11/09: Pourquoi ils ont laissé faire les pirates de l'air. Un interview. by Gérard de Sélys Tuesday September 10, 2002 at 10:51 AM |
Dans l'amas de ferrailles du 11 septembre, Peter Franssen et Pol De Vos ont cherché l'aiguille: le résultat est un impressionnant dossier de faits. A maintes reprises, les Etats-Unis ont utilisé le terrorisme comme stratégie militaire, une doctrine qui rend logique des complicités. Le 11 septembre a été le choc indispensable pour faire accepter au peuple américain de nouvelles guerres contre tous les pays qui refusent l'hégémonie américaine.
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Plus de deux mois avant la journée fatidique du 11 septembre, la CIA savait que le réseau Al Qaida d'Oussama Ben Laden fomentait des attentats. Cinq services de renseignements étrangers avaient averti les Américains. Le BND allemand, par exemple, disait littéralement: "Des terroristes du Moyen-Orient planifient de détourner des avions de ligne pour attaquer des symboles importants des Etats-Unis".
La CIA et Bush n'ont rien fait. Champ libre pour Ben Laden, l'homme à la longue carrière au service de la CIA. Pire encore, des dizaines d'indications remontent à la surface et prouvent que les services de renseignements suivaient de près les pirates de l'air et les ont laissé faire sciemment.
Dans l'amas de ferrailles du 11 septembre, Peter Franssen a cherché cette aiguille: le résultat est un impressionnant dossier de faits.
A maintes reprises, les Etats-Unis ont utilisé le terrorisme comme stratégie militaire, une doctrine qui rend logique des complicités. Le 11 septembre a été le choc indispensable pour faire accepter au peuple américain de nouvelles guerres contre tous les pays qui refusent l'hégémonie américaine.
Ceci est la seule these plausible by Nicolas Firket Wednesday September 11, 2002 at 12:39 PM |
nicofirk@hotmail.com |
Je suis personnellement tres satisfais de voir que des informations tangibles avancent en ce sens. Cette these est celle dont j'etais convaincu au jour meme des attentats. Un bon sens critique pouvait deja decele l'imperceptible "gout" d'une falcification et d'un controle de l'evenement et de la recuperation directe de sa puissance mediatique au profit de l'ideologie d'etat americaine. La these du laisser faire est evidente.
lien qui marche by protesta Wednesday September 11, 2002 at 12:45 PM |
protesta@wol.be |
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