arch/ive/ief (2000 - 2005)

T'es sûr qu'il ne commande pas trois bières...
Ou qu'il montre aux manifestants qu'il sait compter...
Peut-être qu'il ne lui reszte plus que trois doigts, il s'est coupé les autres en installant des étagères à la Maison Blanche...

:-))))))))))))))))

Echange entre un ant et un pro-Bush à Washington
- "Tu es un nazi fasciste"
- "Et toi, un communiste gay"
...

Les trois doigts sont effectivement censés représenter un W, mais c'est plutôt W comme dans 'George W. Bush' que comme dans 'White power', même si l'analogie doit secrètement lui plaire...

Bill Clinton, au moment de quitter le bureau ovale de la Maison-Blanche, est revenu sur ses pas. Pour déposer une enveloppe, marquée « Président Bush ». Le message de bienvenue est une tradition récente - inaugurée par le premier George Bush, qui avait de la même manière laissé un mot à son successeur Bill Clinton.

Les petites mains de l'administration sortante ont perpétué une autre tradition, plus ancienne et moins cordiale. A chaque changement de régime, des milliers de responsables du gouvernement, qui doivent leur fonction à une nomination politique, sont priés de débarrasser le plancher pour laisser place nette à leurs successeurs.

S'ils sont du même parti, l'opération se passe en douceur. Mais, si les nouveaux maîtres des lieux appartiennent au parti adverse, la relève de la garde vire souvent au bizutage.

Ainsi, lundi, les responsables du service de presse se sont battus un long moment avec le système informatique avant d'arriver à sortir leur premier communiqué. Ailleurs, on cherchait en vain le mode d'emploi pour changer le répondeur qui annonçait : La mission Clinton/Gore est accomplie, avant de couper la communication. Quelqu'un sait quel est mon password ? demandait à la cantonade un nouvel assistant.

Dans les bureaux voisins, les nouveaux arrivants découvraient que la lettre « W » manquait à leurs claviers. Plutôt gênant pour la « W »hite House de George « W. » Bush.

Les touches manquantes furent parfois repérées scotchées dans le haut des chambranles de porte, d'autres semblent avoir filé à la poubelle - où elles seront bientôt rejointes par les nombreux claviers où la touche symbole du nouveau président a été carrément démolie.

Gamin ? Les « clintoniens » ne sont pas les premiers à se livrer à de tels gags de potaches : quand ils ont emménagé dans les locaux de l'ex-vice-président Dan Quayle, en 1993, ils ont trouvé les bureaux empilés, les tiroirs vides. Plus un crayon, plus un papier... et, si on ne parle pas d'ordinateur, c'est parce que la jeune génération démocrate branchée découvrit avec horreur que la Maison-Blanche vivait alors encore à l'ère de la machine à écrire

NATHALIE MATTHEIEM

pff ya rien la jean chretien a déja fait le salut nazi lui