arch/ive/ief (2000 - 2005)

Nous somme parties lettre en main vers le Palis présidentiel,
deux Mères, Hebe de Bonafini (Présidente des Mères de la Plza de
Mayo) et Evel Petrini (Secrétaire du comité directeur), aprés
notre marche habituelle du jeudi (1)
La garde présidentielles nous avait averti à l' entrée "Faites
attention à ce que vous ferez là dedans, sinon vous sortirez les
pieds en avant."

Nous savons que beaucoup se mobilisent, préoccupés par l' argent
ou le gel des comptes en banque. Si l' argent n' y est plus, c'
est parcequ' il a été volé par les mêmes délinquants qui aujourd
' hui occupe le palais gouvernemental.

Mais, nous, les Mères de la Plaza de Mayo, avons le sentiment qu'
il est nécessaire de poursuivre la lutte, non pas pour l' argent,
mais pour la vie, et de continuer à exiger la mise en liberté des
prisonniers politiques et des militants sociaux et rejetons cette
pègre qui a assailli le gouvernement et s' en ait approprié.

Les Mères seront aux côtés des jeunes qui risquent leurs vies
pour affronter la police assassine qui protège ceux qui
gouvernent.
Pour cette raison nous continuons de proclamer la consigne de la
21ème Marche de la Résistance: "Résistance et combat contre le
terrorisme de l' état."

(1) depuis des années les Mères de la Plaza de Mayo, réclament la
mise en examen et que des enquêtes soient ouvertes sur leurs
êtres chèrs disparus dans la nuit noire de la dictature des
généraux menés par une ordure du nom de Alfonsin et avec l' aide
et la bénédictions des gringos et de leurs multinationales, dont
surtout Ford qui partcipa activement à la répression en mettant
une de ses usines à la disposition de la police politique de la
dictature pour la détention et l' interrogation de milliers d'
individus, aujourd' hui disparu(e)s et présumé(e)s
assassinés/ées.

Contracorriente: vallseca@arrakis.es
COMUNISTES de CATALUNYA difunde de Latina:
http://communities.latan.msn.com/170697
URGENTE/URGENTE/URGENTE/URGENTE!!
3 de enero del 2002
Comunicado después de la Marcha del Jueves 3 de enero del 2002

Communiqué au lendemain de la Marche de Jeudi 3 Janvier 2002
Las Madres de Plaza de Mayo repudiamos este gobierno integrado
por asesinos, narcotraficantes, ladrones y corruptos.
Sin embargo, a pesar del asco, decidimos llevar una carta
exigiendo la inmediata libertad y el desprocesamiento de todos
los presos políticos y los luchadores sociales castigados por
enfrentar este sistema capitalista y criminal.
Fuimos dos Madres, Hebe de Bonafini -Presidenta de la
Asociación-, y Evel Petrini -Secretaria de la Comisión
Directiva-, luego de la marcha de todos los jueves, con una carta
en la mano. La custodia presidencial nos advirtió mientras nos
acompañaban: "tengan cuidado con lo que hacen acá adentro o salen
con las patas para adelante".

Sabemos que muchos se movilizan preocupados por el dinero o el
corralito de los depósitos bancarios. Si el dinero no está es
porque se lo robaron estos mismos delincuentes que hoy ocupan la
casa de gobierno.

Pero las Madres de Plaza de Mayo sentimos que debemos continuar
luchando no por el dinero, sino por la vida, exigiendo la
libertad de los prisioneros políticos y los luchadores sociales y
repudiando a esta mafia que tomó por asalto el gobierno.

Las Madres seguiremos junto a los jóvenes que arriesgan sus vidas
para enfrentar a la policía asesina que protege a los que
gobiernan. Por eso, continuamos levantando la consigna de la 21ª
Marcha de la Resistencia: "Resistencia y combate contra el
terrorismo del estado"
Hebe de Bonafini
Presidenta