arch/ive/ief (2000 - 2005)

Les raisons de l'abstentionisme
by Dominique Thursday February 27, 2003 at 01:23 PM
dominique_pifpaf@hotmail.com

J'ai vu un reportage sur SVT (Sverige TV) qui me laisse bien songeur. Le sujet était l'abstention lors des dernières votations suédoises. L'émission donnait la parole, autant en studio que dans la rue, à beaucoup d'abstentionnistes.

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Les raisons de l'abstentionnisme.

J'ai vu un reportage sur SVT (Sverige TV) qui me laisse bien songeur. Le sujet était l'abstention lors des dernières votations suédoises. L'émission donnait la parole, autant en studio que dans la rue, à beaucoup d'abstentionnistes.

Ce qui me laisse songeur, c'est que de tous ces abstentionnistes, seuls 2 ont été capable d'émettre une critique du système. Encore faut-il savoir que leur critique n'en était pour moi pas une. En effet une critique se doit d'être argumentée pour tenir la route. C'était en fait un cliché tant de fois entendu qu'il ne veut plus rien dire: "De toute façon, ils font ce qu'ils veulent." À part cela, ils se sont montrés totalement incapable même de donner les raisons de leur abstentionnisme ou de définir ce qui pourrait les amener dans les isoloirs.

* * *

Comment, dans un pays comme la Suède, où tous peuvent bénéficier d'un des meilleurs système éducatif du monde et où les moyens d'information ne manquent pas, autant de citoyens peuvent être autant incapable d'expliquer leurs sentiments et de comprendre la société? Il est nécessaire pour comprendre de faire une diversion.

Jésus à dit: "Heureux les simples d'esprit, le royaume des Cieux leur appartient." L'intéressant dans cette citation est qu'il ne parlait pas du royaume de David et qu'il parlait au présent, pas au futur d'une hypothétique et surnaturelle vie après la mort.

Une autre question arrive ici. Qu'en est-il des autres catégories d'êtres humains et qu'elles sont ces catégories?

* * *

"Mein Kampf" d'Hitler et "Île" d'Husley permettent de répondre à ces questions. Tous deux rangent les individus en trois catégories, ce dans des buts totalement différents. Le but d'Hitler est de se doter des instruments de manipulation des masses pour pouvoir arriver au pouvoir, celui d'Huxley d'ouvrir notre esprit pour nous faire prendre conscience du réel danger que représente certains individus. L'antagonisme de ces buts nous montre déjà l'opposition profonde entre la vision d'un politicien avide de pouvoir et celle d'un philosophe soucieux de paix.

Les catégories d'Hitler et de Huxley sont les même ainsi que leurs "qualités" respectives, seuls les mots utilisés pour les désigner changent. Je mets le mot qualité entre guillemets pour faire remarquer que la notion de qualité est dépendante du but recherché.

D'après Huxley, la première catégorie est celle des ignorants. On ne peut pas leur en vouloir si ils font faux car ils ne savent pas ce qu'ils font et ils ne sont pas très dangereux. Ce sont les simples d'esprit auxquels Jésus fait allusion. Pour Hitler, c'est la masse des peuples, masse qui n'est intéressante que dans la mesure où il peut la manipuler à travers les médias pour arriver à ses fins.

Après nous avons deux catégories de gens ayant compris. D'un coté les gens biens, qui utilisent cette compréhension et leur intelligence pour faire le bien, pour faire pencher la balance du bon coté. Pour Hitler ce sont des gens dangereux qu'ils faut mettre hors circuit à tout prix, car ce sont les seuls capables de démontrer la folie de ses actions et de l'empêcher d'arriver à ses fins.

La dernière catégorie est celle des salauds, des gens ayant compris les conséquences de leurs actes et qui, malgré tout et sans scrupules, persistent à faire faux. Des gens réellement très dangereux.

Les alliés d'Hitler, ceux dont il cherchait à s'entourer et auxquels il donnait des responsabilités.

 

* * *

Cette réflexion montre clairement ce qui ne va pas. Il suffit de la mettre en parallèle avec la situation pratique de notre monde, monde où un pays, les États-Unis, à un budget militaire dépassant les dépenses militaires de tous les autres pays réunis, où ce pays à réussi à étendre son influence sur presque tout le reste de la planète (N'était-ce pas là un des buts d'Hitler?), où les pays essayant de résister sont fichés comme "terroristes" et soumis à des embargos de toutes sortes quand ce n'est pas à des guerres incessantes, où ce pays à systématiquement mis en place des dictateurs fantoches, salauds à son service servile jusqu'au moment où ils deviennent terroristes quand ils essaient de se rebeller, où ce pays à réussi à asservir l'économie mondiale à sa propre économie, où toute ces économies sont centralisée et n'ont qu'un seul but: maximiser le profit alors que les 2/3 de la population mondiale est insolvable, où la faim et la malnutrition est la plus efficace des armes de destruction massive avec plusieurs milliers de personnes mourant chaque jour ce qui équivaut à 180 Hiroshima par année. (L'élimination des faibles était le deuxième but prioritaire d'Hitler, celle du communisme son troisième et dernier but prioritaire. Churchill, un vrai salaud lui aussi, déclarait au lendemain de la IIème guerre: "Nous n'avons pas tué le bon cochon!")

* * *

Le PNUD (organisme de ONU essayant de combattre la faim et la malnutrition) vient de déclarer officiellement que nous sommes en train de perdre la guerre contre la faim. Le même PNUD déclare également que le problème n'est pas le manque de nourriture, il y en a plus qu'assez pour tous, mais "l'accès à cette nourriture." Façon politiquement correcte de désigner les inégalités et injustices croissantes de notre système.

Le PNUD est une bonne source d'informations:

"Depuis l'indépendance en 1947, l'Inde n'a pas connu de famine." Il est important de noter qu'avant l'indépendance ce pays n'avait également pas connu de famine mais que deux ans après le début de l'occupation anglaise la famine causait la mort de plusieurs millions de personne, les anglais s'étant empresser de copier les réformes agraires anglaises au sous-continent indien. La preuve que les salauds n'ont aucun scrupule même vis-à-vis de leurs propres compatriotes est que les réformes agraires en Angleterre avaient elles aussi provoqué la famine et son cortège de mort. S'en était suivi des insurrections qui avaient failli provoquer la chute du régime.

Une autre preuve de ce manque de scrupule est que de nombreux financiers européens et américains avaient soutenu Hitler du début de sa carrière politique jusqu'au plein milieu de la guerre. À ce sujet voir l'articles sur les relations d'affaires de la famille Bush dans le grand-père de l'actuel président était le banquier américain d'Hitler, la personne par qui tous les flux d'argents entre les USA et Hitler transitaient. (Si quelqu'un a un lien sur les relations d'affaire d'Hitler en Europe, je serai content qu'il l'indique dans les commentaires, je manque de références à ce sujet.)

 

PNUD:

Au début du deuxième millénaire

"1% de la population mondiale a un revenu égal à celui des 57% les plus pauvres"

"Les 5% les plus riches ont un revenu égal a 114 fois celui des 5% les plus pauvres."

"Depuis 1995, 2 millions de personnes soit 10 % de la population sont mortes de faim en Corée du Nord"

"1200 millions de personnes vivent en condition de pauvreté absolue en 1999 (c'est à dire ne peuvent pas se procurer le nombre de calories nécessaires à l'alimentation) avec moins d'un dollar par jour et 2800 millions d'individualités vivent avec moins de 2 dollar."

"Dans les années nonante, la pauvreté et les inégalités augmentent en Europe de l'est et centrale ainsi que dans le Commonwealth of Independent States (CIS) parfois à des taux sans précédents."

"Malgré que la démocratie y soit plus répandue, le nombre de pauvres augmentent en Afrique sub-saharienne."

"Presque 150 pays ont ratifiés les droits de l'homme."

"Le monde est plus démocratique que jamais avec 140 pays qui ont des élections multi-partites, dont 80 pays pleinement démocratiques."

"7 pays ont 46% des votes dans la Banque Mondiale et 48% des votes dans le FMI."

 

L'UNICEF est aussi une bonne source d'infos. Je n'en citerais que deux:

"13,5 millions d'enfants de moins de cinq ans sont morts de faim ou de malnutrition en 1996, dont treize dans le tiers-monde." (UNICEF Le progrès des nations 1993 et 1996)

"150 millions d'enfants de moins de 5 ans souffrent de mal-nutrition en 2001."

 

 

Le traité multilatéral sur la liberté des investissements (AMI) permet aux multinationales de bénéficier des mêmes avantages que les investisseurs nationaux et les États acceptent " sans condition de soumettre les litiges à l'arbitrage d'une Chambre de commerce internationale (CCI)." Cette organisme nuisible stipule que toute "sentence arbitrale est définitive et obligatoire" excluant par conséquent tout droit de recours. Ce projet avoue crûment: "L'AMI, comme tout traité international à caractère contraignant aura pour effet de modérer, dans une certaine mesure, l'exercice de l'autorité nationale."

Cet (faux) AMI à été discuté secrètement pendant trois ans par les seuls membres de l'OCDE qui regroupe les pays les plus riches et exclu les autres, alors qu'il comporte des conséquences redoutables sur l'emploi et le chômage, la santé, les services publics, la protection sociale et l'environnement. L'OCDE définit le creusement des inégalités comme "ce que la logique économique recommande." Elle ne s'interroge pas sur la pertinence de cette logique, elle évoque "l'aiguillon de la pauvreté" et accuse les interventions publiques d'enfermer les individus dans "une logique de dépendance".

Si vous êtes arrivés jusqu'ici et que vous avez suivi, plusieurs centaines d'individualités sont mortes de faim et de malnutrition sur cette planète pendant le temps que vous avez mis pour arriver à ce point du texte. Alors, de qu'elle logique s'agit-il si ce n'est pas une logique de parfait salaud?

* * *

Les salauds ont un empereur. Le 8 mars 1992, le New-York Times citant un document du Pentagone:

"Le département de la Défense affirme que la mission politique et militaire des USA, dans la période de l'après guerre froide, sera de s'assurer qu'il ne soit permis à aucune puissance rivale d'émerger en Europe occidentale, en Asie, ou sur les territoires de la C.E.I."

"La mission des USA sera de convaincre les rivaux éventuels qu'ils n'ont pas besoin d'aspirer à un rôle important ni d'adopter une position plus agressive, les dissuader de défier notre suprématie ou de chercher à renverser l'ordre politique et économique établi."

 

"Nous devons chercher à empêcher l'apparition de systèmes de sécurité exclusivement européen, qui minerait l'OTAN."

 

Dans l'acte final de Maastricht: "L'Union européenne agira en conformité avec les dispositions adoptées dans l'Alliance Atlantique."

L'Europe des Douze compte 9 pays qui sont des anciens pays colonialistes. C'est toujours une Europe colonialiste car partageant les intérêts des USA mais également vassale du Pentagone car elle ne peut prendre aucune initiative qui ne soit pas dans l'intérêt et la politique des USA.

* * *

Les salauds n'ont peur que d'une chose: Ce ne sont pas eux qui appuient sur la gâchette.

 

Alors, qu'allons nous laisser arriver? Les sionistes israéliens nous montre l'exemple: Ils se torchent le cul avec les droits de l'homme. Torchons nous le cul avec les lois inhumaines et ignobles qui oppressent le monde et tuent les innocents. La révolution de la conscience est la révolution. Il ne s'agit pas là de braquer les banques mais de mettre les salauds hors d'état de nuire en les privant de leurs moyens.

Il est urgent de s'organiser, non aux niveaux des nations, mais à celui des citoyens afin de changer de système, afin de promouvoir un système où ce soient ceux qui vont subir les conséquences des décisions qui les prennent. Comme au Vénézuéla où tout un peuple, uni dans la proximité et non dans le centralisme, soutient activement Chavez dans ses réformes. Comme à Cuba où 90% de la population est descendue dans la rue pour témoigner son indignation devant les discours irresponsables et criminels de Bush ainsi que pour manifester son soutien à l'homme qui incarne leur libération du joug américain.

Organiser la proximité au niveau mondial, comme lors des dernières manifs contre la guerre en Iraq, mais de manière décentralisée et globale. Organiser des permanences dans tous les quartiers proposant des actions permanentes autant pour aider au niveau local ceux qui en ont besoin que pour soutenir les actions des autres permanences partout où elle se trouvent.

- Quel est le salaud? Bush ou Saddam? - Choisi ton con, camarade, ce sont les peuples qui vont trinquer! Il est temps de dépasser les vieux clichés comme le conflit des générations où celui des sexes. Les salauds font ce qu'ils veulent que dans la mesure où nous les laissons faire. Nous sommes tous complémentaires les uns des autres et non en éternel conflit comme ils veulent nous le faire croire.

Pour réaliser un futur heureux il ne tient qu'à nous de prendre, aujourd'hui, les bonnes décisions et de passer à l'action. Il faut organiser des actions globales et illimitée dans le temps, actions qui regroupent globalement au niveau local, toutes les revendications bénéfiques aux peuples.

Il faut aussi boycotter globalement et définitivement les produits commercialisés par les salauds et mettre sur pied des solutions pour remplacer ces produits dans la mesure où ils sont nécessaires au bien-être des peuples.

Il faut encore remplacer les droits de l'homme par des devoirs fraternels de l'homme envers ses semblables. Les devoirs impliquent en effet que l'on doit passer à l'acte pour pouvoir prétendre être respectable.

Le système est si mauvais qu'il ne s'agit pas de l'améliorer, cela les salauds s'en charge. Il s'agit d'inventer un nouveau système qui soit au service du citoyen et non l'inverse.

Les trois premiers articles de la nouvelle constitution pourraient être:

1.      Au nom de l'humanité unie dans la fraternité.

2.      Tout être humain naît responsable du bonheur de ses semblables et assume les devoirs qui en découlent.

3.      La société et son organisation n'ont pas d'autre but que d'être au service du bonheur de chacunE.

 

Par exemple:
by françois.h Friday February 28, 2003 at 12:33 PM

Lu il y a deux ans sur un yahoo group, adresse complète du message (archive publique):

http://groups.yahoo.com/group/bevis_frond/message/507

C'est assez détaillé mais il doit y en avoir pas mal d'autres sur le net...

======================================================

"That's where the Bush family fortune came from: It came from the
Third Reich"
-- U.S. Justice Department's Nazi War Crimes Prosecutor John Loftus


The Bush Family – Third Reich Connection
Fact? Fabrication?
by Susie Davidson
Advocate Correspondent

Maybe you've heard about it. Maybe it wouldn't surprise you. Maybe
you're just curious.

But three books, varied newspaper series, court records, convictions
and correspondence attest to a definite link between the Bush family
and the Nazis.

The Sarasota Herald Tribune, in November 2000, reported the president
of the Florida Holocaust Museum's statement that George W. Bush's
grandfather derived a portion of his personal fortune through his
affiliation with a Nazi-controlled bank.

U.S. Justice Department's Nazi War Crimes Prosecutor John Loftus, who
authored many books on St. Martin's including "Unholy Trinity: The
Vatican, The Nazis and the Swiss Banks" (1992) and along with Mark
Aarons, "The Secret War Against the Jews: How Western Espionage
Betrayed the Jewish People" (1994) and an upcoming one on Jonathan
Pollard), was also quoted: "That's where the Bush family fortune came
from: It came from the Third Reich." Dirty dealings are chronicled
in Webster G. Tarpley & Anton Chaitkin's entirely downloadable
"George Bush: The Unauthorized Biography".

Here's the deal, so to speak.

Prescott Bush, W's grandfather, was a principal in New York's Union
Banking Corporation from the late 1930's-1940's. This bank was owned
by key Nazi industrialists, who funneled money into it through
another bank located in Holland. "Union Banking," says Toby Rogers,
who wrote a five part series last year on Bush-Nazi ties for the
Greenwich Village Gazette series, "became an ‘out and out Nazi
money-laundering machine.' "

In 1942, when George Sr. was an 18 year old naval pilot in training,
the U.S. government under FDR ordered Prescott's banking operations
seized under the Trading With the Enemy Act. The stocks of three
Nazi executives, Bush and three associates, were vested.

Nonetheless, when the bank was liquidated in 1951, W's grandfather
and great-grandfather Sam Bush both received $1.5 million in
proceeds. This is what is believed made up the bulk, if not all, of
the Bush family fortune. The powerful partners in these ignoble
ventures are reputedly those who boosted the Bushes into the CIA and
government positions.

Other actions followed; the U.S. government seized three more Nazi
front organizations run by the bank. However, they were too late;
Bush's family had already centrally financed and armed Hitler and the
Nazi war industries.

The web of secret operations, dirty deals and cronyism detailed in
the above books can be recounted only briefly here. William Stamps
Farish, president of Standard Oil, later known as Exxon, opened up
the Auschwitz slave labor camp with Chairman Walter C. Teagle (a pal
of Henry Ford) in collaboration with I.G. Farben on June 14, 1940.
Jews, used to produce artificial rubber and gasoline from coal, were
worked to near death and then murdered. Farish's grandson, W.S.
Farish III, served as George Bush's money manager. Farish later
formed the Humble Oil Co. of Texas.

Neil Bush, of BSSI fame, was named after Neil Dresser, business
associate of Standard.

Prescott's business associates, from his father in law George Herbert
Walker (one of Hitler's biggest U.S. supporters), Fritz Thyssen ($1M
Hitler financier later convicted in Nuremberg), Averell Harriman
(Mussolini negotiator, supplier of $50M in German bonds to U.S.
investors), Brown Brothers execs (long involved in slave cotton
trading), Kurt von Schroeder (treasurer of Nazi Party private
armies), John Foster Dulles (international attorney for dozens of
Nazi enterprises and later Republican U.S. Secretary of State,
helping propel Prescott into Senatorhood), reads like a Hitler CEO
board meeting.

Of course, the Bushes were not alone. The Rockefellers and Kennedys
also profited from financial dealings with Nazis. It has always been
all too easy to hide money in multinational funds. "They behave like
pirates," says Loftus. "They don't care about ideology; they care
about money."

But the Bush Nazi sympathies continued.

The Washington Jewish Week, on Sept. 8, 1988, condemned several of
George Bush Sr.'s campaign's Ethnic Advisory Committee members as
"well known anti-Semites and pro-fascists." Quoted were Henry
Siegman, executive director of the AJC, Albert Vorspan of the Union
of American Hebrews, Michael Miller of the JCRC and Abraham Foxman of
the ADL, who cited Jerome Brentar, who associated with Holocaust
denial groups, Ignatius Billinsky, involved with Nazi apologists,
Florian Galdau, described by Simon Wiesenthal as "the leader of a
Romanian pro-Nazi and anti-Semitic movement in NYC", Philip Guarino,
another known anti-Semite, and Laszlo Pasztor, an official in the
Hugarian government anti-Semitic agency Arrow Cross. Alan Dershowitz
jumped in.

Their pressure paid off; eight Nazi sympathizers subsequently
resigned from the Bush committee (four, not surprisingly, were back
working for the party by 1989).

Another persistent rumor, long circulated around Yale University and
discussed by Ron Rosenbaum in September 1977's Esquire magazine, is
the presence of Hitler's silverware among hidden relics of the Skull
and Bones society. In varied interviews of Bonesmen, this has never
been definitively denied.

George Upson Waller, a contemporary of George Sr., changed the
subject when asked. "Someone told me Maureen Dowd wrote an article
about GW Bush's substance abuse in his youth. I said I didn't
realize he had enough substance to abuse."

A link? You decide.


Famille Bush et Troisième Reich
by françois.h Friday February 28, 2003 at 12:44 PM

(Essayé de le poster une première fois, sans succès semble-t-il...)

Lu il y a deux ans sur un Yahoogroup, assez détaillé me semble-t-il. Archivé (accès libre) à:


http://groups.yahoo.com/group/bevis_frond/message/507

"That's where the Bush family fortune came from: It came from the
Third Reich"
-- U.S. Justice Department's Nazi War Crimes Prosecutor John Loftus


The Bush Family – Third Reich Connection
Fact? Fabrication?
by Susie Davidson
Advocate Correspondent

Maybe you've heard about it. Maybe it wouldn't surprise you. Maybe
you're just curious.

But three books, varied newspaper series, court records, convictions
and correspondence attest to a definite link between the Bush family
and the Nazis.

The Sarasota Herald Tribune, in November 2000, reported the president
of the Florida Holocaust Museum's statement that George W. Bush's
grandfather derived a portion of his personal fortune through his
affiliation with a Nazi-controlled bank.

U.S. Justice Department's Nazi War Crimes Prosecutor John Loftus, who
authored many books on St. Martin's including "Unholy Trinity: The
Vatican, The Nazis and the Swiss Banks" (1992) and along with Mark
Aarons, "The Secret War Against the Jews: How Western Espionage
Betrayed the Jewish People" (1994) and an upcoming one on Jonathan
Pollard), was also quoted: "That's where the Bush family fortune came
from: It came from the Third Reich." Dirty dealings are chronicled
in Webster G. Tarpley & Anton Chaitkin's entirely downloadable
"George Bush: The Unauthorized Biography".

Here's the deal, so to speak.

Prescott Bush, W's grandfather, was a principal in New York's Union
Banking Corporation from the late 1930's-1940's. This bank was owned
by key Nazi industrialists, who funneled money into it through
another bank located in Holland. "Union Banking," says Toby Rogers,
who wrote a five part series last year on Bush-Nazi ties for the
Greenwich Village Gazette series, "became an ‘out and out Nazi
money-laundering machine.' "

In 1942, when George Sr. was an 18 year old naval pilot in training,
the U.S. government under FDR ordered Prescott's banking operations
seized under the Trading With the Enemy Act. The stocks of three
Nazi executives, Bush and three associates, were vested.

Nonetheless, when the bank was liquidated in 1951, W's grandfather
and great-grandfather Sam Bush both received $1.5 million in
proceeds. This is what is believed made up the bulk, if not all, of
the Bush family fortune. The powerful partners in these ignoble
ventures are reputedly those who boosted the Bushes into the CIA and
government positions.

Other actions followed; the U.S. government seized three more Nazi
front organizations run by the bank. However, they were too late;
Bush's family had already centrally financed and armed Hitler and the
Nazi war industries.

The web of secret operations, dirty deals and cronyism detailed in
the above books can be recounted only briefly here. William Stamps
Farish, president of Standard Oil, later known as Exxon, opened up
the Auschwitz slave labor camp with Chairman Walter C. Teagle (a pal
of Henry Ford) in collaboration with I.G. Farben on June 14, 1940.
Jews, used to produce artificial rubber and gasoline from coal, were
worked to near death and then murdered. Farish's grandson, W.S.
Farish III, served as George Bush's money manager. Farish later
formed the Humble Oil Co. of Texas.

Neil Bush, of BSSI fame, was named after Neil Dresser, business
associate of Standard.

Prescott's business associates, from his father in law George Herbert
Walker (one of Hitler's biggest U.S. supporters), Fritz Thyssen ($1M
Hitler financier later convicted in Nuremberg), Averell Harriman
(Mussolini negotiator, supplier of $50M in German bonds to U.S.
investors), Brown Brothers execs (long involved in slave cotton
trading), Kurt von Schroeder (treasurer of Nazi Party private
armies), John Foster Dulles (international attorney for dozens of
Nazi enterprises and later Republican U.S. Secretary of State,
helping propel Prescott into Senatorhood), reads like a Hitler CEO
board meeting.

Of course, the Bushes were not alone. The Rockefellers and Kennedys
also profited from financial dealings with Nazis. It has always been
all too easy to hide money in multinational funds. "They behave like
pirates," says Loftus. "They don't care about ideology; they care
about money."

But the Bush Nazi sympathies continued.

The Washington Jewish Week, on Sept. 8, 1988, condemned several of
George Bush Sr.'s campaign's Ethnic Advisory Committee members as
"well known anti-Semites and pro-fascists." Quoted were Henry
Siegman, executive director of the AJC, Albert Vorspan of the Union
of American Hebrews, Michael Miller of the JCRC and Abraham Foxman of
the ADL, who cited Jerome Brentar, who associated with Holocaust
denial groups, Ignatius Billinsky, involved with Nazi apologists,
Florian Galdau, described by Simon Wiesenthal as "the leader of a
Romanian pro-Nazi and anti-Semitic movement in NYC", Philip Guarino,
another known anti-Semite, and Laszlo Pasztor, an official in the
Hugarian government anti-Semitic agency Arrow Cross. Alan Dershowitz
jumped in.

Their pressure paid off; eight Nazi sympathizers subsequently
resigned from the Bush committee (four, not surprisingly, were back
working for the party by 1989).

Another persistent rumor, long circulated around Yale University and
discussed by Ron Rosenbaum in September 1977's Esquire magazine, is
the presence of Hitler's silverware among hidden relics of the Skull
and Bones society. In varied interviews of Bonesmen, this has never
been definitively denied.

George Upson Waller, a contemporary of George Sr., changed the
subject when asked. "Someone told me Maureen Dowd wrote an article
about GW Bush's substance abuse in his youth. I said I didn't
realize he had enough substance to abuse."

A link? You decide.