Voilà donc la nouvelle littérature socialiste bourgeoise métaphysique. Pourquoi dis-je cela? Car c’est typique de la bourgeoisie qui craint l’organisation du peuple, en deux mot, la Révolution Sociale. D’ailleurs déjà en se classifiant comme gauchiste Dominique souhaite participer à la démocratie bourgeoise, plutôt qu’à la Révolution Sociale. Typique des socialistes bourgeois est effectivement ce sens du réformisme, qui fait perdre au socialisme tout son caractère, son pouvoir, et rend sa pratique impossible. D’ailleurs elle accuse ‘les [autres] gauchistes, les anarchistes, et autres libres penseurs’ d’une soi-disante absurdité: selon Dominique –contrairement à ce que les grands penseur, et les révolutionnaires de toujours –l’émancipation de la religion n’est pas nécessaire pour l’émancipation de l’humanité. Que signifie cela? Tout d’abord qu’elle-même n’arrive pas à s’émancipé de la religion. Ceci n’est pas grave, nous ne voulons imposer à personne quelque chose qu’elle ne comprenne pas. Puis elle rejette le principe du matérialisme théorique, que le monde est constitué de matière, du plus simple au plus complexe, en non au contraire. À ce point là on pourrait lui conseiller de lire Dieu et l’état de Bakounine. Comme le disait Bakounine (et d’autre penseurs révolutionnaires) l’existence de dieu serait en opposition avec le mouvement naturelle des choses, comme jadis, du plus simple au plus complexe, du plus petit au plus grand, du bas vers le haut… Dieu étant parfait, comment à t’il pu créé l’homme, un être qui, conséquemment, par définition à, est complètement imparfait? En autres mots, si dieu est, l’homme n’est pas! Mais bon, ce n’est pas le moment de raconter ceci, car au fond, en étant gauchiste, elle à sûrement lu quelque chose sur ou de Karl Marx qui se référait à la religion comme ‘un stade dans le développement humain’. Ensuite, pour spécifier un peu, nous sommes convaincu que les circonstances déterminent la conscience. On peut démontrer cela dans les deux direction en donnant deux exemples du monde moderne. 1) Même en vivant bien, recevant une (assez) bonne éducation, et appris à être critiques, dans le monde occidental nous ne sommes qu’à peu à comprendre qu’il faut une véritable Révolution Sociale pour changer le monde et améliorer la vie sur terre. Pourquoi sommes-nous tellement peu par rapport aux masses? Car dans la société occidentale nous vivons plein le cul, et alors on ne remarque pas que nos ‘représentants’ sont un danger pour tout ce qu’il y a sur terre, et qu’un bouleversement du système est nécessaire. 2) La foi (absolue) en dieu est disparue quasi complètement dans le monde occidental, là où les conditions pour le développent de l’esprit humain sont plus favorable et où une foi les gens se sont battu pour leurs droits. De l’autre côté il suffit de regarder là où les conditions humaines sont moins bonnes qu’ici pour y retrouver un taux de foi en dieu et absolue dans ses représentants religieux très haut. Ceci explique aussi la crise des sois disants terroristes en Palestine. Bien sur les leaders des organisations fondamentalistes, telles que Hamas, Al Qaeda, Al Aqsa… sont des terroristes, mais les pauvres endoctrinés qui se font sauté à l’aire ne le sont pas. Ils sont endoctrinés, car chez les térroristes ils réçoivent une éducation et de la nourriture, des hopitaux, etc., qu’ils ne reçoivent de personne d’autres, ou qu’ils n’ont pas le droit de s’en occupé eux-même. Mais au moins, grâce au circonstances, ils comprennent qu’il faut changer de monde (même si leurs alternative n’est pas toujours bonne). Que-est la religion? C’est un manque d’explication des phénomènes naturelles, dont notre présence sur terre n’est qu’un détail. Et ceci, bien exprimé par Dominique, ce n’est que « la foi exprimée dans le langage d'une culture ». Un des droits de l’homme, et une des tas de choses pour lesquelles nous luttons, c’est la liberté de religion, de s’exprimer, l’autodétermination, autrement dit. Mais voilà une contradiction dans le texte. Dieu serait une « une affaire personnelle ». Si dieu est une affaire personnelle, et la religion et l’expression d’une culture, on constate que Dominique veut l’émancipation des religions, ce qu’ elle nous reproche. Mais l’émancipation des religions nécessairement implique l’émancipation de la foi en dieu, car la foi en dieu est une religion en soi. Donc, au contraire de ce qu’elle voudrait nous démontrer, l’émancipation de l’homme n’est pas complète sans l’émancipation de dieu. D’ailleurs, n’était-il pas claire? Si la foi en dieu n’est qu’une erreur commise par nos ancêtres dans leurs phase d’animalité intellectuelle, l’émancipation de la foi ne peut que être un pas en avant pour l’humanité. Pour finir, alors –peut-être en essayant de ne pas se contredire – Dominique nous dit que si on ne sait pas croire en dieu, on ne sait pas aimer. Comme tous les religieux, tous les croyants, elle attribue cette faculté humaine, la solidarité, à un dieu, et fait ainsi de l’homme une brute. Elle nie toute les études anthropologique et zoologique qui démontrent que la solidarité est une faculté inhérente à tous les êtres vivants, et que les seules fois ou c’est la compétition qui règne entre les êtres vivants c’est quand les conditions sont matérielles sont exécrable. Ce qui ne serait pas le cas dans ce monde si ce n’étaient pas pour les quelque exceptions de gens qui utilisent la guerre omnium contra omnes comme excuse pour justifier pourquoi ils rendent et gardent les conditions matérielles de la plus grande partie du peuple tellement détestables. Et même alors, nous avons tous un sentiment de sociabilité qui fait ainsi que les pauvres ne s’entrebouffent pas.