Urgence: La Belgique expulse collectivement des Kazakhs by Fred Thursday January 04, 2001 at 07:16 PM |
fredolev@hotmail.com |
EXPULSION PAR CHARTER LA BELGIQUE SE DISTINGUE ENCORE IIIème millénaire ou IIIème Reich?
Nous venons d'apprendre (19h00) que la Belgique expulse ce soir par charter des kazakhs. Cette expulsion était prévue depuis plusieurs senmaines. Il semblerait que l'avion partira de l'aéroport de Zaventem.
Nous avons appris aussi qu'une manifestation se déroulerait actuellement à Vottem, au centre fermé. Selon certaines sources, un bus devrait partir de ce centre pour emmener des réfugiés à Zaventem.
Toutes ces infos sont à prendre au conditionnel
Pour plus d'infos sur les Kazaks et la question de la minorité ouïghours, allez voir le dossier "sans papiers"
Infos contradictoires by Fred Thursday January 04, 2001 at 07:27 PM |
fredolev@hotmail.com |
Des infos contradictoires nous parviennent.
Ils paraîtrait que tous les Kazakhs seraient déjà rassemblés à l'aéroport militaire de Melsbroek pour l'expulsion.
A suivre...
La suite... by Fred Thursday January 04, 2001 at 07:45 PM |
fredolev@hotmail.com |
Une autre source confirme que tous les Kazakhs serait bel et bien à Melsbroeck pour être déporter.
Selon les dires officiels, il n'y aurait pas de Ouïghours au sein de ce groupe. A vérifier...
Selon la radio, de 6 à 25 personnes devraient être expulsées collectivement, ce qui veut dire rien du tout par rapport au nombre de Kazakhs arrivés en Belgique récemment.
Un geste symbolique? Un geste fort? Pour montrer aux peuples de l'Etat du Kazakhstan que la Belgique ne veut pas qu'ils débarquent?
Il est vrai que là-bas la question du retour massif de réfugiés fait couler beaucoup d'encre.
A suivre...
Et encore... by Fred Thursday January 04, 2001 at 09:35 PM |
fredolev@hotmail.com |
Selon Radio-Contact (21h30)
Une quarantaine de Kazakhs seraient détenus à l'aéroporet militaire de Melsbroek en vue de leur expulsion ce soir vers 1 heures du matin.
Concernant la "dite" manif à Vottem, il s'agirait finalement simplement d'une présence de membres du Collectif de résitance aux centres pour étrangers (CRACPE).