11 sept - Bush et Cheney sont impliqués! by do Monday March 04, 2002 at 02:24 PM |
do@mai68.org |
Voici une traduction bien présentée du fameux texte de Steve Grey. stevegreyau@yahoo.co.uk Je vous en pris, lisez-le. Car il développe des points que j'avais malheureusement négligés, ou dont je n'avais pas connaissance, et qui, à la lecture, s'avèrent très convainquants !
If the link
is dead, click here 11
sept : BUSH ET CHENEY SONT IMPLIQUÉS ! Niaz
Naik, un ancien diplomate pakistanais, affirme qu'à la mi-juillet [2001] des
hauts fonctionnaires américains lui ont dit qu'une attaque contre l'Afghanistan
avait été prévue pour la mi-octobre au plus tard, avant la période des neiges.
(rapport de la BBC, George Arney, 18 septembre 2001). Diverses
personnes possédant une expérience militaire, ainsi que mes propres recherches
à travers l'historique de précédentes campagnes militaires comparables, suggèrent
qu'il ne serait tout simplement pas possible d'organiser une opération militaire
à l'échelle de celle lancée par les Etats-Unis contre l'Afghanistan en l'espace
de 25 jours, c'est-à-dire dans le laps de temps séparant le 11 septembre et
le début de l'agression contre l'Afghanistan. Et quelle qu'ait été la
colère des Etats-Unis, logistiquement parlant, ce n'était pas possible.
Tertio, il est absurde de suggérer que les Etats-Unis peuvent avoir identifié
le coupable qui se cache derrière les attentats du 11 septembre en aussi peu
de temps qu'ils le prétendent. Ces
trois points, considérés dans leur ensemble, constituent une analyse convaincante
permettant d'affirmer que l'attaque contre l'Afghanistan était déjà prévue avant
le 11 septembre. En soi, cela ne constitue pas une preuve absolue que
les Etats-Unis soient impliqués dans l'organisation du 11 septembre — nous
y reviendrons dans la deuxième partie — mais cela permet déjà
de dire que c'est l'explication la plus plausible. Arrivés
à ce point, cela clarifiera les choses d'établir une liste des
scénarios possibles, en admettant qu'il existait déjà des plans d'attaque contre
l'Afghanistan : Bien
que je n'ai pas encore présenté de preuve spécifique concernant chacun de ces
scénarios, le bon sens nous dit que, si nous admettons que l'attaque contre
l'Afghanistan était prévue à l'avance, alors le 3ème scénario
constitue la seule explication plausible. Les
éléments de preuves présentés dans la deuxième partie vont se rattacher
à ces scénarios via de constants rappels de références, et ils démontrent de
façon concluante qu'une collusion active des autorités américaines dans
la planification des attentats est la seule explication possible. Le
matin du 11 septembre avait lieu la plus grave crise aéronautique qu'ait jamais
connu l'histoire du monde. Avant de poursuivre, il est particulièrement important
d'examiner les procédures standards que l'on prend en cas de détournement d'avion,
d'approche d'un avion sans autorisation ou non identifié, d'échec des communications,
ou de toute autre activité aérienne non programmée, sans se soucier que l'on
ait perçu ou non une menace immédiate. Les
forces aériennes sont alertées et des chasseurs à réaction décollent immédiatement.
Selon un rapport publié sur un website russe, le commandant en chef des forces
aériennes russes dit que la réponse à ce genre de situation ne prend pas plus
d'une minute. En fait, il disait qu'il aurait été impossible de perpétrer les
attentats terroristes du 11 septembre si les procédures normales de sécurité
avaient été en place et il ajoutait que la Russie elle-même avait traité facilement
une situation similaire qui s'était produite en Russie, bien qu'il ait négligé
de fournir des détails. ( httpp://emperors-clothes.com/news/airf.htm
) Le
but de l'interception est de suivre de très près l'avion et, de ce fait, de
fournir des informations exactes sur ses mouvements, éventuellement de garder
le contact radio et, si possible, d'en savoir plus sur la situation ou les intentions
des pilotes. Elle fournit également la possibilité, mais non l'obligation, de
forcer l'appareil à atterrir, ou de l'abattre s'il devient évident que ses intentions
sont hostiles. Alors
que le résultat final du 11 septembre — de gros appareils de ligne
s'écrasant contre des immeubles — est sans précédent, les événements
qui ont précédé les crashes font partie de la routine :
avions déroutés, non-fonctionnement des transpondeurs, rapports de détournements.
De telles situations sont régulièrement traitées par les forces aériennes américaines,
et avec une rare efficacité. Normalement, l'interception de ces appareils aurait
dû se dérouler selon les règles bien avant qu'il ait été manifeste que
leurs intentions étaient hostiles. Les
quatre appareils détournés avaient tous été suivis par les radars
des Autorités de l'Aviation Fédérale, et les contrôleurs du trafic aérien partout
dans le pays étaient en communication les uns avec les autres. Comme aucun fonctionnaire
subalterne n'a autorité à annuler les procédures de routine, leur
annulation n'a pu provenir que d'ordres donnés à cet effet par les plus hautes
instances. Dans
le cas de l'appareil qui a frappé le Pentagone, le vol 77 de United Airlines,
il aurait dû être intercepté, au moment où il s'approchait de Washington, par
des chasseurs de la base d'Andrews, située à 10 miles (16 km) tout
au plus du Pentagone. En fait, il aurait dû être intercepté beaucoup plus tôt
encore. Au plus tard à 9h05 du matin, le Pentagone était au courant que deux
appareils détournés avaient frappé les tours du WTC et qu'un autre avion détourné,
au moins, était dans les airs. À
10h10, on apprenait qu'un quatrième appareil, le vol 93 d'United Airlines,
avait été détourné. Celui-ci n'eut pas droit non plus à la procédure normale
d'interception. Il s'écrasa en Pennsylvanie à 10h37. (Remarque : Il y a
quelques divergences entre plusieurs sources d'information, à propos des horaires
précis concernant cet appareil. Je confirmerai ces heures exactes dans une mise
à jour ultérieure, une fois que je pourrai les établir avec certitude.) À
8h46, au moment où le premier appareil frappait le WTC, le président était en
Floride, dans une école primaire, circulant parmi les élèves et les enseignants.
Il est curieux, c'est le moins qu'on puisse dire, que 14 minutes plus tard,
c'est-à-dire à 9h00, personne, semble-t-il, n'avait informé le président de
l'urgence qui envahissait la nation. Non seulement le WTC venait d'être frappé,
mais les contrôleurs aériens étaient au courant du détournement d'au moins un
autre appareil en vol, voire de deux à ce moment précis. Chose qui devait être
tout aussi évidente à ce moment, c'est que les forces aériennes étaient absolument
immobiles et qu'elles n'appliquaient aucunement les procédures normales d'intervention. Mais
pour ceux qui souhaitent s'en tenir à cette explication très peu plausible évoquant
l'incompétence, je retourne maintenant à la première partie et au point où il
est dit qu'il n'est pas crédible que les Etats-Unis aient pu organiser leur
attaque contre l'Afghanistan en 25 jours à peine. Si l'on nous a demandé
de croire que la vivacité de l'armée américaine est tellement proche
du tranchant d'un rasoir qu'elle peut exécuter une opération de ce type en un
temps qui défie tout ce qui est logistiquement possible, comment pouvait-on
simultanément s'attendre à ce que nous croyions que le même pays
soit capable d'un niveau aussi inconcevable, aussi atterrant, d'incompétence
dans la mise en place de ses mesures routinières de sécurité intérieure ? Mais
il y a un élément plus important encore, dans ces preuves, qui étaie absolument
ce qui précéde. Cet élément, c'est que si nous voulons croire que les autorités
américaines sont innocentes de toute implication dans les événements du 11 septembre,
et que l'attaque contre l'Afghanistan constitue uniquement une réponse à ces
mêmes événements, nous nous trouvons, pour chacun des aspects examinés jusqu'à
présent, dans l'embarrassante position d'avoir à choisir en permanence le scénario
dont le bon sens nous dicte qu'il est le plus plausible, plutôt qu'un scénario
des plus compliqués, embrouillé par tout un fouillis de scénarios qui s'excluent
les uns les autres ; alors que, lorsque nous formulons l'hypothèse inverse,
tout se met en place en tant qu'événements parfaitement limpides. La
seule base nous permettant de refuser d'agir de la sorte repose sur des parti-pris
préconçus, plutôt que sur une réelle tentative d'examiner objectivement l'évidence
des faits. Et si c'est pour prétendre que la preuve de collusion est dominée
par la conviction de ce qu'aucun pays ne ferait une telle chose à ses propres
concitoyens, il convient de faire remarquer dans ce cas que la possibilité pour
la CIA elle-même d'envisager des attaques terroristes contre des citoyens américains
est une question qui figure déjà dans les archives publiques. L'ancien document
d'archives, sur l'affaire « Northwoods » révèle qu'en 1962, la CIA
considérait avec le plus grand sérieux la possibilité de mener des attaques
terroristes contre des citoyens américains, en vue d'en rejeter le blâme sur
Cuba. Les plans ne furent jamais mis en application, mais l'option préférée
consistait en la destruction en vol d'un avion de ligne civil américain. ( http://emperors-clothes.com/images/north-int.htm
) Et
il y a plein d'autres exemples. Le problème des scénarios qui s'éliminent les
uns les autres, en ce qui concerne la compétence ou l'absence de compétence,
de la part des forces aériennes américaines, se répète en ce qui concerne les
services américains de renseignement. Comment se fait-il qu'ils peuvent n'avoir
reçu aucun avertissement préalable concernant l'attentat terroriste le
plus important, le plus difficile et le plus compliqué de l'histoire du monde,
mais ensuite avoir été prétendument capable de désigner le coupable,
presque sans aucun doute en moins d'une journée et absolument sans aucun doute
du tout au bout de deux jours ? Maintenant,
nous allons entrer dans les détails, c'est-à-dire nous tourner vers les allégations
absolument non fondées pesant contre Oussama Ben Laden. Rappelez-vous
que depuis le premier jour, il n'y a pas eu la moindre parcelle de preuve disponible
contre Ben Laden. En fait, jusqu'à la mi-décembre, nous n'avons eu droit qu'à
l'inlassable répétition de son nom, comme si, en répétant quelque chose suffisamment
souvent, on pouvait en quelque sorte la rendre vraie. Puis,
il y a eu la bande vidéo : une farce complète, en réalité. Nous vivons
à une époque de technologie dans laquelle un film de grande qualité (technologique)
peut nous montrer Forrest Gump serrer la pince de JFK, où des cyclones simulés
peuvent être mis en mouvement sur des plateaux de cinéma, où des dinosaures,
disparus depuis 200 millions d'années peuvent être montrés avec une telle netteté
qu'on jurerait presque qu'ils étaient présents. Tout ce travail est effectué
avec un réalisme si déconcertant que la seule manière pour nous de savoir que
ce n'est pas vrai, c'est que nous savons à l'avance qu'il s'agit d'un faux.
Par
comparaison, la bande vidéo de Ben Laden est d'une qualité si minable que nous
n'avons même pas le moyen d'être sûr si, oui ou non, c'est vraiment lui qui
y figure. Dans les longs métrages de qualité supérieure, une pratique commune
consiste à utiliser une doublure pour remplacer le véritable acteur dans une
grande partie du tournage. Une doublure de taille et de complexion similaires
se voit donner les mêmes vêtements, la même coupe de cheveux, et il est virtuellement
impossible de distinguer l'un de l'autre. On
prétend qu'elle a été prise à Kandahar le 9 novembre et trouvée dans une maison
de Jalalabad. En fait, Jalalabad est tombée aux mains des forces anti-talibans
le 14 novembre. Ceci signifie qu'il n'a pu y avoir que quatre jours durant lesquels
la vidéo nouvellement réalisée aurait pu être acheminée de Kandahar à jalalabad,
qui subissait déjà un siège violent et était sérieusement menacée à ce moment.
Ainsi donc, on nous demande de croire, outre la réalisation de la bande, que
presque immédiatement après, et sans raison apparente, quelqu'un l'a
emmenée à Jalalabad, sur le point de tomber, puis, comme par hasard, l'a laissée
là, où elle a été découverte par les forces anti-talibans.
Pour
être objectif, rien de tout ceci ne prouve que la vidéo soit un faux ;
mais, de la même façon, on peut difficilement affirmer que son
authenticité soit prouvée. Et même si elle est authentique, on nous en a donné
une version modifiée. S'il s'agit là de la seule preuve contre
Ben Laden, l'affaire pose un sacré problème. Et qu'y a-t-il comme autres preuves ?
Par
conséquent, il n'est pas surprenant qu'aucune acte d'accusation formel n'ait
été déposé contre Ben Laden. Selon la procédure normale de la
loi, il est nécessaire d'avoir des preuves, pour porter plainte. Ironiquement,
si la vidéo est authentique, elle sert seulement à prouver que Ben Laden n'était
PAS le cerveau des attentats. Alors qu'elle indiquerait qu'il avait quelque
connaissance préalable des attentats et qu'il y était par conséquent impliqué
par définition jusqu'à un certain point, il déclare clairement (en admettant
que la vidéo affirme clairement quoi que ce soit) qu'il avait été mis au courant
de l'imminence des attentats cinq jours avant qu'ils soient perpétrés. Si c'est
le cas, il ne peut absolument pas en avoir été le principal organisateur. Vidéo
ou pas, si nous réfléchissons clairement et avec logique sur la vraisemblance
de l'implication de Ben Laden, nous découvrons en fait qu'elle est impossible,
à moins d'une collusion avec les autorités américaines ou, au mieux, dans le
contexte où les Etats-Unis ont toujours su ce qu'il mijotait, et lui
ont permis délibérément de perpétrer ces attentats. On a déjà insisté sur le
laps de temps ridiculement court qui s'est écoulé avant que Ben Laden soit déclaré
coupable et le fait que ceci met en scène des scénarios qui s'excluent mutuellement.
Si Ben Laden était impliqué dans l'affaire, cela n'aurait dans ce cas pu constituer
une surprise, ce qui prouve à son tour, et au-delà de tout doute, que l'immobilisme
des forces aériennes et du président, le 11 septembre, constituaient une
collusion plutôt qu'un signe d'incompétence. Maintenant,
imaginez que nous essayons en fait de monter une enquête sur les attentats du
11 septembre, dans les premières minutes suivant l'attaque, alors que le
drame n'est pas encore consommé. Et c'est le temps qu'il a fallu, littéralement,
puisqu'ils prétendent avoir découvert le coupable quelques heures plus tard
à peine. Comme
vous pouvez vous en rendre compte, c'est tout un boulot, rien que pour établir
les listes des suspects possibles, du personnel susceptible d'être utile dans
l'enquête et de prévoir les principaux angles d'attaque des recherches destinées
à l'enquête. Après
cela, il faut contacter toutes ces personnes, les rassembler en un groupe ou,
au moins, les relier entre elles par des possibilités de communication. Mais
accrochez-vous bien ! Les avions sont assignés au sol. Même celui du président
a des problèmes de déplacement. De nombreux réseaux de communications sont à
plat, de nombreuses institutions financières sont fermées et des zones importantes
de New York et Washington sont inaccessibles. Et tout le pays fait du sur place
en raison des barrages de sécurité. Même
avoir établi, en deux jours, une liste des suspects possibles, du personnel
nécessaire aux investigations et des stratégies de base de l'enquête, aurait
constitué un exploit étonnant, peut-être impossible, dans ces circonstances.
Tenir une réunion des agents responsables à impliquer dans l'enquête aurait
probablement été impossible dans un délai inférieur à trois jours. Et pourtant,
à ce moment, les Etats-Unis avaient déjà prétendu avoir effectué cette « enquête »
et établi la culpabilité de Ben Laden. Et
puis, une fois les paramètres de base de l'enquête bien établis, et les détails
pratiques des recherches quotidiennes de l'enquête mis en place, combien de
semaines cela aurait-il nécessité pour en arriver à ce stade ? Ce n'est
pas comme si tout le personnel chargé de l'enquête se réunissait autour d'une
table pour dire « Qu'en pensez-vous ? Ben Laden ? » et tout
le monde répondrait « Ouais ! », de sorte que le chef de l'équipe
téléphone au président pour lui dire « Ben Laden », et le président
lui répond « Pour moi, c'est assez bon ! » et, sur-le-champ,
menace d'attaquer l'Afghanistan. Et
même au cas très improbable où une preuve quelle qu'elle soit aurait pu être
établie à ce moment, c'est une chose que de décider de concentrer son
attention sur un principal suspect et de sentir que vous pourriez très bien
être proche de la conclusion, mais c'en est une toute autre d'être sûr de vous
au point de proférer des menaces de guerre. Ce n'est tout simplement pas possible.
Tony
Blair a confirmé, sans s'en rendre compte, que toute cette affaire était un
mensonge par le biais d'une déclaration faite au début du mois de novembre,
en réponse à des sondages montrant que le soutien à la guerre dégringolait en
Grande-Bretagne. Voici ce qu'il a dit : « La culpabilité de Ben Laden
ne fait aucun doute. Les preuves contre lui, d'abord arrivées au goutte
à goutte, puis à flot régulier, se sont maintenant muées en torrent. »
(World news page, sur le website 9 MSN). Il
reste une question importante à éclaircir. Manifestement, les pilotes remplissaient
une mission suicide et l'on sait que c'est un thème commun parmi les terroristes
islamistes du Moyen-Orient, mais totalement étranger à la culture américaine.
Il est difficile de croire que des Américains ou des personnes loyales aux Etats-Unis
allaient sciemment participer à une mission suicide. Mais ceci ne soulève aucun
problème véritable dans le scénario qui a été proposé. L'explication évidente
est que certains des pirates de l'air étaient vraiment hostiles aux Etats-Unis
et qu'ils participaient à une agression qui, pensaient-ils, allaient faire du
tort aux Etats-Unis, sans savoir le moins du monde toutefois qu'ils étaient
des pions dans un double jeu faisant partie d'un plan plus vaste de la CIA.
Il
est clair que l'affaire n'aurait pu être organisée sans recourir à des sous-fifres
qui pensaient qu'ils allaient pouvoir frapper un grand coup contre les Etats-Unis.
C'est ici que Ben Laden cadre bien dans l'histoire. Il a trompé et sacrifié
son propre peuple de la même façon que les Américains ont impliqué, trompé et
sacrifié le leur. La preuve que Ben Laden et la CIA sont en coopération active
dans ces attentats atroces va devenir plus claire dans la troisième partie.
Ceci pourrait également expliquer le scénario autrement incompréhensible de
Ben Laden en train de fabriquer une vidéo l'incriminant, et l'emporter immédiatement
après dans un endroit où il était sûr qu'elle allait tomber dans des mains américaines. En
fait, il existe plein de preuves pouvant impliquer Ben Laden, mais le problème
est qu'elles impliquent également l'administration Bush, la CIA, George Bush
senior, le Pakistan, l'Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis. L'histoire
officielle de Ben Laden est celle d'un monstre terroriste, animé d'une haine
fanatique à l'égard des Etats-Unis et de leurs alliés, et brouillé avec le reste
de sa riche famille saoudienne, très amie avec les Etats-Unis. L'élement « monstre
terroriste » est correct, mais le reste ne pourrait être plus éloigné de
la vérité. Ben
Laden est bien connu comme étant un agent de la CIA. Il a eu d'étroites
relations de travail avec la CIA dans les annés 1980. Cela n'est démenti
par personne. On prétend que, depuis, ces relations n'existent plus, mais c'est
un mensonge. Pour
commencer, de nombreuses installations militaires américaines au Moyen-Orient,
contre lesquelles Ben Laden soulève prétendument de violentes objections, ont
en fait été édifiées par la société de construction de Ben Laden.
Il existe un fil rouge permanent : les liens d'affaires étroits entre la
famille Bush et la famille Ben Laden, remontant à plus d'une décennie, et se
poursuivant encore de nos jours (Wall Street Journal, 27 septembre 2001, et
www.thedubyareport.com/bushbin.html). « La
direction de Carlyle ressemble à s'y méprendre à la liste des invités au bal
inaugural de George W. Bush. » « Peut-on parler de complexe
militaro-industriel ? Le groupe Carlyle, lui, le peut. » (www.
hoovers. com /premium/ profile /6/ 0,2147,42166,00.html) On
ne peut plus prétendre que Bush senior n'était pas au courant de la présence
de Ben Laden en tant qu'actionnaire. Il a rencontré la famille Ben Laden au
moins à deux reprises, en 1998 et en 2000, longtemps après que Ben Laden eut
été déclaré officiellement par les Etats-Unis comme l'homme le plus recherché
de la planète en raison de ses activités terroristes présumées.
Pourquoi George Bush senior a-t-il rencontré la famille de cet homme, alors
que l'histoire officielle dit que l'administration Clinton avait déjà exprimé
sa détermination à vouloir éliminer Al Quaïda et Ben Laden à tout prix et par
tous les moyens nécessaires ? En
1995, les autorités américaines ont cité Ben Laden comme co-instigateur de l'attentat
à la bombe de 1993 contre le WTC. Mais, un an après cette accusation, lorsque
le gouvernement soudanais détenait Ben Laden et avait proposé de l'extrader
vers les Etats-Unis, le gouvernement américain a dit qu'il n'était pas
intéressé et demanda au gouvernement soudanais de le laisser aller
en Afghanistan. Et
puis, de toute façon, que fabriquait dans l'hôpital américain de Dubaï
le terroriste le plus recherché du monde ? Pourquoi n'a-t-il pas été arrêté
immédiatement, au lieu de recevoir un traitement médical, et de pouvoir s'en
aller librement ? Au cours de son hospitalisation, on prétend qu'il reçut
aussi la visite de l'agent local de la CIA, ainsi que celle de plusi
Preuve
accablante que les attentats terroristes du 11 septembre aux Etats-Unis ont
été organisés, du moins en partie, par les autorités américaines, pour servir
de prétexte à une guerre planifiée depuis longtemps en Asie du Sud, et
pour porter la plus grave atteinte aux libertés civiles en Occident depuis l'époque
fasciste.
Cette preuve vient
en quatre temps :
1.
La preuve que le plan d'agression contre l'Afghanistan était déjà en
place bien avant le 11 septembre.
2.
Un regard scrutateur sur les événements du matin du 11 septembre, démontrant
que les instances suprêmes des autorités américaines ont sciemment laissé se
produire ces attentats.
3.
Les relations étroites entre la famille Bush, la famille Ben Laden et la CIA.
4.
Diverses contradictions dans les comptes rendus officiels, et nombre d'événements
suspects.
(http://news.bbc.co.uk/hi/english/world/south_asia/newsid_1550000/1550366.stm)
Certains ont suggéré
que les Etats-Unis étaient toujours prêts à attaquer n'importe qui à n'importe
quel moment. Cela non plus, ce n'est pas possible, même pour un pays aux
ressources aussi impressionnantes que les Etats-Unis. En guise de comparaison,
pour être à même d'attaquer l'Irak, en 1991, les Etats-Unis ont eu besoin de
quatre mois et demi et l'attaque n'a pas été reportée en raison de quelque tentative
que ce soit de négocier un arrangement. Ces négociations ont eu lieu durant
la période même où les Etats-Unis préparaient leur attaque. Et celle-ci
s'est produite dès l'instant où l'armée américaine à été en mesure de le faire.
Et s'il doit être
suggéré que l'armée américaine est réellement aussi étonnamment affûtée qu'un
rasoir, qu'elle est capable d'organiser une opération comme celle-ci en 25 jours,
alors c'est en contradiction délirante avec son incroyable manque de préparation
le matin du 11 septembre. Nous en rediscuterons dans la deuxième
partie.
Alors qu'il est
raisonnable qu'une liste de suspects vienne immédiatement à l'esprit, c'est
une autre affaire d'être certain de la culpabilité de quelqu'un au point d'être
prêt à attaquer un autre pays sur la base d'une telle suspicion. Il est
très instructif de passer en revue la chronologie de l'« enquête »
autour du 11 septembre.
En l'espace de quelques
heures à peine, Ben Laden était déjà cité comme principal suspect. En
moins de 12 heures, on proclama sa culpabilité comme étant « presque
certaine ». Et quelques jours plus tard, on proclamait sa culpabilité
comme étant certaine à 100%, en recourant à l'expression « ses empreintes
digitales sont partout », et on menaçait déjà d'attaquer l'Afghanistan.
C'est on ne peut plus ridicule. Cela ne donne même pas assez de temps
pour mettre en place un comité censé discuter du personnel et de la logistique
de l'enquête. Ceci aussi sera débattu plus en détail dans la deuxième
partie.
Mais il est déjà clair,
à tout le moins, que les autorités américaines se fichaient complètement
de savoir qui avait perpétré les attentats. Elles étaient heureuses de pouvoir
s'en servir comme d'une occasion pour attaquer tous ceux que ça les arrangeait
de pointer du doigt, et nous disposons d'informations comme quoi elles préparaient
déjà des plans d'attaque contre l'Afghanistan.
Si nous acceptons
que l'attaque contre l'Afghanistan était déjà prévue, alors, pour croire que
les Etats-Unis ne sont pas impliqués dans l'organisation du 11 septembre, nous
devons croire que l'attentat terroriste le plus spectaculaire de l'histoire
s'est produit par hasard au moment le plus propice, du point de vue de
la propagande, à une guerre que les Etats-Unis avaient déjà planifiée.
Mais, même si c'est possible, ce n'est pas vraiment probable. Ça
tombe trop bien.
1) Les Etats-Unis
n'ont rien à voir avec les attentats du 11 septembre, et en ont vraiment
été surpris, mais ont vu là une opportunité de propagande pour leur guerre
à venir, et ont considéré que c'était bien plus important que d'identifier les
vrais coupables.
2) Les Etats-Unis
n'ont rien à voir avec l'organisation des attentats, mais savaient à l'avance
qu'ils allaient arriver, et, pour des raisons de propagande, les ont délibérément
laissé se produire.
3) Les Etats-Unis
ont activement participé à la conception des attentats du 11 septembre,
comme partie d'un plan général qui intégrait la guerre
à venir en Afghanistan.
Les scénarios 1
et 2 nous demandent de croire que le timing particulièrement commode des attentats
était un remarquable coup de hasard. En ce qui concerne le scénario n° 2,
on pourrait suggérer que la date de la mi-octobre fut elle-même prévue en fonction
des attentats terroristes, dont on savait qu'ils allaient se produire. Mais
cela n'a pas l'air très sensé non plus, parce que la date de la mi-octobre s'explique
d'une façon beaucoup plus plausible dans les déclarations de Niaz Naik, et que
nous devrions croire que les renseignements des Américains, à
propos d'attentats où ils ne seraient pas impliqués, étaient
si précis, qu'en juillet, deux mois avant le 11 septembre, ils pouvaient
déjà planifier la date de leur attaque contre l'Afghanistan en
tenant compte de celle des attentats. C'est fortement improbable.
Si nous admettons
que l'attaque contre l'Afghanistan était déjà prévue, alors le scénario 3 est
la seule explication crédible. Si nous refusons d'admettre que l'attaque contre
l'Afghanistan était déjà prévue, il nous faut croire 1°) que Niaz Naik ment ;
2°) que les Américains ont été capables de mettre sur pied leur attaque
dans un laps de temps qui défie les lois reconnues de la logistique militaire
et 3°) que puisqu'ils n'avaient pas la possibilité de savoir en quelques
heures seulement qui était le vrai coupable, ils ont choisi l'Afghanistan tout
simplement parce qu'ils voulaient montrer à tout le monde qu'ils faisaient quelque
chose, et Ben Laden était ainsi leur bouc émissaire idéal.
L'interception en
soi n'est pas une manœuvre agressive. Il existe des signaux standardisés,
qui font partie du code de l'aviation, et qu'un pilote des forces aériennes
transmet à un appareil de ligne civil quand le contact radio est impossible.
Lorsque les pilotes sont hors de leur trajectoire normale et désorientés, le
pilote du chasseur les guide afin qu'ils retrouvent leur trajectoire correcte.
Mais les forces aériennes
ont également des états de service attestant que, par le passé, elles ont forcé
à l'atterrissage ou abattu des avions civils qui se comportaient d'une façon
considérée comme un mépris délibérément agressif des régles de vol et susceptible
de présenter un danger.
Ce qui est inhabituel
à propos du 11 septembre, c'est que ces procédures normales des forces aériennes,
qui sont activées automatiquement et sans qu'il soit besoin de recourir à des
autorités de haut niveau, n'ont tout simplement pas été enclenchées. Les procédures
de routine ont été laissées de côté pour chacun des appareils impliqués dans
les attentats.
Il se peut qu'il
n'ait pas encore été clair à ce moment-là que le vol 77 faisait route vers
Washington, mais une chose était sûre, c'est qu'une attaque terroriste d'une
ampleur considérable était en train de se produire et qu'un autre appareil,
au moins, avait l'intention de frapper quelque part. Les chasseurs de la base
aérienne d'Andrews restaient cependant au sol, et quelle qu'ait été l'escadrille
responsable de la couverture de la zone où l'avion avait été initialement détourné,
elle non plus n'était pas passée à l'action.
À 9h41,
c'est-à-dire exactement deux minutes avant que l'avion ne s'écrase sur le Pentagone,
deux chasseurs F-16 de la base de Langley furent libérés en vue de l'intercepter.
La base de Langley est située à 130 miles (210 km) de là ! Autant
dire qu'ils n'avaient absolument aucune chance d'intercepter l'appareil. N'empêche
que les chasseurs d'Andrews restèrent cloués au sol ! Le rapport officiel
prétend qu'aucun chasseur n'était disponible à Andrews ce jour-là. Manifestement,
il s'agit d'un mensonge. La tâche spécifique des chasseurs de la base d'Andrews
est de protéger Washington, DC. Si aucun n'était disponible, par quel
miracle ont-ils donc fait leur apparition dans le ciel de Washington quelques
minutes après que le Pentagone ait été touché ? Et espère-t-on sérieusement
nous faire croire que le Pentagone n'est défendu que par une base opérationnelle
à temps partiel ?
Une autre histoire
officielle prétend qu'à ce moment-là, les autorités ont pensé que l'avion détourné
visait la Maison-Blanche. Et alors ? N'est pas une raison de plus pour
faire intervenir la force aérienne ? Et si c'est ce qu'on a pensé, pourquoi
la Maison-Blanche n'a-t-elle été évacuée que deux minutes seulement après l'impact
du Pentagone ? D'après ce que je peux déduire de la chronologie des faits,
c'est environ 10 minutes après que l'appareil aurait survolé la cible vers
laquelle on pensait qu'il était dirigé !
En outre, 45 minutes
se sont déroulées entre le moment où le transpondeur du vol 77 a été débranché
(c'est-à-dire le moment même où les procédures automatiques d'interception auraient
dû commencer, même un jour normal), et le moment où l'appareil s'est écrasé
sur le Pentagone. Qu'il n'y ait pas eu interception est à tout le moins incroyable,
étant donné qu'au moment où le transpondeur avait été débranché, cela faisait
déjà dix minutes que l'un des appareils détournés, le vol 175 d'United Airlines,
s'était écrasé sur le WTC, et cinq minutes aussi, comme on l'a appris par la
suite, qu'un troisième appareil, le vol 11 d'American Airlines, avait été
détourné.
À 9h03, le
vol 11 frappa à son tour le WTC, et il n'y eut toujours aucun mouvement
à Andrews. À 9h25, il ne faisait plus de doute que le vol 77 faisait
route vers Washington, et il n'y avait toujours aucun mouvement à Andrews, ni
d'évacuation en cours, que ce soit au Pentagone ou à la Maison-Blanche. Finalement,
les chasseurs d'Andrews prirent l'air et l'évacuation de la Maison-Blanche eut
lieu, mais pour la forme, semble-t-il, immédiatement après que le vol 77
eut rempli sa mission.
Ainsi donc, cet
appareil, à un moment où avait lieu un problème de sécurité d'une ampleur énorme,
pouvait tranquillement débrancher son transpondeur, modifier sa trajectoire,
voler 300 miles (près de 500 km), tout en étant suivi à tout moment
par radar, et sans se faire intercepter ! Ensuite se rapprocher de la capitale
de la nation, survoler et dépasser la Maison-Blanche, et s'écraser sur le Pentagone
sans avoir rencontré la moindre opposition !
Il est difficile
de dire exactement quels sont les rapports officiels à propos de la non-interception
des deux avions qui ont frappé le WTC, parce que les comptes rendus ne cessent
de changer, cependant la NORAD (North American Aerospace Defense - Défense
aérospatiale de l'Amérique du Nord) a reconnu qu'elle avait été
prévenue d'un détournement à 8h35, déjà, mais qu'elle n'avait lancé aucune opération
des forces aériennes avant que le Pentagone n'ait été touché, tout en admettant
également que l'interception d'appareils civils par les chasseurs à réaction
était une procédure de routine.
Ce qu'ils disent
à propos du vol 93, c'est qu'ils auraient pu l'abattre s'ils l'avaient
voulu. Ce n'est absolument pas convaincant. S'ils « avaient pu l'abattre »,
pourquoi, dans ce cas, n'ont-ils pas au moins enclenché la procédure normale
d'interception et de contrôle ? Ils disposaient de 27 minutes pour
le faire et, après tout, il y avait déjà eu trois crashes-suicide ce même matin !
Comment s'y seraient-ils
pris, exactement, pour abattre cet avion ? Avec un appareil qui n'était
même pas là ? Avec un missile à longue portée, alors que l'interception
par chasseurs aurait été beaucoup plus sûre et aurait également fourni la possibilité
de forcer l'appareil à se poser, ainsi que celle de contrôler avec une plus
grande certitude que c'était le seul choix ? Et quand l'auraient-ils abattu ?
Combien de temps allaient-ils attendre ?
Le vice-président
Cheney, répondant aux questions concernant ce scénario bizarre, a délibérément
tenté de confondre interception et destruction de l'appareil, essayant par là
de susciter l'impression que la raison pour laquelle rien ne fut entrepris,
était que les hauts fonctionnaires se rongeaient les ongles désespérément quant
à savoir s'il fallait franchir le pas dramatique d'abattre un appareil rempli
de civils innocents. Cheney sait très bien que l'interception, tout en fournissant
l'occasion d'abattre l'avion, ne rend pas cette mesure inévitable.
De plus, dans le
même temps que Cheney tend son écran de fumée, d'autres viennent nous dire que
la seule raison pour laquelle l'interception n'a pas eu lieu, c'est parce qu'aucun
chasseur n'était disponible à Andrews. Il faudrait peut-être qu'ils se mettent
d'accord !
Et, de plus, dans
le cas du vol 93, ils nous disent qu'ils « auraient pu l'abattre »,
même si aucune interception n'avait eu lieu, ce qui peut être interprété comme
signifiant qu'ils étaient prêts à utiliser un missile. Si tel est le cas, pourquoi
s'être à ce point rongé les sangs à propos de la procédure d'interception ?
Et comment la déclaration de Cheney peut-elle se réconcilier avec le fait que
la NORAD reconnaît que l'interception constitue une procédure de routine ?
Il n'y a pas d'explication
possible à ces événements, ni à la confusion extraordinairement trompeuse des
déclarations officielles, absolument pas convaincantes, sauf à dire que
quelqu'un de très haut placé dans les forces aériennes ou dans l'administration
Bush était fermement décidé à saboter le travail des forces aériennes et à assurer
le succès des attentats. Nous allons maintenant diriger notre attention sur
le président et démontrer, en fin de compte, qu'il était bien impliqué dans
l'affaire.
À 9h00, le
président s'était arrêté parmi des enfants de seconde année et lisait un texte
parlant de la chèvre d'agrément d'une petite fille. À 9h05, deux minutes
après le second attentat contre le WTC, Andrew Card, le responsable de l'équipe
présidentielle, murmura quelque chose à l'oreille de George W. Bush.
Selon des journalistes sur place, le président « afficha brièvement une
mine sombre ». D'autres prétendant avoir vu des séquences de cet événement
décrivent sa réaction davantage comme étant un signe de confirmation d'un événement
auquel il s'attendait.
Ici, l'affaire devient
encore plus incroyable. Le président ne réagit pas en quittant l'école, en mettant
sur pied une réunion d'urgence et en intervenant pour s'assurer que les forces
aériennes ont fait leur boulot. Il ne parle même pas des événements extraordinaires
qui se passent à New York, mais poursuit tout bonnement sa visite de la classe
de lecture au moment précis où, à 9h06, le département de la police de New York
diffuse ceci : « Il s'agissait d'un attentat terroriste. Prévenez le Pentagone. »
(NY Daily News, 12 septembre).
Bref, à 9h05, la
situation est la suivante : trois appareils au moins ont été détournés
ce matin, et on sait qu'ils remplissent des missions suicide terroristes, deux
d'entre eux ont déjà atteint leur cible, avec des effets spectaculaires, on
sait qu'au moins un est encore en l'air, l'aviation ne fait rien et, pendant
ce temps, le président qui, apparemment, vient tout juste d'être informé,
décide de poursuivre l'audition du cours de lecture des enfants, où il est question
de la chèvre favorite d'une petite fille !
Et les chèvres vont
encore l'occuper durant 24 minutes supplémentaires !
Dans une interview
donnée à Newsweek, Bush se rappelle le moment où quelqu'un lui a appris la nouvelle. « Je
suis le commandant en chef, et le pays vient de subir une agression. »
Dans ce cas, pourquoi a-t-il continué à éprouver pendant 24 autres minutes tant
de fascination pour les chèvres d'appartement ? Ceci ne prouve-t-il pas,
au mieux, qu'il n'est pas compétent pour s'occuper des questions de sécurité
nationale et, au pire, qu'il est passible de poursuites pour trahison ?
À 9h30, le
président en a assez des chèvres d'intérieur et décide qu'il pourrait être temps
de dire quelque chose à propos des attentats terroristes, sans toutefois rien
décider encore à leur propos. Plutôt que de demander une réunion d'urgence,
ou de prendre le commandement direct des forces aériennes ou, du moins, d'exiger
de savoir ce qui diable se passe avec l'aviation, Bush décide de rester à l'école
et d'adresser un discours télévisé à la nation pour annoncer aux citoyens ce
que tous savent déjà, qu'il y a eu un « attentat terroriste manifeste ».
Une réponse totalement inutile, l'éludation flagrante de son devoir de mettre
tout en œuvre pour prendre les rênes de la situation, même au moment précis
où le vol 77, que l'on sait avoir été détourné depuis plus d'une demi-heure,
a maintenant atteint Washington, qu'il est toujours suivi par les radars et
que les chasseurs d'Andrews sont toujours au sol. Soit Bush ne sait pas, et
ne veut pas savoir, soit il sait mais s'en moque !
À 9h35, le
président gaspillait son temps avec un discours absolument creux à la nation,
le troisième avion survolait Washington, il avait déjà dépassé la Maison-Blanche
et, sans cesser d'être suivi par les radars, opèrait un virage à 360 degrés
au-dessus du Pentagone, qui n'avait pas encore commencé à être évacué, même
si l'état-major qui s'y trouvait était déjà au courant des deux
attentats contre le WTC et s'inquiètait du fait que le Pentagone risquait lui
aussi d'être pris pour cible, et ce, avant même que cet appareil ne s'approche
de Washington.
Quarante minutes
après le crash du Pentagone, lorsqu'on a appris qu'un autre appareil encore,
le vol 93, avait été détourné, celui-ci non plus n'a pas été intercepté,
et ici non plus, le président n'a pas daigné intervenir contre cette traîtresse
passivité des forces aériennes. Manifestement, il était impliqué dans l'active
collusion qui voulait s'assurer que les attentats seraient couronnés de succès.
Suggérer que ces actions résultaient simplement de l'incompétence et de la confusion
n'est nullement crédible.
Ce pays a permis,
sans la moindre opposition, le succès d'un attentat dont le commandant en chef
des forces aériennes russes prétend qu'il aurait été impossible de le perpétrer
dans son propre pays. Ce truc embrouillé, inutile, maladroit qu'on appelle l'US Air Force
s'est-il donc soudainement mué, en l'espace de 25 jours, en une force combattante
efficace et mortelle qui a anéanti les Talibans en un laps de temps étonnamment
court ? Les deux scénarios s'excluent mutuellement.
Pour conférer la
moindre vraissemblance à la possibilité que cette attaque remarquablement organisée
et particulièrement réussie contre l'Afghanistan ait été mise sur pied en 25 jours,
en riposte au 11 septembre, il nous faut donc, compte tenu de l'évidence,
admettre que les événements du 11 septembre sont la preuve concluante d'une
collusion, qui soulève l'épineuse question de savoir pourquoi il y a eu une
riposte de représailles à un événement dans lequel les autorités américaines
étaient elles-mêmes impliquées.
Ou, par ailleurs,
s'il nous faut accorder le moindre crédit à la possibilité que les événements
du 11 septembre aient été marqués du sceau d'une colossale mais innocente
incompétence, nous devons nous méfier au plus haut point, et c'est là la moindre
des choses, et subodorer que l'attaque contre l'Afghanistan devait déjà se trouver
dans un état de préparation bien avancé, à la date du 11 septembre, auquel
cas, force nous est encore de croire que le plus spectaculaire attentat terroriste
de l'histoire s'est tout simplement produit, par coïncidence, à un moment qui
n'aurait pu mieux convenir, vu sous l'angle de la propagande, à cette guerre
déjà planifiée.
À eux seuls,
les simples faits de ce qui s'est réellement passé ce matin du 11 septembre,
suffisent à prouver définitivement que les autorités américaines étaient
impliquées dans cette collusion.
À la lumière
de cette évidence, il s'avère qu'il n'y a pas de base rationnelle ou objective
nous interdisant de suggérer, avec un certain aplomb, que les autorités américaines
étaient impliquées dans le 11 septembre, et qu'elles avaient prévu l'attaque
contre l'Afghanistan bien avant cette date.
S'ils n'avaient
réellement eu aucun avertissement concernant l'attentat, nous ne pouvons dire
qu'une chose, c'est qu'ils mentent lorsque, en deux jours, ils prétendent être
tellement sûrs de la culpabilité de Ben Laden qu'ils menacent déjà d'attaquer
l'Afghanistan en guise de représailles. Ou, s'ils avaient eu quelqu'avertissement
préalable à propos de l'attentat, même d'une façon imprécise,
s'ils avaient été en alerte au sujet de « quelque chose » en provenance
de Ben Laden, dans ce cas, l'immobilisme du président et des forces aériennes
le matin du 11 septembre se confirmerait d'une façon encore plus concluante,
si c'est possible, comme une preuve de collusion plutôt que d'incompétence.
Des preuves très
accablantes en faveur de la présomption de l'avertissement préalable et de la
collusion sont présentes dans un curieux à-côté de l'attentat contre le Pentagone.
Si l'avion qui s'est écrasé sur le Pentagone l'avait fait une semaine plus tôt,
il aurait frappé exactement au bon endroit pour paralyser les opérations clés
du Pentagone et tuer une belle brochette d'officiers supérieurs. Mais, sans
doute grâce à une coïncidence heureuse, le Pentagone avait subi d'importants
remaniements une semaine plus tôt. (Source : le rapport de la chaîne de
TV CNN, le matin du 12 septembre, heure australienne). Toutes les personnes
et opérations importantes avaient déménagé de l'autre côté et le personnel et
les opérations de moindre importance avaient emménagé dans l'aile qui allait
être touchée. Les opérations importantes du Pentagone ont donc subi très peu
de véritables dégâts ! On les avait changées de place une semaine avant
l'attentat ! C'est une lourde preuve de ce que quelqu'un, très haut placé
dans la hiérarchie du Pentagone, savait que l'attentat allait se produire.
Une fois de plus,
présenter l'affaire autrement signifie opter pour l'explication la moins plausible,
sur la base d'une conclusion préconçue. Combien de fois sommes-nous disposés
à agir de la sorte ?
Une telle substitution
serait encore plus aisée dans une vidéo de mauvaise qualité. Et quand le personnage
principal a une longue barbe, un couvre-chef et d'amples vêtements, c'est un
jeu d'enfant. Sur la vidéo montrant Ben Laden, la piètre qualité empêche toute
analyse visant à distinguer si les dialogues sont vraiment pris en direct, ou
s'ils ont été doublés. Nous avons également dû nous appuyer sur des traductions
dont l'indépendance est vraiment douteuse. L'historique du moment et du lieu
où la bande est supposée avoir été enregistrée, et de l'endroit où on prétend
l'avoir trouvée, quoique possible, laisse quelque peu perplexe.
Ce n'est pas impossible,
mais ça pue fortement la mise en scène. De plus, selon le Weekend Australian
des 14 et 15 décembre, la séquence en temps réel de certains événements a été
inversé sur la bande. Cela signifie qu'elle a dû être modifiée.
Pourquoi, et par qui ? (C'est une question que la presse, évidemment, s'est
bien abstenue d'examiner, bien que je suppose que nous devrions être reconnaissants,
au moins, que ce détail ait été mentionné). De même, la date témoin du 9 novembre,
comme l'a dit la télévision, renvoie-t-elle à la date de tournage, ou à la date
où la version modifiée a été finalisée ? Dans le premier cas, ce
qui semblerait plus vraisemblable, cela laisse encore moins de temps pour l'emmener
de la position clé des Talibans, Kandahar, vers Jalalabad, qui, en outre, est
sur le point de tomber. Cela est très suspect.
Ou bien cette vidéo
a-t-elle été modifiée par les autorités américaines ? Elles ont dû admettre
que la « traduction » qu'ils ont réalisée est frelatée.
Bien sûr, ils n'ont pas dit cela avec ces mots, ils ont essayé de noyer le poisson
en recourant à des euphémismes. « La bande n'est PAS une traduction exacte
de chaque parole prononcée durant la réunion, mais elle livre les messages et
le flux d'informations », dit un porte-parole du département de la Défense.
« La traduction vaut ce qu'elle vaut. Nous avons dit clairement qu'il ne
s'agissait pas d'une traduction littérale », ajoute le Pentagone. Mais
le Pentagone va-t-il œuvrer à une traduction plus complète ? Non.
La transcription complète sera-t-elle communiquée au public ? Non. http://news.ninemsn.com.au/world/story_23359.asp).
Qui lui en aurait
parlé ? Selon toute vraisemblance, la ou les personnes qui, en fait, les
ont organisés et qui sont toujours inconnues, mais cela met définitivement Ben
Laden hors de cause. Dans tous les témoignages frénétiques d'indignation contre
Ben Laden qu'à engendrés cette vidéo providentielle, il semble que très peu
de gens aient en fait suffisamment visionné la bande pour poser la question
importante entre toutes qui découle de l'aveu par Ben Laden lui-même d'avoir
été informé des attentats 5 jours avant qu'ils n'aient lieu. Qui, en fait,
les a organisés ?
Mais la preuve ne
se termine pas ici. Il est curieux, à tout le moins, qu'aucun autre suspect
n'ait jamais été envisagé, même un très court instant, alors que les Etats-Unis
comptent un très grand nombre d'ennemis. Ceci est très suspect, si nous réfléchissons
clairement à la logistique de l'organisation d'une enquête véritable sur les
événements du 11 septembre. Primo, remettons les choses dans leur contexte.
Il a fallu 17 ans pour attraper le poseur de bombe de l'ONU (unabomber)
et il a fallu 7 semaines d'enquête, dans l'affaire du 11 septembre,
rien que pour confirmer les nationalités de 17 pirates de l'air présumés,
alors que le cerveau de l'affaire était prétendument connu au bout de quelques
heures. Je ne suis pas d'accord !
Qui a fait cette
chose terrible ? Une liste de suspects pouvait venir à l'esprit, ce n'est
pas comme si nous avions pu nous balader dehors et découvrir les lettres « Ben
Laden » inscrites sous forme de nuages, en plein ciel.
Saddam Hussein ne
faisait-il pas un bon suspect, lui aussi ? Ou la Libye ? Un groupe
palestinien ? Cuba ? La Russie ? La Chine ? Des milices
locales d'extrême droite ? Des fanatiques de l'antimondialisme ? La
Syrie ? Quelqu'un de complètement inconnu et d'inattendu ? Etc., etc.
La liste des possibilités pouvant venir à l'esprit aurait dû être énorme. Ben
Laden n'aurait été que l'une d'entre elles.
Par où commençons-nous,
pour lancer une telle enquête ?
Pour commencer,
nous avons besoin manifestement de recruter des personnes chargées des expertises
aériennes que nécessite cette enquête. Mais il faut également que ce soient
des gens qui détiennent les autorisations appropriées en matière de sécurité.
Il faut donc, dès le début, dresser une liste des personnes pouvant être utiles,
dans ce contexte.
Nous avons également
besoin de personnes expertes en architecture, afin d'examiner la nature exacte
de l'effondrement du WTC. Est-ce uniquement les appareils qui ont provoqué l'effondrement,
ou des explosifs ont-ils également été utilisés ? Une fois de plus, il
faut dresser une liste.
Nous avons besoin
de personnes dont la principale occupation consiste en la sécurité des aéroports.
Quelqu'un dans les aéroports a-t-il délibérément laissé passer les pirates de
l'air ? Et encore une nouvelle liste.
Nous avons besoin
d'experts financiers pour tenter de repérer d'où provenaient, en tout ou en
partie, les fonds considérables nécessaires pour monter une telle opération.
Et une autre liste, encore.
Nous devons examiner
les dossiers de l'immigration et chercher par recoupement ceux qui traitent
de l'octroi de licences de pilotage.
Il nous faut d'urgence
établir un répertoire de la sécurité interne, au cas où ce serait une « affaire
interne ». La seule tâche constituant à établir ce répertoire est
une opération délicate, et c'est le moins qu'on puisse dire.
Comment mettre la
main sur les personnes dont nous avons besoin ? Comment allons-nous faire
pour les rassembler toutes ensemble et commencer à leur attribuer des responsabilités ?
Sont-elles toutes sorties miraculeusement de chez elles, au même moment, pour
converger vers un seul endroit, le même endroit, précisément, choisi par le
coordinateur de l'enquête, de sorte qu'il n'y avait plus besoin d'attendre que
toutes ces personnes puissent quitter leurs propres affectations dans diverses
régions des Etats-Unis, voire à l'étranger ?
Comment ?
A-t-on déjà vu quelque
chose ressembler de façon plus criante à une mise en scène ?
Un énorme travail
de terrain, de même que du boulot informatique, devrait être accompli. Les rapports
devraient être rédigés, résumés, contrôlés pour des raisons de sécurité, imprimés,
puis remis au président et à ses hauts conseillers qui seraient obligés d'en
lire au moins les résumés, puis les discuteraient avec l'équipe d'enquêteurs.
Et tout ceci a été fait en moins de 12 heures, dans un pays ravagé, à ce moment
précis, par un chaos et une confusion sans précédent ? C'est l'une des
suggestions les plus absurdes de toute cette affaire.
Et même si ça
l'était, cela ramènerait une fois de plus les scénarios qui s'excluent mutuellement,
à savoir comment quelqu'un aurait-il pu organiser une opération aussi vaste
dans le secret absolu, de façon à prendre complètement les autorités de court
mais, en même temps, laisser ses empreintes partout, ces preuves que l'on retrouve
partout en grand nombre au point que la culpabilité était évidente au bout de
quelques heures à peine, et même dans les circonstances difficiles dans lesquelles
l'Amérique s'est retrouvée plongée durant les jours qui ont suivi les attentats.
Cette déclaration
a été prononcée presque deux mois après le 11 septembre. Les mots clés sont
« goutte à goutte », « flot régulier », « maintenant »
et « torrent ». Alors qu'ils avaient déjà proclamé la culpabilité
quasi certaine de Ben Laden après quelques heures, Blair admet par inadvertance
que c'était un mensonge. La progression des preuves du « goutte à
goutte » au « flot régulier », puis au « torrent »
s'est-elle faite en quelques heures seulement ? Ce serait une façon très
bizarre de décrire une une telle progression, et tout particulièrement lorsque
la phrase citée ci-dessus n'a été utilisée que quasi deux mois plus tard et
agrémentée d'un « maintenant » (« se sont MAINTENANT muées en
torrent »).
Ainsi, par inadvertance,
il admet qu'ils avaient déjà déclaré Ben Laden coupable, et menacé l'Afghanistan,
à un moment où les preuves n'apparaissaient encore qu'au « goutte
à goutte ». C'est lui qui le dit, après tout, et pas moi !
(Ou alors, ils savaient d'une façon ou d'une autre, à ce moment-là, que les
preuves allaient se muer en « torrent » un peu plus tard ?).
Mais un « torrent » de preuves n'est encore apparemment pas suffisant
pour porter la moindre accusation formelle devant un tribunal ni non plus pour
dévoiler des éléments de ce « torrent » au public ?
En fait, en novembre
dernier, des communiqués de presse ont commencé à faire leur apparition,
prétendant que certains des pirates de l'air pouvaient n'avoir pas été conscients
de ce qu'ils étaient sur le point de participer à une mission suicide. Je ne
sais pas comment cette thèse a fait surface ni quel en est le fondement,
mais c'est ce que les médias ont rapporté (Communiqué d'ABC Newsradio).
Cela collerait très bien avec le reste des informations dont nous disposons.
Certains parmi ceux qui n'étaient pas conscients qu'ils allaient commettre un
suicide, auraient été les agents de la CIA, ils auraient probablement reçu l'ordre
de recruter les terroristes et de prendre part aux détournements, tout en n'étant
pas mis au courant de la totalité des plans, alors que ceux qui étaient d'accord,
sciemment, pour commettre un suicide, étaient ceux qui étaient authentiquement
hostiles aux Etats-Unis. (Si c'est le cas, les moments ultimes dans les données
de vol enregistrées dans la boîte noire seraient à tout le moins intéressants
à écouter. Est-ce la raison pour laquelle on garde si soigneusement le silence ?).
L'administration
Bush a tenté de jeter un écran de fumée sur ceci en prétendant que le reste
de la famille de Ben Laden avait renié ce dernier ; mais, comme nous le
verrons, c'est absolument faux. Les Ben Laden sont d'importants investisseurs
au sein de la grosse firme d'armements qu'est le groupe Carlyle, lequel — et
il s'en vante — se fait un gros paquet de fric avec la guerre en Afghanistan.
George Bush senior est un personnage important au sein du groupe Carlyle. Au
nombre des autres gros investisseurs ou des PDG, on retrouve l'ancien Premier
Ministre britannique, John Major, James A. Baker, qui fut secrétaire
d'Etat à la Défense sous le président Bush sr, Colin Powell, ainsi que l'ancien
secrétaire à la Défense et directeur adjoint de la CIA, Frank Carlucci, lui-même
ancien condisciple, au collège, de l'actuel secrétaire à la Défense, Donald
Rumsfeld. Voici des citations extraites de la présentation de la compagnie Carlyle
telle qu'on peut la trouver sur Hoover's online :
Depuis lors, le
gouvernement US a présenté Ben Laden comme le principal suspect des attentats
terroristes contre deux ambassades américaines, et des attentats contre un navire
de guerre US et une caserne américaine au Moyen-Orient ( l'une de celles à la
construction desquelles la société de Ben Laden a participé.)
Et malgré tout on
lui a permis d'investir, via sa famille, dans le groupe Carlyle, et George Bush
senior a rencontré sa famille pas plus tard qu'en l'an 2000.
Prétendre que Ben
Laden a été renié par sa famille est un mensonge. On sait que Ben Laden a parlé
régulièrement avec sa mère et avec d'autres membres de sa famille pendant sa
prétendue mise au ban. On sait qu'en fait, lorsque Ben Laden a été hospitalisé
à Dubaï, en juillet 2001, des membres de sa famille lui ont rendu visite.
X-files by anar'chie Monday March 04, 2002 at 06:09 PM |
C'est vraiment un scénario à l'américaine tout ceci: les complicités des services secrets, le complot, les plus hautes autorités impliquées, ect...
Derniére info: Bush serait un plutonien chargé d'infiltrer les States pour la prochaine invasion de scarabés géants!!!!!!!!
les pratiques d'indy-france sont digne de Staline ! by do Monday March 04, 2002 at 07:29 PM |
do@mai68.org |
Maintenant, non seulement Indy-france ne se contente plus de pratiquer la censure, mais en plus, ils modifient les archives.
Leurs pratiques sont dignes de ce qu'on attend de Staline, ou plutôt, de Sharon !
Allez le vérifier à ces adresses :
http://france.indymedia.org/front.php3?article_id=11604&group=webcast
et
http://france.indymedia.org/front.php3?article_id=11583&group=webcast
De plus, à la première adresse, sous leur intervention intitulée "Avertissement", et juste avant qu'ils ne modifient mon texte, j'avais mis le commentaire suivant:
____________________
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
Titre: "Indy-france a falsifiée l'archive 11583"
Texte : «En effet, à l'adresse que je donnais :
http://france.indymedia.org/front.php3?article_id=11583&group=webcast
On trouvait ce que je dis dans le post-scriptum de mon texte.
À l'intention de france.indymedia :
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
Ce n'est pas moi qui ai spammé le site d'indy-france, c'est vous qui m'avez censuré! Et j'ai dû remettre quantité de fois mon texte (celui de Steve Grey, en fait) pour que vous vous décidiez à le laisser!
Si je ne suis plus censuré, il est clair que je ne mettrais pas plus d'un texte en 48 heures. Marché conlu!
Il n'a jamais été dans mon intention d'annexer france.indy ni aucun autre site indy! Pour le vérifier, il suffit de regarder combien je mets de textes sur archive.indymedia.be. Pourtant, ils ne m'ont jamais censuré! Je répète: indy-belge ne m'a jamais censuré! et tout le monde peut vérifier que je n'ai nullement chercher à envahir leur site avec mes messages!
Meilleures salutations,
do
http://mai68.org
PS) Je crains malheureusement que quelques textes (et même beaucoup de textes) ne suffiront jamais à sauver le monde. Mais je suis bien d'accord pour dire que le monde est en grand danger ! Et il ne l'a jamais autant été qu'aujourd'hui.»
____________________
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
Ils l'ont supprimé! Et tout modifié du texte de steve Grey afin de le ridiculiser. je me demande qui est ridicule d'indy-france ou de moi ! je me demande aussi à quel jeu jouent les gens d'indy-france et pour qui ils trava
ils ont recommencé ! by do Monday March 04, 2002 at 07:45 PM |
do@mai68.org |
Ils viennent de remettre mon commentaire qu'ils avaient supprimé, mais en le modifiant ! Je n'ai pas de mot pour qualifier ces gens !
Ichiban, Niban, Samban, Yomban (Premièrement, Deuxièmement, Troisièmement, Quatrièmement) by Melville Tuesday March 05, 2002 at 03:14 PM |
lamelurbano@hotmail.com |
Ichiban : Non mais qu'ils sont cons ces chefs Américains
Niban : Ah, je savais qu'Indymedia c'était trop beau pour être sans faille, voir IndyMedia France.
Sanban : La proposition de l'adresse que tu nous as donés turlututu, est effectivement à développer. C'est trop douteux pour la laisser comme ça...
Yonban : Je suis enragé de ça. C'est insultant de savoir que ça peut être possible, et pourtant, nous savons combien souvent la réalité dépasse la fiction....
La passivité, c'est laisser libre cours aux agissements des autres, (en toute impunité) by turlututu Tuesday March 05, 2002 at 04:53 PM |
#Activism@undernet.channel.mirc |
Non anar'chie, ce n'est pas une fiction, prend pour exemple le réseau américain d'espionnage "ECHELON", c'est en pensant ainsi qu'un jour tu pourrais bien te réveiller surprit et là , il sera trop tard pour agir !
De plus, bien des films de science-fiction ont révélé la réalité avec 20 ans d'avance.
Pour renforcer cette opinion voici une autre url http://www.asile.org/citoyens/numero13/pentagone/erreurs.htm
<<L'erreur ne devient pas vérité parce qu'elle se propage et se multiplie; la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit.>> Gandhi
Foutaises by Paulina Friday March 29, 2002 at 12:00 PM |
Je n'ai jamais lu un tel ramassis de foutaises ! Je sais qu'on adore casser du sucre sur le dos de américains et encore plus sur celui de Bush, mais là, je trouves que celà dépasse l'entendement. Si au moins la personne qui a écrit cet article avit elle-même fait cette enquête, on aurait pu apporter quelque crédit à son histoire; mais non, elle se contente d'argumenter son histoire de phrases du genre : "c'est vrai, j'ai entendu machin le dire ..." ou "j'en suis certain, c'est le général bidule (qui par hasard est pas franchement copain avec les américains) qui me l'a promis". Moi, je trouve sa crédulité tout à fait enfantine ! Allons, pourquoi plutôt croire les propos d'untel que du président Bush ou de Cheney ? Il ne croit vraiment qu ce qui l'arrange...
Moi, une telle idiotie me dépasse !
L'auteur est marrant, sympa mais un peu lourd quand mm!!! by FBI Wednesday August 14, 2002 at 11:30 AM |
Heu comment dire... Je trouve cet article vraiment marrant, on sent bien que l'auteur a l'air sur de lui et fiére de presenté ses information comme si a lui tout seul il etait l'OTAN... Mais je voudrais vous faire part de mon avis : Franchement je trouve cet article tres bidon, ecrit sans aucun fondement credible... Il est d'apres moi fondé sur des "on dit" mais aussi d'apres des articles de journaux et des infos venant de media...SUPER CREDIBLE!!!
Mais pour qui se prend t'il? FOX MULDER ou DANA SCULLY...
C'est vrai que la réalité depasse des fois la fiction... Mais je tien à dire que les EU et le resau Al-Quaîda ne decoivent enormement, il se battent pour le controle du monde donc pour de l'argent..
La vérité est ailleur mais la cupidité est toujours la... Qui croire sinon de deploré les evenement au lieu de trouver la raison. les politiciens sont des menteurs et les media leurs bouches...
A plus...