arch/ive/ief (2000 - 2005)

Protesta : Pourquoi tu es ici ?

Silvio Marra : Je suis ici pour soutenir la résistance des peuples du monde contre l'impérialisme américain. Je ne suis pas simplement contre la guerre, je suis ici pour soutenur la résistance des gens qui ne veulent pas se soumettre aux diktats des Etats-Unis et de ses alliés. Moi je sais ou sont les armes de destruction massive : ce sont les bombes atomiques qui sont en amérique et dans les autres pays. Il y en a des milliers etc eux là il faudra certainement les détruire.

Protesta : Comment on va y arriver ?

Silvio Marra : Il faut se mobiliser pour que le peuple exige la destruction de ces armes là. On y arrivera quand le rapport de force changera.

Protesta : Ca arrivera comment ça ?

Silvio Marra : Avec une prise de conscience des peuples du Tiers-Monde, qui commencent de plus en plus à avoir une haine particulière contre les Etats-Unis d'Amérique, mais également sous la direction de la classe ouvrière des pays un petit peu plus dévellopés comme l'occident. Je ne pense pas que la parentèse du communisme s'est arretée. Je suis convaincu que c'était une étape, une expérience et que on doit commencer une autre étape, une autres expérience.

Protesta : Quel est le lien entre le mouvement des gens de Clabecq et le mouvement contre la guerre ? A priori, c'est pas forcément lié.

Silvio Marra : Disons que le mouvement de Clabecq, c'était dire non au fatalisme, ne pas accepter les chose qui ne sont pas justes et donner l'exemple de la résistance aux injusticeSilvio Marra : la guerre, le racisme, l'exclusion, la misère, le chomage,... Tout ce qui est anti-populaire, Clabecq a dit : non, nous ne sommes pas d'accord avec ça, et nous avons prouvé que c'était possible de dire non, de de faire agir les travailleurs en conséquence.