, mil usages. Ils se sont enlevés le déguisement multicolore avec lequel ils s’envolent par dessus les multitudes en les éblouissant avec son vol élevé et ils ont atterri en mettant les pieds dans l’excrément, donc maintenant ce sont des porcs ceux qui veulent manger les carottes. Et elles sont bon marché, sachez qu’ elle se trouve facilement partout. Le monde est en train de se remplir des carottes

La prochaine fois que vous les mangez, vous le savez déjà, pensez que c’est une stratégie, voyons quel goût vous le trouvez.

Les stratégies nous font voir le chemin, mais comme ce chemin n’existe pas, parce que il existe seulement dans l’esprit ( gaffe du prof, alors il existe. C’est vrai mon pote, comme dieu existe, c’est une création des hommes, une création culturelle, et s’il a été crée, il existe) les discussions vont et viennent. La réalité est obstinée. Ce n’est pas par là, elle nous dit. Mais les stratèges sont plus acharnés: non, c’était la faute de Stalin, le démon matérialisé, si nous mettons celui là qui est très bon la chose sera différente. Différente, mon oeil! Le problème n’est pas celui qui gouverne la machine à broyer la viande qui s’apelle état, plutôt c’est dans la mème machine, dans les structures. Il faut en finir avec elles.

Bon, ils dissent quelques-uns, il faut finir avec l’état, mais comment? Et ils adviennent d’autres discussions et des nouvelles stratégies. Peut-être soit convenable se demander: qui? Et tous ont la réponse au bout des lèvres: le peuple!!!! Il faut l’organiser, on nous disent, en levant les yeux de la table pleine de plans, des boussoles, des compas et tout le reste, comme si notre question était déplacé C’est quelque chose d’évident, ils continuent et retournent ses yeux aux plans et plans, en organisant l’organisation, après ils la peignent couleur carotte et la livrent mise en boîte au deuxième échelon, qu’à son tour il se reuni en faisant de séminaires et en invitant des parlementaires, des leaders syndicaux, en fin, tous ces sorte de types là.. Un d’entre eux se met en face et avec un petit bâton signale vers le schéma dessiné sur le tableau , quoique les plus sophistiqués utilisent des moyens audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!!! Répond le groupe, en suite ils s’en vont et chaqu’un se reuni avec le troisième échelon et ils fonts de même, quoique il se remarquent moins les audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!! Répond à l’unisson le choeur du troisième échelon d’où se dirige chaqu’un au quatrième et ainsi de suite, jusqu’au arriver au peuple. Plus il y a des échelons,plus effectif est l’apparat. Pour tester les résultats convoquent aux marches et manifestations, ils placent le microphone devant, la commision de finances s’ occupe des maillots, les pancartes, les casquettes et les sifflets.
La commision de propagande fait des affiches pour convoquer au peuple, quelques-uns font des messes et d’autres emmenent le chanteur qui est à la mode. L’important est ressembler des gens et lui dire au grand public que le peuple suit les instructions ou les appels des stratèges. Après ils se réunissent pour évaluer le résultat de la convocation. Les nouveaux plans , quelques fois il ne l‘est pas claire porquoi le peuple ne vienne pas, mais ça on peut le résoudre. Lula a engagé au principal entrepreneur du marketing de la bourgeoisie brésilienne
Le sujet est maintenant au Bahammes en prennant le soleil mort de rire en attendant les nouvelles élections.
Ah! Les élections. J’étais en train d’oublier. Ce sont les moments les plus angoissants de ces stratèges, car les chiffres signaleront si les ânes vont ou il ne vont pas derrière la carotte, en plus il vont mettre quelques-uns dans les structures de domination
Il serait drôle si ce n’était pas tragique et regrettable. Quand nous demandons qui, ils répondent que c’est le peuple, mais nous les voyons, à eux, en train d’élaborer ce qui le peuple doit faire. Ils justifient que le contraire est pur spontaneisme, que doivent être organisés, et de préférence bien attachés à l’apparat, comme un échelon de plus de l’immense pyramide prémonitoire du nuveau état qu’ils défendent et où par un hasard bizarre ils doivent être eux qui le dirigent ,bien sûr, ils ne vont pas faire tout ce boulot pour une bouchée de pain.

Mais bon, on peut leur dire, n’attachez pas aux gens, organisez, soit, c’est bien, mais laissez que ces groupes décident ce que vont faire, comment et quand. Ils nous regardent avec une mauvaise mine et ils écrivent mil articles pour expliquer porquoi ça ce n’est pas possible, tandis que nous regardons vers ce peuple et nous voyons que les autonomies et rébellions surgissent partout. Il y a une contradiction indubitable, mais bon, sont les carottes. Les gens déjà ils n’en veulent plus. Ils nous disent que les gens ne vont pas s’organiser par eux mème, il faut les convaincre, il faut les appeler, qu’ils ne bougent pas, à la fin, ils ont des arguments, mais il leur serait plus facile d’organiser deux ou trois groupes dans un quartier qui se jeteraient à la bataille et pourront voir comme l’exemple se reproduisse, comme les gens, en voyant que les autres peuvent se auto-organiser et faire des choses, eux aussi peuvent, et ainsi le phénomène se répandre et dans les moments d’éclatement sociale ces même groupes et l’ensemble de la population ont été, jusqu’au maintenant capables de faire tomber des gouvernements

Le problème des stratèges et des analystes est dû à qu’il faut diriger, il faut lui dire au peuple ce qu’il doit faire, il faut soutenir les couches parasitaires de dirigeants et d’intellectuels adorateurs de la carotte, le culte carotte, c’est sa fonction, son option et sa stratègie. Eh bien!, alors, c’est son problème à eux, qu’ils restent tout seuls, il faut les enlever les bases avec la lutte directe, il faut donner des coups de bâtons aux dirigeants et les envoyer à l’hôpital, puisque les gâteaux ne sont pas suffisants

Et qui sont ceux qui viennent à s’auto-proclamer des dirigeants, des leaders ou d’avant-garde? Ici le but est réunir quelques intellectuels et installer un parti,un courant, une église ou une ONG. Ils l’appelent l’intellectuel colectif. Voilà c’est là qui est!

Les intellectuels sont un problème. C’est l’heure de s’en débarrasser d’eux . Par exemple les jeunes dans les universités devraient sortir aux quartiers pour aprendre, ne pas suivre les règles du cloître. Les enseignants dans les écoles devraient aider à multiplier l’ irrévérence Les quartiers ne plus admettre les chercheurs sociaux, faire intérieurement ses propes recherches.

Il ne faut plus accepter les aspirines des ONGs, couper les liens avec eux et developper des projects d’autogestion aux quartiers populaires, usines occupées, et les champs. Il faut créer des écoles alternatives aux quartiers. Enfin, il faut substituer l’activité des intellectuels individuels du sommet par la création, la recherche, l’art et la culture jalli du prope peuple, ça fait partie de la lutte de la résistance . Les étudiants et tous ceux qui accompagnent les activités intellectuelles, devraient quitter les théoriques et découvrir des nouvelles méthodologies d’interprétation, recherche et analyse à côtés des mouvements sociaux autonomes, des communautés originaires, des quartiers périphériques , enfin, sortir du cloître.

Assez de bouger la tête d’un côté à l’autre en voyant comme les intellectuels sautent ça et là comme les saltimbanques, entrent dans les coulises et ils reviennent pour apparaître habillés d’autre couleur. Avant c’était le rouge, suivit le rose, après ils se sont habillés en vert, en suite d’arc en ciel, maintenant ils sortent avec la couleur carotte. Le prochain est couleur caca, remplie de vers de terre.

Chin chin! Avec mojito

Profesor J
Coordinnateur de Clajadep
profesor_j@yahoo.com

CLAJADEP

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Le chant du cigne et le bal du caméléon
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Je ne veux pas être embêtant, et moins en paraître, en plus je ne veux pas être arrogant ni le ressembler, mais despuis quelque temps ils se manifestent certaines tendances que nous avons distingués afin de nous alerter et de nous prévenir, et comme corollaire il y a quelques-uns qui m’on pris pour un quelconque bureaucrate de CCOO et m’on donné un coup de bois
Vous vous trompez, je n’aime pas la façon dont il écrit ce type. Il a raison sur certaines choses, mais comme il n’est pas sympathique, il n’attire pas et on continue comme ça. Par fortune je ne poursui acune médaille de sympathie, mais plutôt soulever les voiles que les opportunistes mettent sur les informations afin d’enjôler. Ce n’est pas ma faute s’ils ne portent aucun vetêment sur soit et qu’ en soulevant quelques chose on voit jusqu’au grain de beauté qu’ils cachent des regards osés du public. Vous pouvez me croire, mais il ne m’interesse le moins du monde plaire à personne, non plus qu’ils fassent attention à ce que je dis, mais ne me demandez pas que je reste en silence devant le sans-gêne de quelques-uns.

Il y a beaucoup des gens qui jouent aux échecs de la politique, sacrifient un pion ou le fou pour plus tard se manger la tour ou la reine, pour aller à la poursuite du roi. Le roi c’est l’état, où plusieurs personnes veulent arriver et les pions sont les naïfs qui restent sur le chemin ou qui sont poussés d’une façon vilaine au précipice en nom de ( en parlant avec une voix enrouée) “stratégie”.
Sur le dessin de la stratégie on fait des changements tactiques à fur et à mesure de la marche et d’après les besoins, seulement l’ennemi est en train de gagner du terrain avec la sienne
Cette stratégie,ou plutôt...les stratégies, puisque même s’il semble, invraisemblable, ici c’est plein des stratégies et ils se reunissent ceux qui ce ressemble plus ou moins et nous continuons comme ça. Au nom de la stratégie les principes sont sacrifiés en un précontraint réalisme, un peu comme un maquiavelisme. Maquiavelo a écrit que la fin justifie les moyens et sur ça il se manifeste ferme partisan de la pensée illuministe et rationaliste que perméabilisé l’époque, oú la logique cartesienne faisait de les siennes captivant maures et chrétiens, et ces derniers se sont divisés en plusieurs groupes, courants, sectes, églises, en fin, ces groupements qu’ils font pour attirer des gens et les emmener comme des moutons et utilisant exactement ce mot, comme la chanson qu’on m’ emboîté étant enfant: le seigneur est mon berger et au vertes prairies il m’emmene me reposer.Zut! Quand je revois ma mémoire je trouve ces chansons enregistrées et je suis émerveillé de la ruse des églises, que font chanter une et mil fois la même chose pour qu’elle soit gravée à feu et après qu’il ait l’air comme s’il arrive une foi despuis le plus profond, comme que c’est la voix d’un être spirituel qui nous parle dès l’interieur et le hasard qu’elle nous dise les même choses que nous rabâchent les spécialistes du marketing de soutane ou de n’importe quoi, qui nous font ce lavage mental..
Ainsi chaqu’un porte son dieu, de sa mecque ou de sa stratégie, quelque chose comme une carotte il faut mettre devant l’âne, que suspendu devant ses yeux à un petit bâton attaché, il ne se rend pas compte qu’à fur et à messure qu’il marche la carotte s’échappe elle aussi et il marche encore pour l’attraper. Il font de même à l’interieur de nos têtes, ils nous parlent de la logique et ils nous mettent les petits bâtons et les carottes pour marcher et marcher et nous font aller à la messe, cultes et manifestations ou défilés des exclus ou quoi qu’il en soit pour continuer à nourrir les petits bâtons et les carottes , que quelques-uns appelent utopies et d’autres le royaume du ciel . C’est ça qui explique pourquoi les églises ont ses branches de gauche progresistes, comme Frei Beto, qui est le conseiller de la cour de Lula et il lui parle très bas à l’oreille comme Richelieu ou un Rasputin quelconque.

Mais bon, elle est la partie plus facile à comprendre de ce pépin où une bonne partie de la gauche internationale s’est transformée réticente à se rallier à la lutte de la résistance des peuples. Les archéologues du futur auront ses difficultés pour comprendre et quelques-uns vont se tordre de rire, quoique notre problème n’est pas chez les futurs archéologues ou les égyptologues ou capitalistologues, mais plutôt les actuels futurologues, ceux qui se déplacent avec la carotte à la main en traînant des ânes pour les entasser avec le bétail qui fourrent dans la cour de la stratégie.

Pendant tout une anné la gauche s’est mise à chanter des louanges à Lula, le caméléon, et les Attac menen trois ans avec la mème chanson de l’humanisation et modernisation du capitalisme, car les trop ignorants n’ont rien pour le substituer, c’est à dire, ils sont restés sans carotte pour lui donner à l’âne et si le pain manque, les gâteaux sont aussi bons, et c’est pour ça que Genoino en a mangé un au cirque du Forro de Porto Alegre, j’ai oublé lui demander s’il y avait un goût à cerises ou à chocolat, même que j’imagine que pour lui ça a été un détail inaperçu. Ces types de Le Monde Diplomatique qui ont inventé la poudre, celle de l’humanisation , ont habillé à Lula de carotte pour attirer les ânes, lui ont mis un habit de cette couleur, couleur carotte et l’ont vendu comme rouge en pariant à la cécité des gens. Il est déjà vu que la carotte rouge c’est très bon marché, le produit est vendu, il y a en beucoup que l’achetent, alors.... à vendre voilà qui est dit!

Maintenant nous avons des carottes partout, car Chomsky, la Klein, Wallerstein ( à vraie dire, je ne sais pas bien comment l’écrire , mais ça c’est un détail insignifiant) et d’autres 30 s’ont mis l’habit et maintenant ils marchent heureux avec la nouvelle couleur, qu’en plus, ça leurs va très bien, la seule chose c’est qu’ au lieu des ânes, maintenant se sont des lapins ceux-là qui vont derrière eux, à la fin la recette est comme le canif de boy scout, mil usages. Ils se sont enlevés le déguisement multicolore avec lequel ils s’envolent par dessus les multitudes en les éblouissant avec son vol élevé et ils ont atterri en mettant les pieds dans l’excrément, donc maintenant ce sont des porcs ceux qui veulent manger les carottes. Et elles sont bon marché, sachez qu’ elle se trouve facilement partout. Le monde est en train de se remplir des carottes

La prochaine fois que vous les mangez, vous le savez déjà, pensez que c’est une stratégie, voyons quel goût vous le trouvez.

Les stratégies nous font voir le chemin, mais comme ce chemin n’existe pas, parce que il existe seulement dans l’esprit ( gaffe du prof, alors il existe. C’est vrai mon pote, comme dieu existe, c’est une création des hommes, une création culturelle, et s’il a été crée, il existe) les discussions vont et viennent. La réalité est obstinée. Ce n’est pas par là, elle nous dit. Mais les stratèges sont plus acharnés: non, c’était la faute de Stalin, le démon matérialisé, si nous mettons celui là qui est très bon la chose sera différente. Différente, mon oeil! Le problème n’est pas celui qui gouverne la machine à broyer la viande qui s’apelle état, plutôt c’est dans la mème machine, dans les structures. Il faut en finir avec elles.

Bon, ils dissent quelques-uns, il faut finir avec l’état, mais comment? Et ils adviennent d’autres discussions et des nouvelles stratégies. Peut-être soit convenable se demander: qui? Et tous ont la réponse au bout des lèvres: le peuple!!!! Il faut l’organiser, on nous disent, en levant les yeux de la table pleine de plans, des boussoles, des compas et tout le reste, comme si notre question était déplacé C’est quelque chose d’évident, ils continuent et retournent ses yeux aux plans et plans, en organisant l’organisation, après ils la peignent couleur carotte et la livrent mise en boîte au deuxième échelon, qu’à son tour il se reuni en faisant de séminaires et en invitant des parlementaires, des leaders syndicaux, en fin, tous ces sorte de types là.. Un d’entre eux se met en face et avec un petit bâton signale vers le schéma dessiné sur le tableau , quoique les plus sophistiqués utilisent des moyens audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!!! Répond le groupe, en suite ils s’en vont et chaqu’un se reuni avec le troisième échelon et ils fonts de même, quoique il se remarquent moins les audiovisuels. Vous avez compris? Oui!!! Répond à l’unisson le choeur du troisième échelon d’où se dirige chaqu’un au quatrième et ainsi de suite, jusqu’au arriver au peuple. Plus il y a des échelons,plus effectif est l’apparat. Pour tester les résultats convoquent aux marches et manifestations, ils placent le microphone devant, la commision de finances s’ occupe des maillots, les pancartes, les casquettes et les sifflets.
La commision de propagande fait des affiches pour convoquer au peuple, quelques-uns font des messes et d’autres emmenent le chanteur qui est à la mode. L’important est ressembler des gens et lui dire au grand public que le peuple suit les instructions ou les appels des stratèges. Après ils se réunissent pour évaluer le résultat de la convocation. Les nouveaux plans , quelques fois il ne l‘est pas claire porquoi le peuple ne vienne pas, mais ça on peut le résoudre. Lula a engagé au principal entrepreneur du marketing de la bourgeoisie brésilienne
Le sujet est maintenant au Bahammes en prennant le soleil mort de rire en attendant les nouvelles élections.
Ah! Les élections. J’étais en train d’oublier. Ce sont les moments les plus angoissants de ces stratèges, car les chiffres signaleront si les ânes vont ou il ne vont pas derrière la carotte, en plus il vont mettre quelques-uns dans les structures de domination
Il serait drôle si ce n’était pas tragique et regrettable. Quand nous demandons qui, ils répondent que c’est le peuple, mais nous les voyons, à eux, en train d’élaborer ce qui le peuple doit faire. Ils justifient que le contraire est pur spontaneisme, que doivent être organisés, et de préférence bien attachés à l’apparat, comme un échelon de plus de l’immense pyramide prémonitoire du nuveau état qu’ils défendent et où par un hasard bizarre ils doivent être eux qui le dirigent ,bien sûr, ils ne vont pas faire tout ce boulot pour une bouchée de pain.

Mais bon, on peut leur dire, n’attachez pas aux gens, organisez, soit, c’est bien, mais laissez que ces groupes décident ce que vont faire, comment et quand. Ils nous regardent avec une mauvaise mine et ils écrivent mil articles pour expliquer porquoi ça ce n’est pas possible, tandis que nous regardons vers ce peuple et nous voyons que les autonomies et rébellions surgissent partout. Il y a une contradiction indubitable, mais bon, sont les carottes. Les gens déjà ils n’en veulent plus. Ils nous disent que les gens ne vont pas s’organiser par eux mème, il faut les convaincre, il faut les appeler, qu’ils ne bougent pas, à la fin, ils ont des arguments, mais il leur serait plus