Goteborg - Toby lutte pour survivre by Globe_l Saturday June 16, 2001 at 07:13 PM |
D'après le porte-parole de l'hôpital de Goteborg, Toby, le jeune manifestant blessé par balle policière, serait entre la vie et la mort.
D'après le porte-parole de l'hôpital de Goteborg, Toby, le jeune manifestant
blessé par balle policière, serait entre la vie et la mort.
Il est préférable d'utiliser le conditionnel car personne n'est en mesure de
savoir si cette nouvelle est réelle ou bien si, comme l'ont annoncé d'autres
sources comme la Cnn alemande, Toby serait décédé. Toujours suivant les
déclarations de l'hôpital, Toby aurait subi une deuxième opération et serait
maintenant au service des soins intensifs et dans un état critique.
Son identité n'a pas encore été révélée officiellement; Toby serait âgé de
17 ans, sa nationalité n'ayant pas été précisée.
Par contre, la dynamique qui a porté à cet épisode tragique semble de plus
en plus claire : une balle a atteint Toby dans le dos et lui a perforé un
rein. Le policier qui a tiré ne peut en aucun cas prétexté la légitime
défense car à aucun moment il ne s'est trouvé en contact direct avec Toby ou
d'autres manifestants mais a choisi délibérément d'utiliser son arme de
poing contre la foule.
Comme le montrent clairement les images télévisées italiennes où l'on voit
clairement la police marchait vers les manifestants et un de ses membres
tirait à tir tendu vers la foule. Des témoignages insistent sur le fait
qu'il ne s'agit pas d'un épisode isolé mais que d'autres membres des forces
de l'ordre ont utilisé leur pistolet d'ordonnance contre la foule.
Précision by Makhno Sunday June 17, 2001 at 02:07 PM |
D'après les chaînes nationales belges et françaises, il serait Suèdois
Répression policière en Argentine by ben Monday June 18, 2001 at 08:57 PM |
Le jeune Toby était touché par une balle policière vendredi à Goeteborg. Dimanche, au delà de l'Atlantique, deux manifestants tombaient sous les balles de la Gendarmerie argentine. A l'origine, des maçons argentins réclamaient un salaire minimum. Des chômeurs les ont rejoints. Ensemble, ils bloquaient depuis 18 jours une route provinciale. Avec la trentaine d'autres blessés, par balle également, voilà pour ce week-end les victimes de la crise économique et de la répression.