arch/ive/ief (2000 - 2005)

Judicial Watch veut savoir pourquoi Maison Blanche a commencé à prendre du Cipro dès le 11 septembre.

(Washington, DC) -- Judicial Watch, le groupe d'intérêt public qui étudie et poursuit la corruption et les abus du gouvernement, a indiqué aujourd'hui qu'elle a intenté des procès contre le bureau fédéral de la recherche (FBI.), du département de la santé et des services humains (HHS.), le centre pour le contrôle des maladies (CDC.), l'institut de recherche sur maladies infectieuses de l'armée des États-Unis (USAMRIID.) et le service postal des États-Unis (USPS) pour l'impossibilité d'obtenir des documents au sujet des attaques à l'anthrax d'octobre 2001, malgré les dispositions de l'acte sur la liberté de l'information (FOIA.).

Judicial Watch a des demandes en suspens à la Maison Blanche et d'autres organismes gouvernementaux qui subiront l'action judiciaire dans les deux semaines.

Judicial Watch représente des centaines d'employés du service postal de Brentwood à Washington, DC. Jusqu'à la condamnation du service de Brentwood par la CDC, les employés de la poste de Brentwood ont manipulé tout le courrier pour Washington, DC, y compris les courriers officiels qui ont contenu les enveloppes chargées d'anthrax adressées aux sénateurs Daschle et Leahy.

Tandis que les employés de Capitol Hill recevaient rapidement des soin médical, les fonctionnaires d'USPS ont forcé les employés postaux de Brentwood à continuer à travailler dans le service contaminé. Deux employés de Brentwood sont morts pour avoir inhalé de l'anthrax, et des douzaines supplémentaires souffrent d'une grande variété de maux liés aux attaques par l'anthrax. Une série d'actions judiciaires sont intentées, pour marquer la différence de traitement et l'insouciance avec laquelle on a mis la vie des employés postaux de Brentwood en danger.

En octobre 2001, les communiqués de presse ont indiqué que le personnel Maison Blanche avait reçu du Cipro, un antibiotique puissant, depuis les attaques terroristes du 11 septembre. Judicial Watch suit activement ces révélations, et veut savoir pourquoi on a pris la décision de faire prendre au personnel de la Maison Blanche, et au Président Bush en personne, du Cipro quasi un mois avant que l'on n'ai détecté de l'Anthrax sur Capitol Hill, et qui a pris cette décision.

Le peuple américain mérite une explication détaillée de la part de l'administration Bush, du FBI et des autres agences qui se sont occupées de la crise de l'anthrax. Les enquêtes du FBI semble être au point mort, et franchement, ce n'est pas très rassurant vu leurs performances avec les terroristes du 11 septembre, a déclaré le Président et le conseiller juridique de Judicial Watch Larry Klayman. "Personne ne commence à prendre un antibiotique puissant sans bonne raison. Les Américains doivent savoir ce que les responsables de la Maison Blanche savaient il y a neuf mois.", a-t-il ajouté.