NEW ! A FIDELITYCARD of general interest. by Jean-Pierre MICHEL Thursday January 23, 2003 at 06:04 PM |
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En un mot : l'UNION. En quelques mots : Le "fil conducteur" d'une Solidarité Internationale. Une philosophie inédite : L'APOLITISME au sens de "professer la neutralité". Un programme INEDIT : L'Union des Solidarités du même genre. Un "support" et un projet concret : Une carte de fidélité internationale. La seule carte qui puisse prétendre être d'intérêt général.
Merci de me dire si vous estimez la philosophie (1) et le programme (2) ci-dessous pertinents et de nature à servir la cause des divers partis et mouvements associatifs démocratiques qui visent à une meilleure gestion de l'intérêt général.
Je suis l'initiateur du PROJET CONCRET ci-dessous (voir site http://www.union-u.org) lequel projet constitue une application de cette philosophie et de ce programme inédits. Ce projet est le fruit d'une réflexion menée depuis douze ans à partir d'expériences professionnelles personnelles lesquelles m'ont amené à me poser les questions existentielles en matières politiques et syndicales :
A quoi cela sert-il ? Comment cela fonctionne-t-il ? Peut-on mieux faire ?
1) La philosophie : l'apolitisme
Entendez par « apolitisme » la définition du dictionnaire « professer la neutralité ». Est-il normal que cette philosophie ne soit pas encore accréditée à ce jour ? Il suffit pourtant de l'inscrire dans des statuts pour qu'elle existe (ce que j'ai fait dans ce projet).
Cette philosophie peut parfaitement s'inscrire dans les statuts d'organisations politiques et syndicales existantes en tant que « tendance apolitique » et agir ainsi « de l'intérieur ». Cette dernière se démarquera des autres tendances par la priorité qu'elle accorde au débat et aux synergies avec les autres organisations politiques et syndicales.
Rien n'empêche, en principe, l'apolitisme de se constituer en parti politique ou en syndicat autonomes dans le cadre du programme suivant (2). Pour l'avoir proposé, j'ai eu l'occasion de constater que les systèmes « particratique » et « syndicratique » belges s'accommodent mal d'une telle procédure. Il n'y aurait pourtant, à terme, que transfert de personnes et de compétences vers de nouvelles structures d'intérêt général (voir l'exemple du front commun syndical dont question ci-après). Pour proposer pareille alternative, Il faudrait bien sûr aussi avoir les moyens et le charisme que je n'ai pas. Cet handicap n'empêche heureusement pas de penser… ni d'interpeller ceux qui, comme vous, sont intéressés par le sujet.
Je n'ai reçu à ce jour aucune réponse des partis et syndicats traditionnels belges que j'ai contactés. J'en déduis qu'il est sans doute dans l'ordre des choses que les petites organisations se mobilisent en premiers.
Afin de dissocier l'apolitisme des organisations à caractère antidémocratique, j'ai pris la précaution de subordonner cette philosophie à l'objectif que constituent les droits de l'Homme. Il est capital en effet de professer aussi la neutralité en matière d'interprétation des droits de l'Homme. A défaut (il y en a qui se battent sur leur interprétation) l'apolitisme retomberait dans un système partisan… et ne serait plus.
Honnêteté et rémunération des employés et mandataires apolitiques : N'est-il pas plus facile d'être honnête lorsqu'on est payé pour demander l'avis des autres en professant la neutralité (il n'y a pas d'obligation d'adhérer à un programme particulier) que lorsqu'on est payé pour adhérer et faire adhérer les autres à un programme de gauche, de droite ou d'ailleurs ?
2) Le programme : L'Union des Solidarités du même genre
J'ai choisi cet ensemble de mots pour signifier « toutes les synergies possibles à tous les niveaux de gestion de l'intérêt général et dans tous les domaines ». Le rapport qui lie ce programme à l'apolitisme est le même que celui qui lie le corps à l'esprit. Il est symptomatique que le mot « Union » employé isolément n'était pas déposé au Bureau des Marques pour cet usage, ce que je me suis empressé de faire.
Exemples d'Unions des solidarités du même genre : a) les organisations syndicales partenaires de ce projet. b) le « front commun » syndical dont tout le monde parle (en Belgique) mais qui n'existe pas vraiment. c) toute alternative politique ou syndicale qui propose d'approfondir ou dépasser les niveaux de solidarités existants.
Exemple concret : J'ai eu l'occasion de poser la question suivante à un délégué permanent syndical de la FGTB (Un des 3 principaux syndicats belges): « Si vous aviez le choix, travailleriez-vous pour le front commun syndical ou pour la FGTB ? ». Réponse : « Pour le front commun syndical… mais ils (les instances syndicales) ne voudront pas ! ».
Est-il normal qu'il n'existe pas non plus de « front commun » des organisations des classes moyennes alors qu'elles prétendent pourtant défendre les intérêts des mêmes catégories professionnelles ?
Est-il normal que des citoyens comme moi, qui sommes passionnés de politique, de syndicalisme et de mondialisation positive soyons traités comme je l'ai été ? (boycott, diffamation, mobbing et tutti quanti). J'ai même été accusé d'avoir « de dangereuses pensées » pour oser revendiquer m'affilier directement au « front commun syndical » qui est couramment cité en Belgique mais qui n'existe pas vraiment.
N'est-ce pas le simple bon sens qui commande que les organisations syndicales et professionnelles entreprennent enfin la promotion de leur image de marque, qu'elles se garantissent d'un mode de financement adéquat et qu'elles développent entre elles les synergies et les partenariats qu'entend le « lobbying » le plus élémentaire nécessaire pour faire pression sur le législateur ?
A défaut d'une image de marque, faut-il que le mot « syndicat » souffre encore longtemps d'une interprétation péjorative et abusive couramment véhiculée, alors que ce mot ne veut rien dire d'autre qu'une organisation qui défend les intérêts de ses membres ?
Conclusion :
Dans mes tribulations, j'ai eu l'occasion de constater à quel point la peur d'entreprendre et le désabusement des gens sont déconcertants. J'ai compris que ce n'est pas le fruit de la bêtise humaine mais d'un véritable enseignement, d'une culture même ! La culture de la compétition et de l'individualisme (moi d'abord et l'intérêt général ensuite… s'il en reste) et son corollaire qu'est la subordination aveugle ou seulement prudente au pouvoir établi (pour ne prendre aucun risque, se faire valoir, faire avancer son projet, obtenir des subsides, un emploi, une augmentation, une promotion, etc…, ou sinon, par habitude tout simplement. Il en résulte le « pluralisme imposé », la « particratie » et le désabusement que l'on connaît.
S'il fallait quantifier la responsabilité des hommes politiques et syndicaux dans ce dysfonctionnement fondamental, je dirais qu'elle est inversement proportionnelle à l'importance qu'ils accordent à la représentativité effective de leurs organisations et aux synergies les plus évidentes que ces dernières se devraient de développer entre elles. Faites votre calcul.
Merci de me dire dans quelle mesure vous souhaiteriez débattre de ce sujet ainsi que de l'intérêt des partis politiques (syndicats et autres associations) démocratiques d'agréer une tendance « apolitique » en leur sein. Cette tendance se distinguerait des autres par la priorité qu'elle accorde aux synergies avec les autres organisations.
Le site Internet http://www.union-u.org comporte un argumentaire en 17 points et un forum qui vous permettront de préciser vos avis sur différents aspects de ce projet.
Jean-Pierre MICHEL
PROJET CONCRET :
1) QUEL PROJET ?
La création d'une Union (internationale) des consommateurs dont l'objet est limité à la « négociation collective » d'avantages financiers sur le plus grand nombre possible de produits et services.
L'accès à ces avantages sera subordonné (à terme) à l'affiliation préalable des membres aux organisations partenaires de leur choix (syndicats, organisations professionnelles, ONG, associations de consommateurs et de citoyens, etc…). Il s'agit donc aussi d'un mode de financement des organisations partenaires.
En d'autres mots, ce projet a pour objet la défense du « pouvoir d'achat » et donc des « moyens d'existence » des consommateurs… et donc aussi d'un plus JUSTE PRIX.
Une Union des professionnels indépendants et PME est également proposée compte tenu du potentiel emploi de ce secteur et des « moyens d'existence » qu'il génère. L'Union des consommateurs ne pourra donc nuire à l'Union des professionnels. Au contraire la première référencera la seconde.
2) QUELLES PERSPECTIVES ?
La perspective de débarquer sur le marché des cartes de fidélité avec la seule carte qui puisse prétendre être d'intérêt général du fait de participer au financement de ses organisations syndicales partenaires. La perspective de développer une structure dont les statuts imposent d'additionner les représentativités de ses partenaires au lieu de les mettre en compétition. La perspective, dès lors, d'intéresser et d'affilier le plus large public. Tel est l'enjeu. Telles sont les perspectives.
3) QUELS SERVICES ?
a) La « Centrale d'achat » permet d'annoncer GRATUITEMENT vos demandes en produits et services dans la mesure où vos informations nous parviennent par Email et aux formats demandés (txt et jpg). A défaut, il vous suffit de vous procurer un « bulletin d'annonce » à obtenir et déposer auprès de votre syndicat, votre association, votre « libraire du coin » ou votre « cyber du coin », partenaires de l'Union. Dans ce cas, une participation aux frais (1 € par annonce et par photo) vous sera demandée. L'Union se charge ensuite GRATUITEMENT de publier ces annonces anonymement sur son site Internet, de négocier les conditions les plus avantageuses avec les fournisseurs, et de vous en informer. Une participation aux frais (PAF) vous sera demandée si vous décidez d'acheter auprès d'un fournisseur que nous vous renseignerons.
b) toutes vos « petites annonces » GRATUITES si vous êtes client du premier service. A défaut, voyez notre TARIF.
c) des « ristournes directes » auprès des fournisseurs agréés qui affichent le logo de l'Union (pas encore opérationnel)
d) des « bons pour emploi » GRATUITS pour les personnes autorisées ou répondant aux critères d'exemption de payer la cotisation (voir point 6 ci-après).
MODE D'EMPLOI des services a) et b) : Consultez notre site Internet http://www.union-u.org Lire le texte en page d'accueil. Cliquez sur le bouton « Consulter et annoncer l'Offre et la Demande ». Cliquez ensuite sur le bouton « Annoncer ». Lire le mode d'emploi. Copiez/coller le questionnaire ad hoc qui vous concerne sur votre Email et nous l'envoyer.
4) LES EMOLUMENTS DE NOS AGENTS ET PARTENAIRES :
Une ristourne de 20% leur sera versée sur le montant de la PAF (Participation Au Frais) demandée en cas d'achat effectif via notre Centrale d'achat. Cette PAF est limitée au quart des ristournes négociées avec les fournisseurs. La même ristourne est prévue sur la fourniture et la collecte des bulletins d'annonces (prix conseillé de 1 € par annonce et par photo). A noter que ces ristournes pourront être doublées en fonction des « bons pour emploi » auxquels les membres « sponsors » ont droit.
D'autres services complémentaires pourront être proposés, à vos conditions, tels que : photocopies, scannage de photos, encodage de textes en format txt, mise à disposition de connections à Internet, etc...
5) GARANTIES DEMOCRATIQUES D'INTERET GENERAL :
a) L'ASBL « UNION » sera gérée par ses propres membres et ses associations partenaires au prorata de leurs représentativités. Il est proposé à chaque nouveau membre de devenir membre effectif avec droit de vote à l'assemblée générale. Les statuts imposent de développer le maximum de synergies avec toutes les organisations partenaires compatibles avec les droits de l'Homme.
b) L' ASBL limite son action à la « négociation collective » d'économies d'échelles. Elle ne peut se substituer à ses membres dans l'acte d'acheter ou de signer un contrat (Elle les informe). Elle ne peut céder d'exclusivité à aucun fournisseur. La vente de ses services n'est pas soumise à la TVA (Article 44 § 2 - 11 du Code de la T.V.A) du fait d'être « la prolongation d'une activité syndicale ».
c) Cette ASBL coordonnera ses actions avec d'autres personnes morales (associations, scrl, etc…), lesquelles prendront en charge les actions à proprement parler « commerciales ».
d) Ce projet est aussi un mode de financement inédit des organisations syndicales (au sens large et noble du terme) partenaires. En effet, il est proposé (à terme) que l'accès aux avantages financiers soit subordonné à l'affiliation préalable aux organisations syndicales adhérentes de votre choix.
e) Proposer une enseigne (logo) capable de séduire les consommateurs et les indépendants pour quatre raisons : par l'adéquation de ce projet au processus de mondialisation, pour son potentiel emploi (estimation : 25.000 emplois en Belgique ou 0,25 % de la population de votre pays), par intérêt pour la compétitivité retrouvée des indépendants, et du fait de la promotion de cette enseigne.
f) Ce projet est « apolitique » au sens de « professer la neutralité » afin de garantir l'ouverture du réseau à toutes les organisations syndicales. Voyez à ce sujet l'explication qui est donnée de cette philosophie en page « FORUM » de notre site Internet http://www.union-u.org .
Dès que vous me confirmerez votre intérêt, je vous ferai parvenir un exemplaire du dépliant publicitaire destiné au « grand public ».
6) UN CADEAU INEDIT : Des « bons pour emploi » GRATUITS !
Un moyen de financer votre association !
Un emploi ou un revenu pour ceux qui en cherchent !
Il y a trois possibilités pour se faire membre (cotisations de 0 €, 12,5 € ou 125 €). La cotisation de 12,5 € donne droit à des ristournes de parrainage de 10% limitées à 125 €. La cotisation de 125 € donne droit à ces mêmes ristournes + les « bons pour emploi » décrits page « PARRAINAGE » du site Internet . Les étudiants, demandeurs d'emploi et RMIstes qui certifient remplir les conditions d'exemption bénéficient du droit de payer la cotisation de 125 € exclusivement en déduction des ristournes de parrainage et des « bons pour emploi » auxquels ils ont droit. Toute personne qui parraine une association partenaire bénéficie également de ce droit.
C'est la réponse à la question : "Par qui avez-vous entendu parler de l'Union ?" qui décide du parrainage. Dès lors, au plus tôt vous parrainerez le plus de monde possible, au plus vous bénéficierez de "bons pour emplois". N'oubliez pas que si ces "bons pour emploi" (ou formation) ne vous intéressent pas personnellement, ils intéresseront sûrement un de vos proches ou une association de votre choix.
Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Salutations
Jean-Pierre MICHEL