arch/ive/ief (2000 - 2005)

refoullement à la frontière franco-espagnole
by antoine moens Tuesday March 19, 2002 at 01:34 PM
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le vendredi 15 et samdi 16 plusieur centaines de manifestants se sont fait refouler à la frontière franco-espagnoles dans la plus plur illégalités. S'en sont suivit des manifestations à Perpignan.

Les 3 cars partis de Bruxelles arrivèrent vendredi 15 mars 2002 à la frontière espagnole du Perthus à 12h30.
Les policiers espagnoles vérifièrent et emportèrent les papiers des manifestants. Ils procédèrent ensuite à la vérification des sacs dans les coffres des bus. Par la suite, les policiers firent sortir tous les manifestants pour faire vérifier leurs sacs pour n'en vérifier en fait que quelques-uns uns.
Vers 14h, la police fît remonter le groupe de manifestant dans les 3 bus et les fît attendre. Une demi-heure plus tard, les conducteurs remontèrent et fermèrent les portes tandis qu'un policier, leurs fessait des signes pour les reconduirent en France. Dans le bus qui ouvrait la marche, les passagers demandèrent aux chauffeurs de s'arrêter et de les laisser descendre pour protester mais celui-ci fît la sourde oreille. Les manifestants se retrouvèrent, à 14h30, (avec 3 bus d'Attac France ayant subit le même sort) sur une aire de repos juste devant la frontière, coté français. Les policiers ne leur avaient donné aucune raison pour justifier cette expulsion et refusèrent de les entendre pour faire valoir leurs droits légitime de passer.
Vers 15 h, les manifestants des 6 cars de commencèrent à bloquer l'autoroute allant en Espagne. Ce mouvement se fît car il y avait sur la route allant vers l'Espagne un embouteillage crée par la frontière et qu'aucune autre décision ne fût prise par les responsables des bus.
A 15h15, il y a un mouvement des manifestants sur la route revenant d'Espagne.
A 15h20, la police détourne (a circulation
A 15h 25 une avocate du groupe des manifestants (Yoke) revînt de la douane espagnole.
A 15h30, la tension monte ainsi que le nombre de policiers français se trouvant en face des manifestants. A préciser qu'il n'y avait que des policiers français.
A 15h35, la police fît pression sur les conducteurs de car pour partir en les menaçant de leur retirer licences et permis. Cette pression obligea les manifestants belges à se replier sur le village catalan à 8 km de là.
Certains des manifestants décidèrent alors de tenter leur chance, en traversant la frontière à pieds et ensuite de faire du stop. Une série arriveront jusqu'à Barcelone
Il semble que les manifestants français restés au poste frontière aient subit des répressions policières.
Une fois réunis au village Catalan, les manifestants belges décidèrent alors de retourner à Perpignan, leur temps étant limité car les chauffeurs de car, devait s'arrêter de rouler pour faire une pause de 8 h. A Perpignan, ils retrouvèrent les manifestants français, et la préfecture leur donna un gymnase pour les loger où ils furent conduit du centre de Perpignan à ce lieu en bus. Ils y passèrent la nuit de vendredi à samedi.

Le samedi 16 mars 2002
Les manifestants belgo - français se rendent place de la Castille, dans le centre de Perpignan à 10h, où ils ont un rendez-vous avec les cars. Vers 10 h, ils apprennent que les préfectures de tout le département ont décidé d'interdire l'autoroute à tous les cars. De plus des cars de CRS s'installent devant le palais de congrès où se déroule une réunion des chefs de Catalogne. Les manifestants sont rejoint petit à petit par d'autre car de manifestant français détourné de la frontière vers le centre de Perpignan. Les manifestants sont toujours sur l'allée Mayolle, prés de la place de la Castille.
Une réunion de responsable s'organise et ils décident de faire une manifestation dans Perpignan pour obtenir le passage à la frontière, les groupes sont avertis de cette décision vers 11h22. la manifestation passera devant le consulat d'Espagne et la préfecture.
A 12h37, la manifestation se met en marche après une formation de groupe de sécurité composé de manifestant. Ils sont formés à empêcher de laisser entrer les policiers dans la manifestation et à réagir en cas de provocation. La manif se termine à 13h37. A 14h20, les délégués, partis (au consulat ou à la préfecture), n'ont pas obtenu d'accord mais décident de se retrouver tout les cars au village catalan. Il y en a plus de 20. Ils devaient se rendre à la frontière par la nationale pour passer en bloc.
Les Belges arrivèrent bien après les Français au village et retrouvèrent les cars français qui venait de se faire refouler. Durant le voyage, nous avons vu un panneau indiquant « CIRCULATION EN ESPAGNE INTERDITE AUX BUS »
Voici deux résume de témoignage de manifestants se trouvants dans les cars repoussés :
« Frédérique Joussen était dans le premier car français arrivant à la frontière. Là-bas les policiers demandèrent leurs papiers. Ils leurs interdirent de sortir du car. Après ¾ d'heure d'attente, les papiers furent rendus et ils furent renvoyer en France. Passé la frontière, les C.R.S. français bloquèrent l'aire de repos pour obliger le car à prendre l'autoroute. »
« Myrtille Jacquet était dans un car qui en arrivant à la frontière vit qu'un car était déjà bloqué. Une fois arrêtés à la frontière, les manifestants réunissent les cartes d'identités mais elles ne sont pas relevées et les policiers espagnols refusèrent le passage au car, ils l'obligèrent à repartir. Passé la frontière, les C.R.S. empêchèrent le bus de s'arrêter sur l'aire de repos et les poursuivirent jusqu'au péage de l'autoroute. »
A 16h15, un forum de discussion se tient dans le village catalan. Les manifestants reconnaissant être en face d'une levée des accords de Schengen très dure et que le gouvernement français est lié avec le gouvernement espagnol. Il est discuté la possibilité de faire une action symbolique. Au même instant, le bruit cour qu'un bus serait passé.
Les Français se répartirent dans leurs cars, une série partie essayer de passer la frontière tandis que d'autres rentraient chez eux.
Vers 18h15,les manifestants de d-14 se mirent d'accord. il y eut de nombreux débats entre manifestant et avec les chauffeurs, et la confirmation de l'ouverture de la frontière par la police. Le groupe se scinda en deux : Un bus se rendît à Barcelone et deux autres retournèrent directement à Bruxelles.

Intimidation et refoulement manu militari
by turlututu Tuesday March 19, 2002 at 08:59 PM
turlututu.lg@skynet.be

(article 1)

Intimidation et refoulement manu militari
by turlututu Tuesday March 19, 2002 at 08:59 PM
turlututu.lg@skynet.be

(article 2)

Intimidation
by turlututu Tuesday March 19, 2002 at 09:18 PM
turlututu.lg@skynet.be

Oups dsl pour la double publication le format plus haut est incompatbile. "Grenade larcymogène"