La proposition de do est excellent et vu l'urgence et l'ampleur des dégats à l'échelle de la planète, elle est impérative.

 

40 millions de personnes qui crèvent de faim par année, cela fait 110 000 personnes par jour. Soit environ une ville moyenne qui disparaît de la surface du globe chaque jour où environ un pays de population moyenne par année. Pour, l'instant ce sont surtout leurs populations qui disparaissent. De manière sure et définitive.

 

Si les droits de l'hommes se mangeaient, il est sur qu'à voir l'insistance avec laquelle tous le monde les manient, même les plus affamés d'entre nous pôvres mortels seraient obèses.

 

Vive la manifestation totale et illimitée!

 

La solidarité a créer le succès des manifestations du week-end dernier. Cette solidarité a mobiliser des millions de personnes dans la même action revendicatrice d’un monde meilleur.

 

Si les politiciens mettaient autant de zèle pour mettre le système au service de la population et des individus à la place de mettre les individus au service de l’économie de marché et de travestir ainsi le sens des mots, il y a longtemps que nos problèmes seraient résolus.

 

Si les médias mettaient autant de zèle à nous montrer le vrai visage du monde à la place de nous montrer que des tronches de premier de la classe, tous clônes de la même philosophie égoïste, raciste, guerrière et décadente, il y a longtemps que tout le monde aurait compris et ne marcherait plus dans ces conneries.

 

Nom de Dieu! Arretez donc de vous foutre de la gueule du monde vous qui vous cachez derrière de vieilles recettes fumistes, mercantiles et criminelles. Nom de Dieu! Nom de Dieu! Fy fan! Comme ils disent en Suède. (pronocez fuu faane!)

 

 

Pour changer de système, la solidarité est la clef. Solidarité avec les affamés, les meurtris, les sans-logis, les sans foi ni loi, les ectoplasmes visqueux, que sais-je encore. Il n’est que trop temps de prouver que nous sommes capable de penser par nous mêmes et surtout d’agir en conséquence. Les catégories qui nous divisent doivent éclater. Il faut organiser des permanences dans chaque localité voir dans chaque quartier pour que tous puissent faire entendre leur voix. Pour que ces voix ne soient pas récupérée, seuls doivent être rejeter ceux qui essaieront de s’exprimer au nom d’un groupe de pression, quel qu’il soit. Si dans chaque ville se trouve au moins un lieu permanent de manifestation, la fête sera totale et illimitée et ce jusqu’à satisfaction des revendications.

 

Des pays d’amériques du sud nous montrent l’exemple. Chassons suivre cette voie qu’ils ont tracée vers en troisième millénaire en rupture avec la tradtion d’exploitation de l’homme et de dévastations des ressources naturelles des millénaires précédents. Cervantes et Shakespeare ont décrit les débuts du capitalisme et ses effets: décadence profonde du système ainsi que déchéance totale de l’homme. Nous vivons ses derniers soubresauts et la fin de l’empire.