arch/ive/ief (2000 - 2005)

CIA ontmoette bin Laden in juli.
by christophe callewaert Wednesday October 31, 2001 at 04:09 PM

Le Figaro schrijft vandaag dat de plaatselijke CIA verantwoordelijke van Durbai in juli een bezoekje bracht aan het ziekbed van bin Laden.

Wanneer beginnen de bombardementen op Washinton?

La CIA aurait rencontré Ben Laden en juillet
L'ennemi public numéro un aurait été soigné dans
l'hôpital américain de Dubaï au début de l'été
pour de graves insuffisances rénales. Durant son
séjour de 15 jours, le milliardaire saoudien aurait
reçu la visite d'un représentant local de la CIA.
Cet agent aurait même été informé sur
d'éventuels attentats.


Alexandra Richard
Publié le 31 octobre 2001, page 2


Dubaï, l'un des sept émirats de la fédération des
Emirats arabes unis, au nord-est d'Abu Dhabi.
Cette ville de 350 000 habitants a été le théâtre
discret d'une rencontre secrète entre Oussama
ben Laden et le représentant de la CIA sur place,
en juillet. Un homme, partenaire professionnel de
la direction administrative de l'hôpital américain
de Dubaï, affirme que l'ennemi public numéro un
a séjourné dans cet établissement hospitalier du
4 au 14 juillet.

En provenance de l'aéroport de Quetta au
Pakistan, Oussama ben Laden a été transféré
dès son arrivée à Dubaï Airport. Accompagné de
son médecin personnel et fidèle lieutenant, qui
pourrait être l'Égyptien Ayman al-Zawahari - sur
ce point les témoignages ne sont pas formels -,
de quatre gardes du corps, ainsi que d'un
infirmier algérien, Ben Laden a été admis à
l'hôpital américain, un bâtiment de verre et de
marbre situé entre Al-Garhoud Bridge et
Al-Maktoum Bridge.

Chaque étage comporte deux suites «VIP» et
une quinzaine de chambres. Le milliardaire
saoudien a été admis dans le très réputé
département d'urologie du docteur Terry
Callaway, spécialiste des calculs rénaux et de
l'infertilité masculine. Joint par téléphone à de
multiples reprises, le docteur Callaway n'a pas
souhaité répondre à nos questions.

En mars 2000 déjà, l'hebdomadaire Asia Week
publié à Hongkong s'inquiétait de la santé de Ben
Laden, faisant état d'un grave problème physique
précisant que ses jours étaient en danger à
cause d'une «infection rénale qui se propage au
foie et nécessite des soins spécialisés». Selon
des sources autorisées, Ben Laden se serait fait
livrer dans son repaire afghan de Kandahar l'ensemble d'un matériel mobile de dialyse au
cours du premier semestre 2000. Selon nos sources, le «déplacement pour raison de santé
de Ben Laden» n'est pas le premier. Entre 1996 et 1998, Oussama ben Laden s'est rendu
plusieurs fois à Dubaï pour ses affaires.

Le 27 septembre, quinze jours après les attentats du World Trade Center, sur demande
américaine, la Banque centrale des Emirats arabes unis a annoncé avoir ordonné le gel des
comptes et des investissements de 26 personnes ou organisations soupçonnées
d'entretenir des contacts avec l'organisation de Ben Laden, notamment auprès de la Dubaï
Islamic Bank.

«Les rapports entre l'Emirat et l'Arabie Saoudite ont toujours été très étroits, expliquent
nos sources, les princes des familles régnantes qui avaient reconnu le régime des talibans
se rendaient souvent en Afghanistan. Un des princes d'une famille régnante participait
régulièrement à des chasses sur les terres de Ben Laden qu'il connaissait et fréquentait
depuis de nombreuses années.» Une liaison aérienne entre Dubaï et Quetta est d'ailleurs
quotidiennement assurée par les compagnies Pakistan Airlines et Emirates. Quant aux
avions privés émiratis ou saoudiens, ils desservent fréquemment Quetta où ils ne sont la
plupart du temps ni enregistré ni consigné dans les registres de l'aéroport.

Durant son hospitalisation, Oussama ben Laden a reçu la visite de plusieurs membres de
sa famille, de personnalités saoudiennes et émiraties. Au cours de ce même séjour, le
représentant local de la CIA, que beaucoup de gens connaissent à Dubaï, a été vu
empruntant l'ascenseur principal de l'hôpital pour se rendre dans la chambre d'Oussama ben
Laden.

Quelques jours plus tard, l'homme de la CIA se vante devant quelques amis d'avoir rendu
visite au milliardaire saoudien. De sources autorisées, l'agent de la CIA a été rappelé par
sa centrale le 15 juillet, au lendemain du départ de Ben Laden pour Quetta.

A la fin juillet, les douaniers émiratis arrêtent à l'aéroport de Dubaï un activiste islamiste
franco-algérien, Djamel Beghal. Début août, les autorités françaises et américaines sont
alertées. Interrogé par les autorités locales à Abu Dhabi, Beghal raconte qu'il a été
convoqué en Afghanistan fin 2000 par Abou Zoubeida - un responsable militaire de
l'organisation de Ben Laden, Al Quaida. La mission de Beghal: faire sauter l'ambassade des
Etats-Unis, avenue Gabriel, près de la place de la Concorde, à son retour en France.

Selon différentes sources diplomatiques arabes et les services de renseignements français
eux-mêmes, des informations très précises ont été communiquées à la CIA concernant des
attaques terroristes visant les intérêts américains dans le monde, y compris sur le territoire
de l'Union.
Un rapport de la DST daté du 7 septembre rassemble la totalité de ces données, précisant
que l'ordre d'agir devait venir d'Afghanistan.

En août, à l'ambassade des Etats-Unis à Paris, une réunion d'urgence est convoquée avec
la DGSE et les plus hauts responsables des services américains. Extrêmement inquiets,
ces derniers présentent à leurs homologues français des demandes de renseignements très
précises concernant des activistes algériens, sans toutefois s'expliquer sur le sens général
de leur démarche. A la question «que craignez-vous dans les jours qui viennent?», les
Américains opposent un mutisme difficilement compréhensible.

Les contacts entre la CIA et Ben Laden remontent à 1979 lorsque, représentant de la
société familiale à Istanbul, il commença à enrôler des volontaires du monde
arabo-musulman pour la résistance afghane contre l'Armée rouge. Enquêtant sur les
attentats d'août 1998 contre les ambassades américaines de Nairobi (Kenya) et de
Dares-Salaam (Tanzanie), les enquêteurs du FBI ont découvert que les traces laissées par
les charges proviennent d'un explosif militaire de l'armée américaine et que cet explosif a
été livré trois ans auparavant à des Afghans arabes, les fameuses brigades internationales
de volontaires, engagés au côté d'Oussama ben Laden durant la guerre d'Afghanistan
contre l'armée soviétique.

Poursuivant ses investigations, le FBI découvre des «montages» que la CIA avait
développés avec ses «amis islamistes» depuis des années. La rencontre de Dubaï ne
serait donc que la suite logique d'une «certaine politique américaine». CIA=veran

Met de CIA verveel je je nooit ...
by jpe Wednesday October 31, 2001 at 09:28 PM

Vraag: 'Le Figaro' is een rechtse Franse krant, nietwaar ?

In deze dus een betrouwbare bron want 'door de bot' erg Amerikaans gezind ...

En als zij dan al afkomen met zo'n info over hoe de CIA Bin Laden niet los laat ...

Vandaag ook ergens op televisie gehoord dat er tijdens de oorlog van de Taliban tegen de Sovjets, wel degelijk Amerikanen in Afghanistan meevochten ...