Faits historiques (Balkan Unity http://www.balkanunity.org/yugoslav/french/mensonges.htm ) Cette page contient de nombreux autres renseignement intéressant. Je sais que tu n'aimes pas ce site à cause de leurs vues sur l'immigration. Si tu lis bien ce qu'ils disent, tu verras qu'ils ne sont pas contre l'immigration en tant que telle, mais contre son utilisation dans des buts politiques comme faire baisser les salaires ou forcer un changement éthnique dans une région en y important massivement une seule catégorie d'immigrés. =========================================================== Des mensonges en guise de critique Aucun gouvernement n' est saint. Même si le sort d' un gouvernement ne doit être décidé que par son peuple, chacun a indubitablement le droit de le juger et de le critiquer. Ceci est valable autant pour le gouvernement de Belgrade que pour Milosevic en personne. Or, c' est une chose de critiquer du point de vue des intérêts du peuple et des travailleurs, et c' en est une autre de rabâcher les mensonges néo-goebbelistes. Ceci est une traîtrise criminelle et pas seulement envers le peuple serbe. Si les criminels de l' O.T.A.N. arrivent a mater les Serbes, une barbarie moyenâgeuse va ensevelir les Balkans et l' Europe. La contribution des défenseurs "progressistes" y sera capitale. La seule relation des accusations de Clinton avec la réalité, c' est qu' elles la renversent. S' il y a une communauté ethnique qui a subi persecutions et épuration ethnique à Kosovo, c' est bien les Serbes. Personne ne peut les imputer à la population albanaise de Kosovo qui y a vécu en paix avec les Serbes durant des siècles. Or, on ne peut pas en dire autant de la bande de l' U.C.K. qui s' y est activée après la mort de Tito et derrière laquelle se trouvent les services secrets de l' imperialisme américain et la Mossad, ni de la milice fasciste albanaise qui, au sein des S.S., s'y est déchaînée durant la deuxième guerre mondiale. Faits historiques Bien entendu, ce n' est pas l' ignorance des faits qui pousse certains "progressistes" à soutenir l' O.T.A.N. . Pourtant, il ne serait pas superflu de les rappeler. Tous les rapports historiques depuis l' époque de la domination Turque, présentent Kosovo comme le coeur de la nation Serbe. Peu avant le début de la 2ème guerre mondiale, les habitants de langue albanaise y constituaient une petite minorité. Si l' on accepte certaines estimations selon lesquelles ils montent au 90% de la population actuelle, tandis que les Serbes ont diminué en conséquence, ce même changement des rapports ethniques prouve que la communauté albanaise de la région ne fut jamais objet de persécutions. Ce qui pose des questions, c' est la décroissance dramatique de la communauté serbe; questions auxquelles personne n' a eu l' honnêteté de vouloir répondre. La forte natalité de la communauté albanaise, bien que directement soumise aux données sociales, pourrait expliquer la croissance numérique des Albanais mais pas la baisse correspondante du nombre des Serbes. En realité, les premiers changements importants dans le rapport des communautés, s' opèrent pendant l' Occupation fasciste. Les forces de l' Axe, incapables de faire face à l' armée des partisans, où les Serbes sont l' écrasante majorité, ce sont appuyés sur les Croates Ustashes dans le Nord et sur la milice albanaise dans le Sud. En Yougoslavie, la guerre contre les partisans et contre le communisme a pris la forme d' un génocide des Serbes. Les Ustashes ont éliminé 1.280.000 Serbes, la plupart d' entre eux dans le troisième plus grand camp de morts dans l' Europe, le Yasenovac. Dans le Sud, les Italiens, pour étendre leur influence dans la région, ont poussé leurs sujets, habitants au Nord du protectorat albanais, d' immigrer massivement dans le Kosovo. L' entrée de 70.000 Albanais qui ignoraient la langue Serbe, a obligé un nombre correspondant de Serbes de quitter la région. Le journaliste Arnold Sherman, sans être communiste ni ami de Milosevic mais correspondant en Grèce de grands journaux américains, a écrit sur ce sujet: "Entre 1941-43 le Kosovo fut un Etat-marionette. Quand l' Italie a capitulé aux alliés, toutefois, en 1943 l' Allemagne y fit irruption. Les répressions se sont vite augmentées et en 1944 la division Skanderbeg des S.S., constituée de volontaires, a massacré des milliers de Serbes et en a obligé beaucoup parmi les survivants à chercher refuge dans le Nord" (tiré de son livre "Mauvaise foi dans les Balkans - le viol de la Yougoslavie") L' héritage de Tito Après la guerre, la communauté serbe de la région a fait face à de nouveaux problèmes, dus cette foi à la politique de Tito. Ce dernier, accédé au pouvoir, a d' abord tenté de se ralier Enver Hodja dans le but de faire de l' Albanie la septème republique de Yougoslavie. Un des premiers Actes de son gouvernement, le 6 mai 1945, fut d' interdire aux quelques 300.000 Serbes, chassés par les autorités fascistes, de rentrer a leur foyer au Kosovo. Sherman, dans son livre, affirme qu' une autre loi de Tito annulait toute transaction de terrain au Kosovo commise durant la Royauté tout en validant les transactions qui eurent lieu durant l' Occupation fasciste. Branco Kitanovic, secrétaire du Nouveau Parti Communiste Yougoslave, dans une interview à "Rizospastis" (organe du P.C. Grec) le 10 avril dit à ce sujet: "Le problème naît sous Tito. A la fin de la guerre, lors de la prise du pouvoir par les partisans, il a interdit aux Serbes de regagner leurs foyers au Kosovo; ceci parce qu' il voulait l' offrir à l' Albanie, à condition qu' elle devienne la septième rèpublique de Yougoslavie. Ceci ne s' est pas réalisé, suite au désaccord entre Tito et Staline. Ultérieurement, quand en 1974 Kosovo est devenu République Autonome, survint la deuxième erreur. Non pas parce qu' il a accédé à l' autonomie, mais parce qu' en fait il a formé un nouvel état au sein d' un autre, la Serbie. A cette époque les Albanais eurent leur propre constitution, gouvernement, asssemblée etc. Or, il est à souligner que dans ladite assemblée les députés étaient Albanais à 100%. Il n' y avait donc pas représentation proportionnelle de toutes les communautés ethniques. Quant à l' Assemblée Lègislative Serbe, et dans toute manifestation politique Serbe, un 20% était obligatoirement accordé aux Albanais, ce qui constitue une contradiction majeure. En plus, sans l' accord des Républiques Autonomes de Kosovo et de Voivodine, la Serbie ne pouvait prendre aucune décision. Ce qui est en contradiction avec la situation des autres républiques constituant la Yougoslavie." ===================================================== Les Serbes de Kosovo, victimes réelles d' une politique d' épuration ethnique Les porte-parole de l' O.T.A.N. soutiennent que le problème au Kosovo a surgi quand Milosevic a annulé, à la fin des années '80, l' autonomie des Albanais garantie par la constitution de 1974. Ceci est une imposture. Les autorités Yougoslaves ont dû faire face à une guérilla qui, manifestée presque dès la mort de Tito, allait s' amplifiant. Milosevic n' a aucun rapport avec les problèmes ethniques puisqu' il acceda au gouvernement de la Serbie une bonne dixaine d' années plus tard. C' est les citoyens Serbes et pas les Albanais qui furent victimes des dèsordres. Un sombre et mystérieux gang, inconnu au grand public, agissant en sous-main, se trouvait derrière des centaines d' attentats terroristes, d' attaques et de meurtres. La cible n' en était pas l' armée Serbe mais de simples citoyens Serbes et Albanais, ainsi que les hommes de la milice confédérale. Suivant certains rapports d' analystes parus dans internet, ce gang s' est groupé sous le nom U.C.K. au cours des grandes manifestations de 1981. Ils se sont pour la premiere fois manifestés publiquement en 1983, revendiquant la responsibilité du meurtre de deux miliciens Serbes. Durant la guerre de Bosnie, 5000 mercenaires de langue albanaise venant de Kosovo, ont participé aux opérations militaires des musulmans bosniens contre les Serbes de Bosnie. C' est à cette même époque que l' U.C.K. a fait son apparition dans la toute nouvelle République de Skopje. Au cours de 1997, la "New York Times" a publié des recherches où selon des documents fournis par Interpol et les autorités Suisses, l' U.C.K. était impliqué dans le traffic de stupefiants et d' armes. Arnold Sherman publie dans son livre de longs rapports sur cette décénie troublée: "Il est évident que dans les projets grandioses de Tito concernant cette région, on a ignoré le manque d' industries ainsi que l' absence totale de sources de minerais et de tourisme, dans une région où des puits étaient empoisonnés, des troupeaux aveuglés et des moissons entières mises à feu dans l' intention d' obliger les non-musulmans qui restaient à partir" (ibid) Cette description est confirmée par les récits d' autres journalistes et écrivains. Très explicite dans le même sujet, Léonidas Hadjiprodromidis, diplômé en Sociologie de l' université de Belgrade, journaliste du journal sérieux "Eleftherotypia" et auteur du livre "Yougoslavie, l' explosion du nationalisme". Il écrit: "Depuis 1981, de plus en plus, les média Yougoslaves commencent à rendre publiques les persecutions que subissent les Serbes et les Monténégrins au Kosovo. Cette région de 10.887 kilomètres carrés, se revèle un champ d' insurrection (souligné par nous) dans lequel toute notion d' autorité et de justice est abolie. Viols, lapidations, incendies de champs, animaux et arbres abbatus, attaques de nonnes, profanation de cimetières Serbes, passages à tabac quotidiens, et menaces remplissent les colonnes des journaux, en particulier à Belgrade, ainsi que les émissions de radio et de télévision. Les Serbes habitant le Kosovo accusent la police et la justice régionales de ne pas prendre des mesures contre les coupables et, aue cas de procès, d' imposer des sanctions minimes." (Il est à souligner que Hadjiprodromidis rend exclusivement responsables du démembrement de la Yougoslavie les communistes Yougoslaves, y compri Slobodan Milocevic.) Il s' ensuit de tout cela, que les habitants Serbes du Kosovo ont été victimes d' invasions d' épuration ethnique, de même qu' à Krajna, Slavonie de l' Ouest et Bosnie. Les Albanais défenseurs de la Confédération Yougoslave, se sont trouvés au même titre qu' eux, le point de mire des mercenaires de l' U.C.K. . Aujourd' hui, les Serbes sont victimes de génocide par les bombardements de l' O.T.A.N., pour la simple raison qu' ils se bloquèrent le chemin à la charge du "nouvel ordre mondial". Une comparaison édifiante Les Albanais du Kosovo jouissaient, après la guerre, d' une autonomie très étendue. Ils possédaient leurs propres temples, leurs écoles, leur université, leur palais de justice, leur chambre de deputés et leur gouvernement. La minorité grecque de l' Albanie du Sud, ne pourrait même pas rêver de privilèges pareils sous le régime de Hodja. Même la suspension d' une antenne qui permettrait de suivre les émissions de la télévision grecque, était punie de cinq ans de prison. Après la dissolution de ce régime, la population grecque a demandé l' octroi des droits démocratiques de minorité. Les gouvernements successifs grecs auraient aisement pu, si elles l' avaient désiré et si les souverains américains le leur avaient permis, provoquer un mouvement séparatiste. Tous les éléments requis s' y trouvaient réunis. Or, quelques essais inconsidérés ont été découragés à temps. Par contre, en 1985, l' U.C.K. a publié sa propre déclaration dans laquelle les intentions séparatistes étaient clairement définies. Bien que cette politique ne fût appuyée que par une faible minorité de nationalistes extrémistes, il a été reconnu par les grandes puissances comme le porte-parole officiel des albanophones (photo de Holbrooke en compagnie des chefs de l' U.C.K. dans leur refuge). Par contre, le poète Rougova, chef modéré des albanophones qui fut soutenu récemment par le vote du corps électoral avec un pourcentage de 90%, fut ignoré par Clinton et ses alliés. Guerre contre la bande des mercenaires L' U.C.K. n' est pas une armée de libération mais une bande de mercenaires de l' O.T.A.N. . Ceci explique le fait inoui qu' il a fait appel à l' O.T.A.N. de lancer des bombes sur les têtes de ses concitoyens, pour fonder à Kosovo un "protectorat international" et mettre sous leur contrôle toute la Serbie. Milosevic, soutenu par le peuple Serbe, est monté au pouvoir avec la promesse explicite d' anéantir la rebellion anticommuniste de la mafia, derrière laquelle se cachait l' impèrialisme décidé de ruiner tout ce que la révolution des peuples de la Yougoslavie, sous la direction de Josip Broz-Tito, avait construit. Sous la pression des événements, le gouvernement de Belgrade a décidé ouvertement de répondre à la guerre de l' U.C.K. par la guerre. Il a demandé aux Serbes et aux Monténégrins de regagner leur foyer à Kosovo garantissant leur protection par une forte présence de milice et de forces spéciales de l' armée Yougoslave. Milosevic avait non seulement le droit, mais le devoir de défendre l' intégrité de la Nouvelle Yougoslavie. Les protestations des défenseurs "progressistes" de l' O.T.A.N. contre l' abolition de l' autonomie sont absolument inconsistantes. Il s' agit d' une guerre. Et, dans une guerre, il est inoui que l' un des combattants assure à l' autre camp "droits" et "autonomie". Le droit de l' autonomie présuppose l' arrêt des bombardements, le départ des armées de l' O.T.A.N., le rétablissement de la paix et l' arrêt de toute tentative armée séparatiste-antirevolutionaire de l' U.C.K., menée depuis 1981. Emigrés, la nouvelle pointe de la propagande Récemment, la nouvelle pointe de la propagande de l' O.T.A.N., par le moyen des media corrompus, qui se trouvent d' ailleurs sous la pression continue des gouvernements des pays de l' O.T.A.N., sont les interviews chiquées des réfugiés Albanais, selon lesquelles, les "bouchers" Serbes et non les bombardements sans merci de l' O.T.A.N. qui ont creusé même les tombes au Kosovo, sont responsables du flot de réfugiés. Les défenseurs de l' O.T.A.N. avancent, comme démonstration indéniable, le fait que les Serbes n' ont pas suivi en masse leurs concitoyens Albanais dans leur exode désespérée. Leur philanthropie n' est pas exaucée tant que la population Serbe refuse de se jeter volontairement dans la bouche du loup; Entre les mains de l' U.C.K. et de l' O.T.A.N., à Skopje et en Albanie! Les criminels de l' O.T.A.N.ont beau exploiter les diffamations calomnieuses, les parchemins "démocratiques" brandis par les pseudologues, et l' ampleur des moyens dont ils disposent, , aucun homme sensé en Grèce et par le monde, n' admettra qu' ils bombardent la Serbie pour des raisons humanitaires! Les évènements se succedent, les pseudologues se voient isolés par le peuple grec. De jour en jour, d' heure en heure, sera revelé leur rôle d' agents rémunérés au service de l' impérialisme. ========================================================== Il y a de l'idéalisme dans ce qu'ils disent mais ils ne faut pas oublier que déjà contre les nazis, les Serbes n'ont pas baissé la tête, au contraire. Ils ont fait face et combattu les Allemands dés que ceux-ci ont mis le pied en Yougoslavie. À titre de comparaison, la résistance en France n'est devenue un phénomène de masse qu'à partir du moment où le régime de Vivhy à commencer à expédier manu militari les Francais dans les usines du Reich. Les Serbes sont un peuple fier et nous ne pouvons pas le leur reprocher. ========================================================== Linux, kde et konqueror font en mélangue détonant, je peux copier-coller entre deux fenêtres de konqueror sans le moindre tressautement de la part du formulaire, héhéhé!