Après les remous causés par la révélation s faites par le réseau Voltaire et ceux causés par d’autres publications qui échappent à la dictature de la pensée unique, Peter Franssen vient de commettre, avec la collaboration de notre ami Pol Devos, journaliste à l’hebdomadaire Solidaire, un livre sur le 11 septembre paru dans la prestigieuse maison d’édition Epo (2). Ce livre, constitué de faits, rien que des faits, loin de la langue de bois utilisée trop souvent par ce que nous appelons “ journalistes-fonctionnaires ”, qui ont emprunté le pas (ou la plume) à M. Robert Mueller, patron du F.B.I qui déclarait, neuf jours après les attentats du W.T.C : "Rien ne laissait supposer que quelques chose de semblable risquait de se produire dans notre pays. ” (3) vient enfoncer un clou supplémentaire dans le cercueil de la schizophrénie qui s’est emparée de la Maison Blanche Rien ? Peter Franssen affirme que “ Cinq services de renseignements avaient averti les americains : “ Le BND (service de renseignement allemand NDR) disait littéralement : “ Des terroristes du Moyen-Orient planifient de détourner des avions de ligne pour attaquer des symboles importants des Etats-Unis. ” En juillet 2201, soit deux mois à peine avant les attentats,, Oussama Ben Laden a séjourné dans à l’hôpital américain de DubaÏ. Il était accompagné de son médecin personnel, de quatre gardes du corps et d’un infirmier algérien. Il y rencontre également le chef de la CIA à Dubaï alors qu’Oussama Ben Laden avait sa tête mise à prix par le FBI et était recherché par la même CIA pour les attentats de Nairobi et Dar Essalam. Mais cela se comprend quand on apprend que la famille Bush est personnellement liée à la famille Ben Laden par de sordides intérêts financiers : en 1993, la famille BEN Laden embauche Philip Griffin, ancien consul général américain à Djeddah, pour qu’il défende ses intérêts à Washington. Pour 2 millions de dollars, la famille achète un siège au comité de direction du groupe Carlyle, qui a des intérêts dans l’industrie de la Défense dont sont membres Bush senior, l’ex-ministre américain des Affaires étrangères James Baker et l’ex-premier ministre britannique John Major. Le président de Carlyle est Frank Carlucci, un bon ami de Donald Rumsfeld, l’actuel ministre de la Défense. Les intérêts financiers de la famille Ben Laden sont gérés aux Etas-Unis par Citigroup, dont le président est Robert Rubin, ex-ministre du Trésor. La famille Ben Laden détient aussi des paquets d’actions de Général Electric, Microsoft que j’ai au bout des doits, Boeing et autres joyaux de la couronne américaine. Dans les années 80, la famille Ben Laden est l’un des intermédiaires du président Reagan lorsque celui-ci fit transiter illégalement 34 millions de dollars aux contras du Nicaragua, pour combattre le régime Sandiniste. Ouf ! Je m’aperçois que, un l’espace d’un paragraphe, j’ai cité fois le mot “ intérêts ” et que j’ai donné le nom de hautes personnalités américaines. Mais le livre de <<<