11 septembre : l'affaire VREELAND (traduction) by do Tuesday April 09, 2002 at 04:34 PM |
do@mai68.org |
11 SEPTEMBRE : interview d'un espion qui savait à l'avance ce qui allait se passer, qui a voulu prévenir pour éviter les événements, et qui risque de se faire exécuter par la CIA ! Faites circuler ce texte pour le sauver et pour qu'il puisse un jour témoigner officiellement. Ce texte est une traduction par un volontaire anonyme.
Original
in english here : http://france.indymedia.org/front.php3?article_id=14040&group=webcast or here :
http://www.copvcia.com
(L'original en anglais provient de ce site nommé FTW) or here
sur mon site : http://www.cs3i.fr/abonnes/do/ag/465.htm Témoignage d'un espion Mike Vreeland avait prévenu les Américains
de ce qui allait ce passer et il en a les preuves ! De : « Mike
Ruppert » La
survie de From The Wilderness
dépend peut-être de la rapidité avec laquelle ce message
sera distribué sur Internet. SVP
DIFFUSEZ-LE LARGEMENT. ENTRETIEN
DE FTW : DELMART « MIKE » VREELAND. Ce
que la CIA ne veut pas que vous sachiez. [Note
de l'éditeur : Juste avant la publication de ce texte, le site FTW a
été piraté pour la deuxième fois en un mois. Ce
piratage mené avec des méthodes sophistiquées
avait apparemment pour but de nous empêcher de publier l'entretien suivant.
Par mesure provisoire d'urgence, n'envoyez s'il vous plait QUE les messages
e-mail urgents à mikeruppert@earthlink.net.
FTW sera de retour et fonctionnera de manière encore plus sécurisée
dans un avenir proche. MCR] 4 avril 2002,
13H00 « PST » (FTW) Si tous ses recoins sombres
étaient explorés, l'affaire Delmart Joseph « Mike »
Vreeland pourrait donner lieu à un livre qui rivaliserait avec « Guerre
et Paix ». Cette affaire a suscité des attaques répétées
contre FTW et contre moi personnellement, et elle a sérieusement perturbé
beaucoup d'officiels à Washington. Ces attaques donnent une indication
sur la menace que Vreeland fait peser sur la crédibilité du gouvernement
états-unien. Il n'existe qu'une question vraiment importante : comment
cet homme a-t-il été capable d'écrire des renseignements
qui décrivaient les événements du 11 septembre alors
qu'il était enfermé dans une cellule, plus d'un mois avant que
les attaques ne surviennent ? La
« ménagère du Kansas » ne sera peut-être
pas intéressée de savoir que les charges portées contre
Mike Vreeland sont très confuses certaines sont très
contradictoires et semblent fabriquées pour une série
de délits mineurs dont la fraude. Mais cela peut être une affaire
de la plus haute importance pour la même ménagère si l'on
sait que cet homme a eu connaissance d'informations précises concernant
les attentats, qu'il a essayé d'avertir aussi bien le gouvernement états-unien
que le gouvernement canadien à ce sujet, et qu'on l'a ignoré.
Si un fou accourt vers vous dans la rue et vous affirme qu'une maison est en
feu avec des enfants pris au piège à l'intérieur, et que
vous sentez de la fumée, qui est le plus fou si vous décidez de
ne pas enquêter ? L'US
Navy prétend que Vreeland, arrêté au Canada le 4 décembre 2000
et qui lutte actuellement contre une demande d'extradition venant des États-Unis,
a été renvoyé pour performance insuffisante après
seulement 4 mois de service en 1986. Mais une pile croissante de preuves, dont
la plupart ont été classées dans des comptes-rendus d'audiences
et ne sont contestées ni par les autorités canadiennes ni par
les autorités états-uniennes, établissent clairement que
Vreeland était exactement ce qu'il prétendait être :
un espion. Dans
trois articles précédent, FTW a décrit comment on a falsifié
son dossier militaire, dont il est reconnu par tous qu'il comporte 1200 pages
de trop. Nous avons décrit comment, lors d'une audience publique sur
un haut-parleur de téléphone, ses avocats ont obtenu la confirmation
directe du Pentagone qu'il était un officier de la Navy. Nous avons encore
rapporté que, depuis le 14 mars, toutes les charges retenues au Canada
contre Vreeland ont abouti à un non-lieu. Il a été libéré
sous caution et il a obtenu du gouvernement canadien le statut provisoire de
réfugié, jusqu'à ce que sa bataille contre la requête
états-unienne d'extradition soit réglée. Une
chose que les autorités canadiennes n'ont jamais contesté est
que Vreeland a écrit son avertissement de mauvaise augure, gribouillé
à la hâte, plus d'un mois avant les attentats, et que cet avertissement
a été emporté et scellé par ses gardiens, hors de
sa portée, jusqu'au 14 septembre, 3 jours après les attentats. S'il
perd son combat contre l'extradition, Vreeland tout comme ses avocats pensent
qu'il sera assassiné dans les jours qui suivront son retour sur le sol
états-unien. Mike
Vreeland n'est pas un saint. Les agents secrets ne sont pas fait de ce bois-là,
et les gouvernements ne recrutent ni ne sélectionnent les candidats à
ce poste pour leurs qualités de sainteté. De son propre aveu dans
les documents de la cour de justice canadienne et dans plusieurs conversations
avec FTW, Vreeland admet avoir commis de vilaines choses. Il a été
mis en liberté surveillée pour des délits mineurs, et il
s'est comporté comme les agents secrets se comportent dans le monde réel
pas comme ceux de Hollywood. J'ai
eu l'occasion d'étudier, d'entrer en contact et de discuter avec des
agents secrets depuis plus de 25 ans. C'est pour cette raison que j'évite
certaines questions soulevées par les journalistes dilettantes et néophytes
qui s'accrochent à tous les fils des histoires de Vreeland, et qui les
suivent à travers un maquis dont aucun journaliste professionnel ne pourrait
émerger de manière crédible. Oui, je l'ai écouté
parler du dénommé « mercure rouge », de
bombes atomiques de la taille d'une balle de baseball, et des systèmes
d'armement de la guerre des étoiles. Oui, je l'ai entendu parler de bien
des choses, et je crois que ce qu'il m'a dit était vrai concernant sa
connaissance des événements et concernant les documents qu'il
a rapportés de Moscou en décembre 2000. Même
selon ses propres déclarations, Vreeland, qui a 35 ans aujourd'hui, était
un officier de grade relativement bas et un agent de renseignement de terrain.
Jamais dans l'histoire de l'espionnage un gouvernement n'a confié à
ses agents de terrain une connaissance stratégique totale, parce que
la connaissance détenue par ceux qui font les plans est compartimentée
et vérouillée. Peut-être 80 % de tout le travail de renseignement
est de la désinformation, et les gouvernements savent que leurs agents
de terrain risquent d'être capturés, interrogés et torturés.
Assez souvent les agents de terrain sont eux-mêmes désinformés
de manière à ce que, s'ils parlent, ils aillent quand même
répandre des mensonges qui servent un but stratégique plus large.
Assez souvent ils transportent des documents qui sont délibérément
inexacts et leur capture est manigancée pour donner de la crédibilité
à ces documents. Pour
le gouvernement des Etats-Unis, Vreeland n'est qu'un pion qu'on peut sacrifier.
Et ceux qui se précipitent sur chaque information qu'il a dévoilée
seront eux-mêmes bernés dans un jeu de dupes. Mais
il reste une question. Et c'est une question que le temps et les événements
ont maintenant justifiée. Avant qu'ils ne surviennent, il savait quelque
chose à propos des attentats du 11/09 avec une exactitude qui fait froid
dans le dos. Et s'il savait quelque chose en se basant sur des documents fournis
par des fonctionnaires russes qui montraient la connaissance qu'en avaient les
Etats-Unis, et si le gouvernement américain a employé les grands
moyens pour le discréditer, au lieu de le mettre à l'abri, alors
il y a vraiment là matière à réflexion pour les
journalistes, le gouvernement américain et l'ensemble du genre humain. Je
lui ai posé 35 questions, et maintenant vous pouvez lire les réponses
de Mike Vreeland qui parle en son nom propre. Les 32 premières questions
ont été adressées conjointement à Vreeland et à
son avocat, Paul Slansky, pour examen. Les trois question restantes ont été
posées après le dernier piratage du site de FTW, dont nous pensons
qu'il a été perpétré par la CIA. C'est ce qui a
rendu urgente la publication de cet article et ceci est aussi une déclaration
pour la survie de la presse libre en Amérique : 1.
Pour quelle partie du gouvernement états-unien travailliez-vous ?
Etait-ce la CIA ? 2.
Est-ce que votre mission était essentiellement liée aux affaires
de terrorisme et de pétrole ? 3.
Pourquoi étiez-vous à Moscou et en Russie fin 2000 ? 4.
Quand avez-vous déclaré aux autorités canadiennes que Bastien
avait été assassiné ? 5.
Quand ont-ils finalement admis que Bastien avait été assassiné ? 6.
Quand avez-vous obtenu pour la première fois des renseignements sur les
attaques qui devaient survenir le 11 septembre ? 7.
Comment avez-vous obtenu ces renseignements ? 8.
Qui a placé l'information sur les attentats dans la valise diplomatique,
et quels auraient été leurs mobiles pour le faire ? 9.
Après avoir obtenu les renseignements au sujet des attentats imminents
sur le World Trade Center et le Pentagone, combien de temps avez-vous attendu
avant d'essayer de notifier cette information aux autorités canadiennes
et états-uniennes ? 10.
Quelle a été leur réaction ? 11.
Quel a été votre sentiment sur cette attitude ? 12.
Est-ce que la réponse des Etats-Uniens et des Canadiens vous a mené
à certaines conclusions ? Si oui, lesquelles ? 13.
Votre avertissement écrit contient la déclaration : « Laissez-en
un se produire, stoppez les autres ». Qui allait en laisser un se
produire ? Qui allait stopper les autres ? 14.
Cette déclaration implique-t-elle que les Etats-Unis ou quelque autre
agence de renseignement était parvenue à infiltrer complètement
les cellules terroristes ? 15.
Savez-vous qui est parvenu à cette infiltration ? 16.
Est-il possible que les cellules terroristes aient été « pilotées »
sans savoir par qui ? 17.
Le prétexte le plus courant qu'on utilise pour vous discréditer
est que vous avez été d'abord arrêté pour fraude,
et il y a de nombreux articles dans la presse qui vous relient à des
activité criminelles avérées. Comment expliquez-vous cela ? 18.
Combien de fois avez-vous été arrêté pour des infraction
pénales ? 19.
Combien de fois avez-vous été condamné ? 20.
Le mandat du Michigan pour fraude à la carte de crédit est basé
sur l'utilisation de votre propre carte de crédit. Comment expliquez-vous
cela ? 21.
Est-ce que vos cartes de crédit ont été autorisées
ou facilitées par l'US Navy ou une autre section du gouvernement états-unien ? 22.
Le gouvernement des Etats-Unis ou n'importe laquelle de ses agences de renseignements
pouvaient-ils « insérer » les accusations par l'intermédiaire
d'agences d'Etats et d'agences locales ? 23.
Vous étiez en garde à vue à New York à la date de
la prétendue infraction au Michigan. Quelles étaient les charges,
et quelles étaient les dispositions de cette affaire ? 24.
Est-ce qu'une partie de vos fonctions à la Navy consistait à travailler
avec des familles du crime organisé ? 25.
Certaines de ces familles étaient-elles dans le Michigan ? 26.
Pour quelle raison travailliez-vous avec le crime organisé ? 27.
Avez-vous peur de vous faire tuer si vous êtes extradé vers les
Etats-Unis ? Pourquoi ? 28.
Pouvez-vous expliquer pourquoi les tribunaux canadiens ne permettent pas à
votre avocat d'introduire les preuves qui confirment votre position dans l'US
Navy ? 29.
Que voulez-vous ? 30.
Que pensez-vous qu'il va arriver maintenant dans votre procès ? 31.
Est-ce que la guerre contre le terrorisme a d'autres buts que ce qu'on en a
dit aux peuples du monde ? 32.
Que pensez-vous qu'il va arriver maintenant dans la guerre contre le terrorisme ? 33.
Vous êtes récemment entré en relation avec un journaliste
américain nommé Rick Wiles. Quelle est votre opinion de Wiles
et quelle fut votre expérience ? 34.
Vous êtes récemment entré en relation avec un journaliste
américain nommé J.R. Nyquist. Quelle est votre opinion de
Nyquist et quelle fut votre expérience ? 35.
Est-ce que toutes ces déclarations sont sur l'enregistrement ? * «
It's been put to me that there were certain officials who wanted the attacks
to happen. » : d'après le contexte, j'estime qu'il veut dire «
cela me suggère que. », mais on peut aussi comprendre « On
m'a suggéré que. » (NDT) ---- Suite
aux récents piratages les ventes et les entrées d'argent de FTW
ont été interrompues tandis que nous dépensons les milliers
de dollars nécessaire pour améliorer notre sécurité
et nos services sur la Toile. Les sympathisants de FTW qui veulent nous adresser
des dons dans cette situation d'urgence peuvent le faire en appelant le 818-788-8791. Note
de do : Pour voir une photocopie du document original de Vreeland voulant
prévenir de ce qui allait ce passer, cliquer
ici. Merci pour votre attention,
sur le 11 septembre 2001
Date : Jeudi 4 avril 2002, 8H33
Sujet : MESSAGE URGENT DE « FROM
THE WILDERNESS »
(FTW) Mike Vreeland parle depuis le Canada Le
site de FTW a été piraté dans le but apparent de
bloquer cet article.
Par Michael C. Ruppert
Je travaillais pour les renseignements de l'US Navy. Ce que la CIA
nous ordonne de faire, c'est leur affaire, aussi nous n'avons pas de moyen de
savoir si nous travaillons pour elle ou pas.
Oui,
à ces deux sujets entre autres.
J'avais été envoyé là-bas par le gouvernement
des États-Unis et par l'ONI [Office of Naval Intelligence]. J'ai reçu
mes ordres entre le 4 et le 7 septembre 2000. Marc Bastien est parti
pour la Russie le 7 septembre 2000. J'avais pour ordre de le rencontrer.
Bastien devait travailler à l'ambassade canadienne sur des diagrammes
et des projets concernant un système d'armes défensives [weapons
defense system]. Le gouvernement états-unien avait une influence directe
sur sa mission. Le nom de ce système de défense est SSST [Stealth
Satellite System Terminator - Système de satellite furtif Terminator].
Le système a cinq possibilités différentes, individuelles
et uniques, de défense et de frappe. La seule partie dont j'ai parlé
publiquement est un élément relatif à des satellites réellement
en orbite actuellement, qui ne sont pas à ce jour la propriété
du gouvernement des Etats-Unis. Sur conseil de mon avocat je ne peux pas parler
des autres composants.
Ce
composant-là est un système satellite. Dans les limites du système
se trouvent de multiples missiles déployables spatial/orbital EMP [à
impulsion électromagnétique] qui ne sont pas dirigés vers
le sol. Ils ont pour cible les satellites de tous les autres pays. Ils pourraient
détruire les communications du monde entier. Les satellites de certains
pays qui sont renforcés au titanium sont protégés contre
ces armes. Les pays ainsi protégés sont la Russie et la Chine,
mais les satellites états-uniens sont vulnérables et Poutine a
affirmé à Bush que le système états-unien de défense
par missiles ne fonctionne pas, et que Bush le sait.
La
raison pour laquelle je suis allé en Russie était que j'avais
besoin de rencontrer Bastien et une autre personne du ministère russe
de la Défense, nommé Oleg. Le but était de joindre le diplomate
canadien qui était entré en contact avec Oleg afin d'obtenir le
livre des plans de la section Recherche & Développement du ministère.
Cela a été fait. Nous avons recopié le livre en entier.
Puis nous avons pris certains documents, et nous avons changé de grandes
parties du plan de défense de manière à ce que le programme
ne fonctionne pas. Ils le savent maintenant.
En
plus de cela je devais recueillir des documents d'autres agents et les rapporter.
Je ne leur ai jamais dit qu'il avait été assassiné. J'ai
écrit une lettre à Bastien vers juin 2000 depuis ma cellule. Je
l'ai envoyée au CSIS [Canadian Security and Intelligence Service] à
Ottawa, à l'attention du directeur exclusivement. J'avais restructuré
le diagramme pour le remettre dans son état originel. Mais je n'ai jamais
dit à personne comment exactement le remettre en place et comment le
construire. Le CSIS savait déjà que Bastien était mort.
Il est mort six jours après mon arrestation le 6 décembre. J'ai
été libéré le 9 décembre. Il a été
tué le 12 décembre.
Le
CSIS a envoyé la RCMP [Royal Canadian Mounted Police - Police montée]
(le sergent Mabe et le caporal Kispol) pour me rendre visite le 8 août
2001. Et ils m'ont appris qu'il était mort. Ils n'ont pas dit qu'il avait
été assassiné. Ils m'ont dit qu'il était mort. Je
leur ai dit que si Bastien était mort, c'était un meurtre, et
qu'ils devraient établir un rapport de toxicologie. Et je vous dirais
comment cela a été fait, et qui l'a fait.
Ils
ont admis que j'avais raison à la mi-janvier.
Dans
la première semaine de décembre 2000.
Un
document a été écrit en anglais par un agent états-unien,
qui avait récupéré la copie d'un document qui avait été
envoyé à V. Poutine par K. Hussein, le fils de Saddam Hussein.
C'est ce que la traduction du document indique. Les Irakiens savaient en juin
2000 que j'arrivais. Je n'ai pas reçu mes ordres avant août. La
lettre disait que Bastien et Vreeland seraient traités « d'une
manière qui nous convienne ». La lettre déclarait spécialement
en page 2 : « Notre officiel américain nous le garantit ».
Je
ne suis pas autorisé à répondre à cela. Je mettrais
en danger les vies d'agents actifs, et je violerais le National Security Act
de 1947.
Le
6 décembre 2000 j'ai dit sans détour aux autorités canadiennes
que j'avais besoin de contacter les militaires canadiens immédiatement.
Je l'ai mis par écrit. Elle [le fonctionnaire canadien] s'est moquée
de moi, alors j'ai écrit que j'étais un espion russe et un expert
en systèmes d'armements, et que je voulais leur parler AUJOURD'HUI. J'ai
dit que j'étais un Russe car je m'imaginais que ça allait attirer
leur attention. Le nom sous lequel ils me connaissaient était Mikhail
Cristianov (Michael Christian), parce que j'avais une carte d'identité
qui utilisait ce nom.
Les
canadiens sont devenus bleus, ils sont partis et je ne les ai jamais revus.
J'en avais ras le cul. C'est sur la vidéo [référence
à une vidéo de surveillance de la cellule].
J'ai
pensé que j'avais affaire à des idiots qui n'avaient pas idée
de ce qui était sur le point d'arriver. Cela m'a suggéré
(*) qu'il y avait certains officiels qui voulaient que les attentats se produisent.
Personne n'a jamais eu l'intention de construire le système dont je m'occupais,
car le budget de la défense aurait été insuffisant. Une
chose qui s'est produite à la suite du 11 septembre est que le budget
du Pentagone a grimpé en flèche.
Je
ne peux faire de commentaire, sur le conseil de mon avocat.
La
question ne se pose même pas. Parfois certains gouvernements élaborent,
créent des réseaux comme Al Qaida, qui était le véritable
gouvernement de l'Afghanistan. Ces entités suscitent des problèmes
spécifiques [pour les orientations du gouvernement en formation ?**].
[Note de do : quelqu'un propose la traduction suivante pour cette phrase :
Ces entités créent des problèmes spécifiques à
la direction du gouvernement créateur.]
Je ne peux pas faire de commentaire.
Absolument.
Les
accusations d'American Express sont des foutaises, et Amex (American Express)
a déclaré dans un procès-verbal que les paiements spécifiques
en question ont été approuvés. Ils admettent qu'il n'y
a pas eu de fraude sur cette carte. Cette carte a été adressée
au Lieutenant Delmart Michael Vreeland. Les gens d'Amex ont admis que la carte
était une carte de l'US Navy.
Certains
m'ont accusé d'usurpation d'identité. Si quiconque faisait une
recherche dans les département de police aux Etats-Unis, on trouverait
qu'il n'y a pas un seul rapport de police de la part d'un seul individu aux
Etats-Unis qui a prétendu que j'aurais usurpé son identité.
Il n'y a pas une seule victime identifiée à aucun endroit. Trois
juges au Canada ont rejeté mes requêtes pour obtenir la communication
et la divulgation de ces prétendues accusations.
Les
articles de presse qui ont circulé à propos de mon passé
sont des mensonges. Les passages des articles allèguant fraude et usurpation
d'identité sont des mensonges. J'ai menacé de poursuivre ces journaux,
et les articles ont été retirés.
Je
travaille avec l'ONI. Certains officiels du gouvernement politiciens,
hauts fonctionnaires, et militaires hauts gradés bénéficient
des privilèges du 11e amendement et ne peuvent être poursuivis.
Une autre agence gouvernementale doit enquêter sur des activités
liées à la contrebande d'armes, au crime organisé et au
trafic de drogue. Ils utilisent leur pouvoir pour outrepasser la loi, et nous
ne sommes pas autorisés à enquêter sur eux. C'est pourquoi
certaines sections du gouvernement états-unien ont conçu une entité
appelée UID (Unofficial Intelligence Investigation Division - Division
non-officielle de renseignement et d'investigation). Elle a été
conçue par l'Amiral Jeremy Michael Boorda, qui s'est soi-disant suicidé.
Boorda a mis tout ça au point avant de devenir CNO [Chief of Naval Operation].
Ce n'était pas un mauvais gars.
Les
officiers du renseignement sont parfois mis dans des positions où ils
reçoivent des instructions pour infiltrer des organisations spécifiques
qui sont assez puissantes pour vérifier le passé d'un nouvel arrivant.
La page 335 du Charter Application à la Cour de justice du Canada montre
une copie des ordres du Commandement du sud [Southern command]. Ces ordres sont
datés du 18 avril 2000, concernant une opération anti-drogue
que nous étions en train de monter. À peu près au même
moment les médias ont diffusé largement des histoires selon lesquelles
j'étais un criminel recherché. C'était un moyen de me fournir
une couverture et une crédibilité par rapport aux gens que j'infiltrais.
Peut-être trois. Parfois pour des choses que j'avais commises,
comme une accusation de conduite en état d'ivresse à NewYork.
J'étais allé à l'ONU, et je m'étais saoulé.
Je
n'ai jamais été légalement condamné pour quelque
activité criminelle ou quelque forfait ou que ce soit. L'accusation de
conduite en état d'ivresse est toujours en suspens, et j'ai admis en
procès public que j'étais coupable.
C'est
un coup monté.
Oui.
Oui.
C'était l'affaire de conduite en état d'ivresse.
Oui.
Oui.
J'avais
pour ordre de le faire durant 90 % du temps. Le crime organisé fournit
les armes et la drogue qui vont aux gens sur lesquels nous enquêtons.
Oui.
Parce que j'ai parlé.
Oui.
Les Canadiens sont totalement soumis aux intérêts du renseignement
états-unien. Ils ont peur de l'Oncle Sam. Cela prouverait aussi
prouver que le CSIS a couvert la mort de Marc Bastien, et qu'on a étouffé
une affaire impliquant un membre d'une organisation majeure de trafic de drogue
qui avait planifié des assassinats de Canadiens influents. En fait, une
personne a été retrouvée morte dans une cuve d'acide. C'était
un tueur à gage.
Je
veux récupérer mon uniforme, mes arriérés de salaire
à 4210,90 $ par mois, et mon honneur. Je veux que le Président Bush
m'accorde une grâce pleine et entière et l'amnistie du gouvernement
des États-Unis. On me le doit bien. Je veux que Bush sache personnellement
ce que je sais, et quelles sortes de menaces pèsent sur les États-Unis.
Cela n'arrivera jamais, donc je cherche maintenant un statut de réfugié
permanent au Canada et la protection des Nations Unies.
Je
ne sais pas. Mon avocat est à la cour et cherche à obtenir un
report du procès d'extradition, parce que le gouvernement canadien ne
m'autorisera pas à assigner des témoins états-uniens très
importants, issus du Pentagone ou d'autres endroits.
Quelle
guerre contre le terrorisme ?
Il
faudra bien que quelqu'un finisse par dire la vérité. Une fois
que ces gens seront traités selon la loi, il n'y aura plus de faux terrorisme
répandu autour du globe.
Mon
opinion de Wiles est qu'il s'agit d'un psychopathe, qui est prêt à
imprimer tout ce qui peut lui faire gagner de l'argent. Mon expérience
avec lui, c'est que j'ai eu des conversations privées avec lui, qu'il
a enregistrées, sans me dire qu'il allait les mettre en ligne sur Internet
et les vendre au monde entier. Alors, une fois, je l'ai contacté et je
lui ai dit qu'il ne devait pas faire ça, il a répondu qu'il allait
les retirer immédiatement. Au lieu de les retirer il a placé une
publicité encore plus grande. Il a fait une plus grande publicité !
D'après mon opinion, ce n'est ni un homme d'honneur ni un professionnel.
Il a placé mon histoire juste à côté d'un article
sur quelqu'un qui a parlé aux extra-terrestres pendant 25 ans. Ouais,
c'est vraiment là que je veux voir mon histoire, juste à côté
d'un zozo qui parle aux extra-terrestres. Quel idiot ! Alors, maintenant,
il vend cet entretien audio avec moi pour 20$ et il garde tout l'argent. Il
n'a jamais eu ma permission pour le faire.
Ne
me lancez pas là-dessus. Mon opinion : Je pense qu'il doit travailler
pour le gouvernement. Je ne savais pas qu'il écrivait un article sur
moi. Il m'a posé quelques questions. J'ai répondu à quelques
questions. Je l'ai enregistré, et alors il est parti dans une digression
délirante sur des conneries psychologiques, et je n'ai même pas
lu tout l'article tellement ça m'a rendu fou. Il s'est mis à parler
des Russes, et tout ça, c'est des foutaises. Il m'a envoyé ce
fax sur vous, disant que Ruppert n'était pas mon ami. Il disait que les
Russes m'avaient enfermé. La vérité, c'est que c'est le
gouvernement américain qui m'a enfermé. C'est un salaud.
Oui
!
** « Those entities create specific problems at the creating government's
direction. ». Pas compris. (NDT)
Meilleure salutation,
do
http://mai68.org
lien pour le document by do Tuesday April 09, 2002 at 04:40 PM |
Pardon,
Voici le lien pour la photocopie de l'original du document Vreeland :
http://www.cs3i.fr/abonnes/do/ag/465/01_28_02_vreeland.jpg
<b>Toutes mes excuses,</b>
do
http://mai68.org