arch/ive/ief (2000 - 2005)

À dix heures, trois équipes d'activistes se sont rendues à l'entrée du « Radar » et aux deux entrées du « Mont de Rhodes » pour empêcher tout camion d'entrer dans la décharge ou la carrière.

Cette fois, la police n'a pas arrêté les camions sur la route principale. Elle ne les a pas non plus contrôlés.

Comme d'habitude, la plupart des camions étaient remplis de déchets non triés. Certains conducteurs étaient très agressifs. Deux d'entre eux ont essayé de traverser la barricade humaine. Un des conducteurs a pris des photos des activistes en annonçant qu'il porterait plainte contre eux. (Votre honneur, vous devez infliger une amende à ces gens, ils m'ont empêché de déverser des déchets flamands illégaux dans une décharge illégale.)

Entretemps, M. Fort a perdu son sang-froid à l'entrée principale de la carrière. Il a giflé un activiste (le plus jeune d'entre eux, il sait choisir ses adversaires), a répandu leur déjeuner au travers de la route et a détruit deux tambours que les activistes utilisaient pour garder le moral sous la pluie battante.

À 15 h 30, les blocages à la carrière ont été levés, mais un groupe d'activistes a continué à bloquer l'entrée du « Radar » jusqu'à plus de 5 heures.

Une file de camions rangés le long de la route principale à la Houppe.

M. Fort s'arrête au milieu de la route pour discuter de la situation avec certains des conducteurs de camion.

Un camion remplis de débris veut entrer dans la carrière.

Le conducteur, qui était agressif au départ, mais qui s'est ensuite montré disposé à écouter et à discuter, a dit qu'il voulait simplement garer son camion.

Cet homme a affirmé qu'il voulait porter plainte contre les activistes qui l'empêchaient de déverser illégalement des déchets illégaux. Il a pris en photo les gens venus lui parler.

Un des camions qui ont été empêchés d'entrer.

Cet homme a tenté de forcer le passage vers la décharge d'une manière très agressive et intimidante. Il a cherché à forcer la barricade humaine à trois reprises. Il a même reculé un peu pour pouvoir prendre de la vitesse en essayant de se forcer un passage. Il n'est pas parvenu à pénétrer dans la décharge.