Héhéhé! * IRONIE * Mon (trop bref) commentaire décrivant Lafargue comme un poète était à prendre au second degré. J'entend par là que ce que j'ai lu de lui jusqu'ici ne faisait pas preuve d'une grande rigueur d'analyse, mais plutôt de lyrisme et d'une haine rabique contre les bourgeois, plus pour leur forme que pour leur fond ... Ce que j'avais lu du 'célèbrissime' "Eloge de la paresse" m'avais donné cette impression, mais j'envisageais justement de le relire pour le critiquer de manière plus argumentée [ tu me le prêtera à l'occasion ] * CLICHéS EN STOCK * Bref, je trouve que l'extrait cité sur le ton du "ils préfèrent les animaux aux humains" est complètement stupide. Le végétarien refusent de tuer des animaux quand il y a moyen de s'en passer. Ca me parait normal. Ce n'est en rien idéaliser l'animal, ou le considérer supérieur à l'humain, ou le préfèrer. * ALIMENTAIRE ? * L'animal connait la souffrance et à conscience d'être en vie tout comme l'être humain. Alors pourquoi, alors que dans notre situation, on peu très bien vivre en bonne santé sans manger de viande, tuer pour le plaisir gastronomique? [ puisque ce n'est plus une néscécitté alimentaire ] Le mythe selon lequel il n'est pas possible d'être en bonne santé sans viande est totallement faux. D'autant plus que dans notre société, on mange globallement trop de viande, et les protéines arrachées à des être vivant finissent dans la cuvette des WC ... * L'HUMAIN, "SUR"-ANIMAL ? * L'humain se considère supérieur à l'animal, estime avoir droit de le traiter comme une marchandis, le tuer, le mutiler, l'emprisonner, l'exploiter, etc... Mais de quel droit? La différence entre l'être humain et les autres animaux est extrêment floue. Les concepts affirmants que cette différences résidait dans la conscience de la vie, dans la transmission de savoir, dans l'instinct, dans le langage, dans le mode de pensée cognitive, etc ... on été battu en brèche un par un. L'humain est néanmoisn différent de la majorité des animaux. Parce qu'il s'est écarté des lois de la nature, et à créer ces propres valeurs, humanistes. Ces valeurs rejettent entre autre le crime, et donc la loi de la jungle (à la poubelle l'arguments "c'est dans la nature") * SPECISME * La spécisme (considérer une espèce -l'humain- comme supérieure) est une forme de racisme, accepté socialement. Tout les arguments que l'on opposera aux anti-spécistes seront les mêmes, points par points, que ceux que l'on avaient utilisés contre celle et ceux qui s'opposaient à l'esclavagisme et la traite de noirs "ces animaux". Les prochaines génération regarderont avec dégout les livres d'histoires dans lesquels on racontra que les humains du XXème sicècle mangaient des être vivant pour le plaisir, comme nous reagardons avec dégout l'esclavagisme ou le canibalisme... * LES DOULEURS DES GAUCHISTES * Je suis amusé/e de voir les réactions des progressiste sur ce type de sujet. Beaucoup réagissent mal quand on leur parle de spécisme, de sexisme ou d'homophobie (et parfois même de racisme ou de paternalisme), parce que tout à coup, ces êtres éthiques et moraux se retrouvent du mauvais côté de la barrière... Défense: le rejet, la minimisation... Il faut savoir être conséquent/e jusqu'au bout, et parfois e remettre radicallement en cause... * VEGETARISME? UNE MALADIE PETITE BOURGEOISE ? * Enfin, il ne faut pas se méprendre: le végétarisme ne doit pas être exprimer appliqué de manière fondamentaliste. On ne doit pas être paternaliste sur ce sujet, et surtout pas à l'égard de personnes vivant dans des pays ou l'on manque cruellement de protéines, de fer, etc... Par ailleurs il faut bien comprendre que au delà de l'apparence de "au les gentils zanimaux" il s'agit bel et bien d'une exploitation dans sa forme la plus brutale et ouverte (en tout point comparable aux camps de travail et d'extermination Nazis). Elever des animaux pour leurs viandes est également hautement improductif: en Europe, environ la moitié des terres cultivées le sont pour l'entretien des animaux (nourriture et fourrage -et prairies?-). Le total des éléments nutritifs obtenus par l'abatages de animaux est largement inférieur à celui qui serait obtenu par la culture de ces terrains avec des aliment pour humains...