C'est sûr qu'il faut commencer au niveau local. Chacun peut faire quelque chose dans sa proximité et si chacun le fait, ce sera déjà un grand bout de fait, peut-être même le plus important. C'est bien ce que j'essaye de faire comprendre quand je parle de trouver des solution locales aux problèmes globaux. Les problèmes du chomage et de la dégradation des conditions de travail nécessitent des solutions immédiates pour ceux qui sont déjà dans le dèche ou qui sont menacés de l'être et ce ne peut être que des solutions locales mais ils nécessitent aussi d'élargir son champ de vision et de s'attaquer à résoudre ces problèmes dans leur globalités. Une partie de ces racines se trouvent chez nous, dans la manière dont l'argent est plus généralement investi dans la spéculation que dans l'outil de travail, mais une autre partie du problème concerne nos relations avec le reste du monde. Concerne la manière dont nos dirigeants imposent des traités permettant aux puissances de l'argent et de l'indusrtie de se placer en dessus des lois et des états. Cette partie là du problème est trop souvent occulté, pas seulement par la gauche, mais par l'ensemble ou presque, des partis politiques, et cela les amènent trop souvent à adopter de mauvais choix concernant les réalités locales. À part cela, c'est sur que l'union fait la force et qu'une gauche forte et unie à plus de chance de pouvoir faire entendre sa voix et je te souhaite bonne chance dans cette voie. Je ne connais pas suffisamment la réalité de la politique belge pour me prononcer mais pour les trois pays que je connaît le mieux, la France, la Suède et la Suisse, je vois mal de réelles solutions venir des partis politiques traditionels ou non, ils sont trop compromit dans les luttes de pouvoir et d'argent du système pour cela. En effet, pour moi, ce n'est pas que le capitalisme qui est mauvais mais bien tout le système à commencer par son sens des valeurs. Je suis entièrement d'accord avec Garaudy quand, dans L'avenir: mode d'emploi, il parle de sécession de l'Occident par rapport au reste du monde et qu'il fixe la première de ces sécessions à l'époque d'Aristote et de l'apparition de la philosophie de l'être. C'est une telle philosophie qui à permit à Athêne d'être considérée comme la première démocratie de la planète alors que seul le tier de ses habitants y avait des droits, le reste n'étant que des asclaves. Les dirigeants du monde eux, y croient à ce miracle grec comme nous le désignent les livres d'école. Quand je regarde comment va le monde je suis sûr que non seulement ils y croient, mais qu'ils sont prêts à le mettre en pratique sans plus de scrupules que les Athéniens en avaient viv à vis de leur esclaves. Cette première sécession à eu non seulement pour effet de permettre l'esclavage de masse, mais également et surtout de séparer le monde en deux avec d'un coté nos semblables et de l'autre coté le reste du monde fait de barbares tout juste bon à servir d'esclave ou à être colonisés. C'est d'ailleurs bien ce qui allait se passer plus tard avec le christianisme qui a emprunté en fait bien plus à l'hellénisme d'Aristote et de ses disciples qu'à la vie de Jésus. Je vais m'arrêter là sur ce sujet sur lequel je suis d'ailleur en train d'écrire un texte. Ceux qui sont intéressé par ces aspects philosophique de la vie peuvent lire l'annexe du livre de Garaudy à http://medlem.spray.se/dominique/garaudy/garaudy7.html http://medlem.spray.se/dominique/garaudy/garaudy8.html http://medlem.spray.se/dominique/garaudy/garaudy9.html ou tout le livre dont le but est d'arrêter la mache au chaos , avec ses annexes et commentaires ainsi que l'adresse où se le procurer à http://medlem.spray.se/dominique/garaudy/Garaudyindex.html Vous inquietez pas, ce n'est pas le livre qualifié de révisioniste et anti-sémite. En fait c'est un livre que tous ceux qui veulent essayer de comprendre notre monde devraient lire absolument. Je ne suis pas en train de dire que je suis d'accord avec lui sur tout ce qu'il y dit, mais sur l'essentiel je trouve qu'il est tout à fait dans le vif du sujet. Ce qui va en agacer plus d'un est qu'il ne se contente pas de critiquer avec une science inouïe, il ose pousser l'outre-cuidance jusqu'à proposer des solutions.