La stratégie de Téhéran et de Damas by Carole Tuesday October 01, 2002 at 03:53 PM |
Le texte commence par une introduction générale, qui expose les grandes lignes de la stratégie palestinienne de l'Iran et de la Syrie. Il est suivi de toute une série de chapitres et d'annexes qui résument les documents confisqués.
L'Iran et la Syrie, définis par le Département d'Etat américain comme des Etats soutenant le terrorisme, ont pour stratégie d'attiser les violences de l'intifada. Leurs objectifs sont les suivants : renforcer, au Proche-Orient, l'axe radical irano-syrien ; affaiblir Israël en suscitant des fractures dans la société et en portant des coups à son économie ; renforcer, dans l'Autorité palestinienne, les éléments islamiques les plus radicaux ; saboter toute chance d'un accord israélo-palestinien.
ETC.
Il est faux que ce camp du refus soit en désaccord avec Yasser Arafat. Au contraire, tout au long de l'intifada, les Iraniens ont mené une double action : une aide directe à l'Autorité palestinienne (les armes du navire Karine-A par exemple) ; une aide indirecte au Fatah et aux Brigades des martyrs d'al-Aqsa qui sont contrôlés par Arafat.
L'Iran et la Syrie nient le caractère militaire de l'aide qu'ils apportent à des organisations que les Etats-Unis et la communauté internationale qualifient de terroristes. Mais les interrogatoires des militants capturés par l'armée israélienne pendant l'opération « Bouclier défensif » et les documents saisis dans les bureaux de l'Autorité palestinienne prouvent sans ambiguïté que l'action de Téhéran et de Damas ne se limite pas à un soutien politique ou à une assistance humanitaire.
Trois catégories d'organisations terroristes dépendent de l'Iran et de la Syrie :
1) les organisations islamistes radicales : Hamas et Djihad islamique ;
2) les organisations palestiniennes de gauche : le FPLP-CG d'Ahmed Jibril, le Front de libération de Hawatmeh, le FPLP de Habache, le Fatah-Abou Moussa, la faction extrémiste du Front de lutte populaire ;
3) les organisations terroristes opérant à partir du Liban : le Hezbollah, organisation armée des chiites libanais, et les Bataillons du 13 septembre noir, une dissidence du Fatah qui est dirigée par Mounir al-Maqdah.
L'Iran et la Syrie ont pour principaux sous-traitants le Djihad islamique ; le Hamas et sa branche armée Az al-Din al-Qassam ; le FPLP-CG d'Ahmed Jibril. Ces trois mouvements sont définis par les Etats-Unis comme des organisations terroristes. Le Djihad islamique et la branche armée du Hamas sont aussi qualifiés de terroristes par l'Union européenne.
Les deux pays se partagent les tâches. L'Iran fournit l'idéologie islamiste radicale, de gros moyens financiers et des armes, comme l'a montré l'affaire du Karine-A. L'Iran met aussi au service de l'intifada les organisations islamistes palestiniennes et le Hezbollah libanais.
La contribution de la Syrie n'est pas moins variée : le gouvernement de Damas permet l'utilisation de son territoire comme base arrière, et, dans le même but, il met le territoire libanais au service de l'Autorité palestinienne.
La supervision par Téhéran et par Damas
Les rapports des services de renseignement palestiniens décrivent bien la façon dont l'Iran et la Syrie supervisent « leurs » organisations terroristes.
Rapport du 10 décembre 2000 : confisqué par Tsahal, il était adressé à Arafat par Amin al-Hindi, le directeur du Service du renseignement général (GIA en anglais). L'Iran a versé 400 000 dollars aux Bataillons Az al-Din al-Qassam, la branche armée du Hamas, et 700 000 dollars aux mouvements islamistes opposés à l'Autorité palestinienne. Précision : « Le QG du Hamas en Syrie a donné le feu vert à sa branche armée pour organiser de nouvelles opérations militaires. Mais les Bataillons al-Qassam ont aussi reçu pour instruction de prendre leurs distances vis-à-vis des responsables du Hamas qui sont chargés de coordonner leurs activités avec l'Autorité palestinienne de Yasser Arafat. »
Le directeur du GIA signale la décision des chefs religieux de remettre au Hamas le produit de la taxe de charité al-Zakat, l'un des cinq commandements de base de la religion musulmane. Cet argent serait ensuite redistribué par le Hamas mais sans que l'Autorité palestinienne en tire profit.
L'utilisation d'al-Zakat à des fins militaires est théoriquement interdite. Mais un livre publié par le ministère syrien de la Propagande et consacré aux discours de Khomeyni affirme le contraire : « Israël est un grand danger pour l'Islam. Les musulmans doivent employer tous les moyens pour chasser ce microbe de corruption... Ce qui signifie qu'il est légitime d'utiliser al-Zakat dans ce but. »
Rapport du 31 octobre 2001 : rédigé à l'intention d'Arafat par Jibril Rajoub, le chef d'un autre service de renseignement palestinien. Ce texte précise : « Selon nos informations, des réunions intensives se déroulent actuellement à Damas. Y participent les chefs du Hamas, du Djihad islamique, du FPLP-CG et du Hezbollah. Grâce à l'aide financière de l'Iran, il s'agit d'accroître les activités militaires communes. Tout cela intervient après qu'un message iranien a demandé aux responsables du Hamas et du Djihad islamique d'empêcher que la situation ne se calme en lançant des attaques suicides contre les Israéliens. L'argent sera transféré via le Hezbollah afin de déclencher l'escalade dans les prochains jours. »
Activités terroristes dans le secteur de Jénine
Ali al-Sa'adi, quarante ans, et Thabet Mardawi, vingt-six ans, étaient les responsables les plus élevés du réseau du Djihad islamique dans la région de Jénine. Tous deux ont avoué leur participation à de multiples attentats.
Ils étaient en contact permanent avec le docteur Ramadan Chalah, secrétaire général du Djihad islamique, qui est installé à Damas. Connu pour avoir publiquement revendiqué l'attentat suicide de Megiddo, qui tua dix-huit Israéliens le 5 juin 2002, le docteur Ramadan a dit : « Le Djihad islamique est un fruit produit par le bel arbre de notre chef Khomeyni. »
Al-Sa'adi (Saffouri de son nom de guerre) a reconnu qu'en novembre 2001 ses chefs de Damas l'avaient autorisé à organiser une opération terroriste associant le Djihad islamique et le Fatah de Yasser Arafat.
Après les attaques du 11 septembre, Mardawi raconte que Ramadam Chalah a reçu ordre de renoncer aux attentats pour éviter toute apparence de parallèle entre le Djihad et Al Qaida. Précision du document : « Il est possible, note l'analyste israélien des documents confisqués, que cette suspension des attaques ait été décidée par les autorités syriennes (peut-être en coordination avec l'Iran). »
Activités terroristes dans la région de Hébron
Mahmoud Isma'il Barawish était le chef du Djihad à Hébron. Lors de son interrogatoire, il a fait le récit de ses conversations avec Akram al-Ajouri, un des responsables du Djihad à Damas, qui supervise les opérations dans les Territoires palestiniens.
Au second semestre 2001, Ajouri demanda à Barawish de recruter des militants pour des « attaques de qualité ». Barawish donna alors à ses volontaires d'importantes sommes d'argent, expédiées de Syrie, pour couvrir les « dépenses militaires » du réseau. Barawish procéda à cinq ou six distributions de fonds, pour un total à chaque fois de 10 000 dollars à 20 000 dollars. Ainsi réorganisé, le réseau se livra à plusieurs attentats sanglants.
Le rôle du FPLP
Rami Sa'id Katouni et Sama Mahmoud Salim Jibril, arrêtés au cours de l'été 2001, ont aussi beaucoup parlé. Recrutés à Naplouse, ils avaient été envoyés en Syrie pour un cycle de formation. Passés par Amman, ils avaient reçu des mains d'un policier syrien, qui les attendait à la frontière entre son pays et la Jordanie, une enveloppe marron sur laquelle était écrit : « Rendez-vous d'ici trois jours dans les bureaux du service des renseignements syriens à Damas ». Selon Rami Katouni, ils furent effectivement reçus au siège des services de renseignement par un haut responsable qui vérifia leurs papiers et leur souhaita bonne chance.
A Damas, ils rencontrèrent aussi Jihad Ahmed Jibril, le fils d'Ahmed Jibril. Jihad Jibril, qui fut tué dans l'explosion d'une voiture piégée au Liban le 20 mai 2002, les envoya dans un camp militaire baptisé 17 Septembre, qui se trouve à quarante-cinq minutes de voiture de Damas. Pendant deux semaines, on leur apprit à manipuler les explosifs, à préparer des détonateurs, à fabriquer des ceintures explosives pour les attentats suicides. Finalement, ils retournèrent à Damas dans les locaux du FPLP, où ils dressèrent la liste de leurs futurs attentats : tirs de mortiers, embuscades de patrouilles militaires et surtout attentat suicide contre le gratte-ciel Azrieli, à Tel-Aviv. Le FPLP leur promit l'aide d'Arabes israéliens et la fourniture des armes nécessaires. Seule l'interception des deux hommes, le 7 août 2001, sur le pont Allenby, empêcha ces attaques.
Les outils financiers du terrorisme
Grâce à leurs énormes ressources pétrolières, les Iraniens donnent beaucoup d'argent.
Document du 10 décembre 2000 : ce rapport du GIA indique que les Bataillons al-Qassam sont mécontents d'avoir reçu « seulement » 400 000 dollars depuis le début de l'intifada. Les Iraniens ont pourtant remis un chèque de 700 000 dollars aux différents mouvements de l'opposition anti-Arafat, et cela afin d'encourager les attaques contre des cibles israéliennes.
La Syrie, dont les ressources financières n'ont rien de comparable à celles de l'Iran, ne fournit pas d'aide financière directe aux organisations terroristes. Mais elle leur permet d'utiliser le système bancaire syrien pour effectuer des virements vers les Territoires palestiniens. Les autorités syriennes peuvent ainsi surveiller les mouvements de fonds.
Cet argent encourage toutes les organisations à frapper, y compris les Brigades du martyr du Fatah, qui, pourtant fidèles à Arafat, reçoivent indirectement de l'argent iranien.
L'argent du Djihad de Jénine
Depuis la Syrie, le Djihad a viré de l'argent sur les comptes de Thabet Mardawi et de Safouri, chefs de l'organisation islamiste pour la région de Jénine. Comme toujours, l'argent transita par l'Arab Bank. Les documents capturés révèlent que les Saoudiens ont aussi fait appel à cette banque pour payer les pensions versées aux familles des Palestiniens tombés dans l'intifada, y compris les kamikazes. Safouri a expliqué que chaque groupe opérationnel du Djihad disposait de son propre compte bancaire. Le montant des virements dépendait des besoins opérationnels.
Tout cet argent a permis au Djihad de s'imposer à Jénine comme la première des organisations terroristes. Au point que la ville a été surnommée la « capitale des kamikazes ».
Selon un autre document du GIA, cet argent a permis au Djihad de financer des attaques du Fatah pour la plus grande humiliation des Brigades des martyrs du Fatah, qui ont toujours manqué de moyens. L'argent du Djihad a aussi aidé les familles des morts du Fatah, permis de verser des pots-de-vin pour recruter des agents doubles au sein des services de renseignement palestiniens, convaincu les Brigades des martyrs du Fatah de participer à des opérations communes, notamment l'attentat suicide d'Afoula.
L'Iran finance indirectement le Fatah
Le colonel Mounir al-Maqdah dirige une faction dissidente du Fatah dans le camp de réfugiés Ayoun al-Houlwah, près de Saïda, au Liban. Mounir a rompu avec Arafat par rejet de toute négociation entre les Palestiniens et Israël. Pourtant, les interrogatoires ont révélé que Mounir a envoyé beaucoup d'argent aux Brigades des martyrs du Fatah, un groupe resté loyal au président palestinien.
Il est probable que ces subsides ont une origine iranienne puisque Téhéran aide très officiellement Mounir via le Fonds des martyrs, qui aide les familles des Palestiniens tombés contre Israël. Autrement dit, l'Iran aide indirectement le Fatah, qui ne fit jamais rien pour briser les liens établis entre ses militants et Mounir afin de réaliser des opérations terroristes.
Le fait que l'Iran ait fourni une assistance indirecte aux militants du Fatah, puis, à l'occasion de l'affaire du Karine-A, une aide directe à l'Autorité palestinienne, signifie que la politique iranienne a viré de bord. Au début de l'intifada, l'Iran estimait que l'Autorité palestinienne avait trahi pour conclure un accord politique avec Israël. Cette analyse s'est modifiée vers le deuxième trimestre de 2000, quand l'Autorité palestinienne s'est progressivement imposée comme le chef de file du combat terroriste contre Israël.
De l'argent pour Naplouse
Nasser Aweis, habitant le camp de réfugiés de Balata, près de Naplouse, est un ancien agent du GIA et un militant des Brigades des martyrs du Fatah. Entre janvier et mars 2002, il a participé à plusieurs attentats qui ont fait de nombreuses victimes à Jérusalem, à Hadera et à Netanya. Détenu depuis l'opération « Bouclier défensif », Nasser Aweis a désigné Mounir comme le financier des opérations terroristes des Brigades des martyrs du Fatah. Toutes les dépenses des terroristes étaient couvertes : qu'il s'agisse de la location de planques ou de l'acquisition d'explosifs. Mounir lui a demandé d'ouvrir un compte personnel à l'agence de l'Arab Bank à Naplouse, où il virait chaque semaine une somme de 5 000 dollars. Nasser Aweis pense avoir reçu de 40 000 dollars à 50 000 dollars.
Détournements de fonds
Les documents saisis révèlent que les détournements de fonds sont courants. Saffouri, le chef du Djihad pour Jénine, et Bassam al-Sa'adi, le trésorier, se sont violemment querellés à ce propos. Saffouri devait recevoir de Damas 127 000 dollars, mais cet argent avait « disparu ». De même que les 31 000 dollars, « reliquat des dépenses pour l'attaque d'Afula », n'étaient jamais arrivés jusqu'à Saffouri.
Un informateur du GIA au sein du Djihad avait reçu 10 000 dollars de Damas. Il partagea la somme en trois : un tiers pour lui, un tiers pour le Djihad, un tiers pour un responsable du GIA. Un autre agent des services palestiniens à l'intérieur du Djihad reçut 8 000 dollars pour une cellule militaire à Jérusalem totalement inventée.
Comment le Hamas a pénétré les services palestiniens
Rapport du 4 février 2002 : il est adressé au directeur du GIA par un de ses agents. Le Hamas et le Djihad islamique ont réussi à pénétrer les services de renseignement palestiniens de la région de Jénine en versant des pots-de-vin. Jamal Switat, directeur adjoint du Service de la sécurité préventive, prévient le Djihad des arrestations prochaines de ses militants. Le même responsable a livré au Hamas et au Djihad des armes qui avaient été volées dans un dépôt de la Palestine du Nord.
Al-Rah, officier du Service de la sécurité préventive, a fourni des armes au Djihad. Notamment des fusils d'assaut M 16, Galil et Sigsauer. Le mouvement du Fatah à Jénine joue un double jeu. Officiellement, il soutient l'Autorité palestinienne, mais il s'oppose aux arrestations ordonnées par l'Autorité.
Formation des terroristes en Syrie et au Liban
Mouhammad Abd al-Malk, de Sourif, rejoint en mai 2001 les rangs du Hamas bien décidé à être candidat pour un attentat suicide. Expédié en Syrie, il se retrouve dans un camp du FPLP-CG. Il y fait ses classes : tir à balles réelles, utilisation des explosifs. Ensuite, on le renvoie chez lui, en passant par l'Arabie saoudite pour camoufler son séjour en Syrie.
En juillet 2001, Majdi Sadeq Tabesh est formé au maniement des explosifs dans le camp de réfugiés d'al-Yarmoukh, puis dans un camp de l'armée syrienne à Dourayj, près de Damas. Il est initié aux mèches réglées sur trente minutes et, avec un téléphone portable, au déclenchement à distance des bombes.
Hussein Zagahal, originaire d'un village près de Jénine, et engagé par le Hamas, a été envoyé à Damas en août 1998. Etudiant dans un programme de doctorat en recherche islamique, il reçut parallèlement une formation militaire qui, six semaines durant, l'occupa trois jours par semaine dans une base de l'armée syrienne se trouvant à quarante minutes de Damas. C'est là qu'il apprit à se servir du missile Law.
Les armes iraniennes du Karine-A
Pour aggraver l'intifada, Téhéran a délibérément cherché à fournir des armes sophistiquées à l'Autorité palestinienne. C'est l'explication de l'affaire du Karine-A. Les interrogatoires de l'équipage ont démontré que l'Iran était directement impliqué. Le commandant du bateau, Omar Akawi, a expliqué que, pour faciliter le débarquement des armes, celles-ci avaient été emballées dans des containers submersibles spécialement fabriqués en Iran. L'équipage a déclaré que le bateau était arrivé près des côtes iraniennes, non loin de l'île de Kish, le 9 décembre 2001.
L'arsenal du Karine-A représentait un véritable saut qualitatif. Ainsi pour les obus de 107 et de 122 millimètres avec leurs tubes de lancement : ces armes ayant une portée de 20 kilomètres, la plupart des grandes villes israéliennes auraient pu être frappées. Les missiles antichars et les mortiers de 120 millimètres auraient été particulièrement efficaces contre l'armée israélienne. Si ces armes étaient parvenues dans les Territoires palestiniens, les Brigades des martyrs du Fatah auraient pu établir, aux dépens d'Israël, un équilibre de la terreur similaire à celui qui avait fini par s'imposer au Liban.
Un certain nombre de ces armes ont été fabriquées en Iran en 2001. Notamment les missiles antichars PG 7 Tandem et PG 7 Nader, les missiles antichars YM 3 et les mines antipersonnel YM 1. Pour empêcher l'identification du fabricant, les inscriptions sur les armes avaient été changées, et les numéros d'immatriculation effacés. Nous estimons la valeur de la cargaison du Karine-A à 2 millions de dollars. Les interrogatoires ont révélé que les fonds pour acheter les armes et le bateau avaient été fournis par le Hezbollah. Ce mouvement libanais n'ayant pas de ressources, il est évidant que c'est l'Iran qui a donné l'argent.
Sources? by Janovitch Tuesday October 01, 2002 at 04:21 PM |
Voilà un texte qui avance beaucoup d'infos intéressantes, dont aucune n'est pourtant vérifiable en raison de l'absence de sources.
Rien que pour ça, il est à prendre avec beaucoup de précaution.
Ciao
Janovitch
bien by el prestator Tuesday October 01, 2002 at 04:55 PM |
On en apprend beaucoup sur la politique de certain pays du moyen orient et je dois dire que ça explique beaucoup de zone d'ombre.
La vida pasa
adios
Propagande téléguidée by R.B. Tuesday October 01, 2002 at 05:03 PM |
C'est la technique habituelle de la propagande israélienne.
Tout fait ventre, et les zélés propagandistes d'Israël utilisent tous les canaux possibles pour faire passer toutes les carabistouilles des services de propagande israéliens. Vrais ou faux rapports (le jour où s'ouvriront les archives...)
A lire : "La guerre israélienne de l'information" (La Découverte/€
précision étonnante by grignaud gilbert Tuesday October 01, 2002 at 05:59 PM |
Je ne vois pas pourquoi un chef de renseignement palestinien écrivant à Yasser ARAFAT, précise que tel groupe islamiste a des relations de préparation d'attaques "avec le FATAH de Yasser ARAFAT". Par contre, cela cadre parfaitement avec la propagande israélienne qui impute tout acte de résistance au dirigeant légitime de l'ennemi, pour l'affaiblir.
De même, les renseignements obtenus des prisonniers palestiniens, sans doute sous la torture (on parle "d'interviews !), ne peuvent que donner des informations satisfaisant les geoliers israéliens... mais pas les critères de vérité minimum !
Ceci m'amène à mettre en doute les infos d'un autre message récent sur les "sermons" islamistes d'Arabie Saoudite et des commentaires ajoutés à cette info.
Gilbert
so what? by Woody Tuesday October 01, 2002 at 06:37 PM |
Zie ook het gemak waarmee linkse organisaties zoals FPLP onder 1 terroristische noemer worden geplaatst met fundamentalistische organisaties (Hamas, Djihad, Hezbollah). Net zoals Israel en de USA het graag horen.
Inderdaad zionistische propaganda.
En vooral ... Syrie traint het FPLP, Iran financiert Fatah.
So what?
Woody.
Sources ??? Tsahal ... ou Mossad ??? by Tiredofthasucks ! Wednesday October 02, 2002 at 12:12 PM |
D'où cette personne tire ces infos ????
Travaillerait-elle pour Tsahal ???? Ou encore pour la propagande purullente de Sharo(g)n(e) "le boucher" attendu au TPI ???
"Nous estimons la valeur de la cargaison du Karine-A à 2 millions de dollars."
C'est quoi ce "nous" ???
"Les interrogatoires ont révélé que les fonds ...."
Tout le monde connait les techniques "démocratiques " d'interrogatoire utilisées en Israël ....(ou à Guantanamo ....)
Ne stigmatisons pas... by Votre conseil-santé Wednesday October 02, 2002 at 02:21 PM |
...et demandons à Carole de nous poster "le texte qui commence par une introduction générale" ou si elle peut ajouter un petit explicatif concernant l'origine et sources avant de l'envoyer à la poubelle comme étant de la propagande zioniste.
En attendant, pour rejoindre Janovitch, prenons ce texte avec précaution.