arch/ive/ief (2000 - 2005)

[photos, de gauche à droite, de haut en bas.]
(1) La marche, ouverte par le MML (étudiants du PTB). Pendant plus de trois heures, il crieront des slogans exigeant l'arrêt du procès contre les délégués de Clabecq. Sur leur calicot: "Pour un monde juste, étudiants et ouvriers: unité!"
(2) A la marche du 3 février 97, les portraits de Marx, Engels et Lénine avaient été fort remarqués. Samedi c'était Che Guevara, pistolet au poing. "Hasta la victoria siempre!"
(3) Toile de fond: les cheminées des Forges
(4) La valeur n'attendant pas le nombre des années...
(5) Les manifestants passe le long des clôtures des Forges...
(6)...mais la police veille, et applique sa nouvelle méthode: dissuasion psychologique (la grenouille qui essaye d'être plus grosse que le boeuf)
(7+8) Lorsque la Région Wallonne espérait encore fermer les Forges, Flahaut avait osé proposer comme reconversion économique pour la région...une prison. Grâce à "la bande à D'Orazio", les Forges tournent toujours, mais la prison est construite. Roberto d'Orazio ironise: "J'ai le droit de demander d'être dans la prison la plus proche de ma famille!"
(9+10) La Longue Marche? Environ 2.500 personnes ont bravé la pluie et on marché une dizaine de kilomètres. Pourtant les médias dominants ont nié cette mobilisation dans une (presque) complète unanimité.
(11) Sur un panneau, Goebbels (ministre de la propagande nazie) lit "Le Soir": "un peu lourd le style, mais quelle imagination. Très très bien comme elle écrit votre petite Bénedicte". Il faut dire que l'article de la dite Bénédicte Vaes sur l'occupation de la FGTB semblait s'inspirer en droite ligne de la devise de Goebbels "Mentez il en restera toujours quelque chose".
(12) Vers 18 heures la marche se termine, et les manifestants se pressent dans la salle La Bruyère. Au programme: soirée festive, spaghetti et un peu de repos pour les jambes.
(13) L'Internationale: un tube indémodable!
(14) Des militants du Collectif contre les expulsions appellent au soutien pour le procès de Pascal Marchand, vendredi 9 février, 8h45, Palais de Justice de Bruxelles (voire autres articles sur belgium.indymedia)