ZioCops never sleep...
Israeli looby never sleeps.
This time, victim is a Swedish website on political satire, http://www.44an.com, with many photomontages on local and international political affairs, including hosting of Latuff's cartoons. One of owners of site had his personal computer confiscated by Swedish police. Since content of 44an supports Palestine, accusation could be no other than...guess what...anti-Semitism!
Long arm of Zionist police have global reach. But they have a hard work ahead. Every day, more and more people join struggle for human rights in Palestine. They can shut some voices, but not all of them!
:)
ça sent l'antisémitisme, ça a les préjugés antisémites....c'est surment Antisé......(alors mon cher Latuff, faut pas t'étonner si on t'accuse d'etre antisémi....
Nous aurions bien aimé, nous juifs, il y a 60 ans qu'un ou deux caricaturistes expriment l'horreur du nazisme comme Latuff exprime l'horruer du fascisme israélien d'aujourd'hui : un homme, Sharon, un dogme, le grand israël, et tout le monde dans le rang.
"nous juif" c'est d'une hypocrétie
no comment
Plutôt que de critiquer ceux qui produisent et s'engagent (peu importe le "-isme" qu'on voudra leur appliquer), approfondissons notre connaissance des sociétés palestinienne et israélienne.
Parmi tant d'autres possibilités, le cinéma Nova propose à partir du 14 novembre une série de films du réalisateur israélien Avi Mograbi, dont "Comment j'ai appris à surmonter ma peur et à aimer Arik Sharon", "August, A Moment Before the Eruption" ou encore "Wait it's the soldiers, I have to hang up now". Le 20 novembre à 20h, Avi Mograbi lui-même sera présent après la première projection d'August, pour débattre de son cinéma mais aussi des ambiguités d'une société israélienne dont il dit, en parlant de ce film : "La vie en Israël devenait insupportable, et ce, dès un an avant le début de l'intifada actuelle. L'atmosphère dans les rues était hallucinante de violence. J'ai décidé de sortir dans la rue et de filmer ce que j'y voyais. Un an après, en août 2000, j'ai décidé de recommencer. Dans la rue, je n'ai pas rencontré de violence en tant que telle. Mais j'ai été constamment obligé de défendre mon droit à filmer et j'ai essuyé de très nombreuses agressions contre ma caméra".
Plus d'info sur http://www.nova-cinema.com