50 personnes pour une by Arnaud Saturday February 02, 2002 at 04:38 PM |
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Ce samedi 2 février, une cinquantaines de manifestants soutenant la population argentine dans son rejet du système actuel se sont rassemblés, place du Marché à Liège à l'appel de l'Intersidérales.
L'Intersidérale invitait les liégeois à 14h pour un concert de casseroles, place du Marché, en face de l'hôtel de ville. C'est près d'une cinquantaine de musiciens aux casseroles qui ont répondu à l'appel. Sous un beau soleil d'hiver, ils ont joyeusement fait résonner leurs instruments face à de nombreux passants intrigués mais, malgré tout intéressés.
Cet évènement local répondait à une démarche plus globale pour soutenir les actions du peuple argentin qui depuis le mois de juin se soulèvent dans tous le pays. Des actions du même genre prennent et prendront place dans le monde pendant tous ce week-end du 2 et 3 février de Buenos Aires à Porto Alegre.
Demain, une action semblable prendra place à Bruxelles le dimanche 3 février à 12h en face de l'ambassade d'Argentine.
Appel de l'action globale (http://www.archive.indymedia.be/front.php3?article_id=16572&group=webcast)
"Pourquoi Argentine?
Parce que l'Argentine c'est l'example le plus éloquent et actuel de la capacité destructive du capitalisme transnational. Masqué derrière d'un système politique pseudo démocratique et corrompu.
Une partie de la population du pays qui jadis avait été le "grénier du monde", un pays fait du pain, avec des grande richesses naturales, d'espoir et destin de millions d'inmigrés pauvres du monde entier au débutr du Xxème siecle, est maintenont sur la famine. Quinze de 36 millions d'argentins vivent au dessous de la ligne de pauvreté. Le chômage est superieur au 23%, le pouvoir d'achat est descendu un 50% en les derniers cinq années. Entre 50 et 100 enfants meurent chaque jour par des causes tout à fait évitables
Ce qui était le pays plus riche d'Amérique du Sud fût ruiné totalement: la dette exteriure maintenont es de 150.000 millions de dollars. 90% des banques et 40% de l'industrie est maintenont dans les mains de compagnies transnationales étrangères. 40.000 millions de dollars, produit de la privatisations corrompues du gouvernement de ex président Menem, se sont évanouis. L'evation fiscale est monte en 1998 à un montant de 40.000 millions de dollars, c'est à dire, la moitié des impôts annuels. Argentine comme l'éleve modèle du neoliberalisme est le paradigme, tant aux conséquences sociales quant à la trasference de recours du pays à l'exterieur.
La crise actuelle c'est le sommet des derniers 25 ans de néoliberlisme imposé saignant par la brutale dictature militaire ˆ1976-1983- qui a laisse un sombre bilan avec 30.000 disparus, des milliers de torturés, détenus et exiliés, qui à son moment avait le support du Fond Monétaire International (FMI) et du gouvernement américain. Sous le régime militaire, la dette exterieure ait monté de 8.000 à 40.000 millions de dollars. A partir de ce moment, le remboursement des prêts du FMI et de la Banque Mondiale et la continuité des politiques neoliberaux sauvages sont la priorité numéro 1 de la direction politique du pays. La dette extérieure, qualifiée comme Ilegitime- Injuste et Non remboursable a éte et continue de l'être le mechanisme estrctural de la domination et la transférence des richesses et recours vers les grands centres financiers internationales. Le président Menem, avec ses politiques de "equilibre fiscal" en coupant les services sociaux, la salut, l'education de la plupart de la population, les privatisations des entreprises de services nationales et la vente totale du pays a été le favorit des institutions financières mondiales. Le FMI accoradit chaque fois des nouvaux crédit, imposant des mesures impopulaires et qui étaient d'abord impayables par les mêmes conditions que le FMI impossait. Chaque fois que les objectifs imposés par le Fond n'étaient pas atteints, le Fond accordait encore des nouveaux prêts, avec des conditions plus sauvages que les anterieurs et qui menaient à des politiques de comportement fiscal encore plus dures. La dirigénce politique corrupte c'est enrichie sans mesure pendant ces années. Ce sont eux qui ont réparti entre eux las bachik des saquage du pays avec la aissance des grandes bancs, les entreprises internationales et les centres du pouvoir global.
Argentine n'est pas léxemple d'un pays pauvre, c'est léxample d'un pays détruit, et qui avait souffert le pillage de ses resorces et la dévastation de de sa structure productive, brisé le tissu et capital social, et déporvu de sa dignité et identité colective. L'Argentine c'est l'example accompli que le foncionement du capitalisme transnational qui fonctionne comme une bombe à neutrons, qui détruit tout ce qu'est vivant, en laissant une svenographie vide et un pays mort. L'ARGENTINE C'EST LE MIROIR GLOBAL DU CAPITALISME NEOLIBERAL; L'ARGENTINES EST TON FUTUR, L'ARGENTINE EST UN SCENARIO GLOBAL.
Mais aussi l'Argentine est aussi, ces dernières années, et specialèment à partir de l'insurgence populaire du 19 et 20 Décembre du 2001, qui à fait démissioner le gouvernement du President de la Rúa, un example du peuple qui a dit assez! Arrêtons d'être victimes! Arretôns d'être l'objet passif des saquages du capitalisme colonial!
Le peuple argentin, d'abord les chômeurs et les travileurs exploîtés et avec faim avec la movilisation dans les routes du pays, et maintenot avec la classe moyene urbaine apauvrie , avec ses épargnes et ses espoirs volés à travers de la movilisation dans la rue avec les casseroles à produit une rupture irréversible avec le régime établie.
Les deux premières semaines de Décembre du 2001, se sont produit deux séries de mouvements: d'une part, les massees appauvries et avec faim se sont lancés sur les hypermarchés et grandes surfaces, d'abord en les démandant des sacs de procisions, d'une façon organisée et auto-limitée, et puis avec l'entrée à sac dans les marcheés;d'autre part l'administration De la Rúa et son Ministre de Finances Cavallo, ont pris de mesures économiques qui confisquaient et limitaient la libre disposition des fonds dans les banques et des épargnes des particuliers et entreprises, et aussi des salaires, ce qui a constitué un grand coup contre la classe moyenne et basse, avec des salaires bas et petites retraites. A partir du 17/12 tout est pris d'un cours plus véloce et sans contrôle; le gens entraient dans les grands surfaces dans tout le pays, par la télevision on voyait des femmes, des jeunes, des vieux et enfants qui prennaient les provitions qui pouvaient, et pleurant avec honte devant les caméras, d'indignité et de rage. La nuit du 19/12, le gouvernement ait émis un décret déclarant l'êtat de siège, sans consultation prevue dans la Constitution au Parlement. Le président avait parlé au pays par TV, une fois son discours terminé, les casseroles ont commence a sonner dans les quartiers et inmeubles de la classe moyenne de Buenos Aires. Ce son, d'abord timide et dispers, au lieu de de s'éteindre, avait augmenté en intensité et aussi en extension. A la TV on informait que un phénomene espontanée s'était formé, et qui débordait dans tous les quartiers de la ville: c'était le "Cacerolazo".Les sons ont mis les corps en mouvement el les gens ont commencé a sortir dans la rue et se retrouver aux carrefours des quartiers.Cet acte, en soi même, constituait une désobéissance a lñ'êtat de siège, que, entre autres choses, annule le droit de réunion dans les endroits publics de plus de 3 personnes. Les gens se sont concentrés dans chaque quartier, et à un moment donné, vers minuit, ont commencé à se déplacer vers la "Plaza de Mayo", où se trouve la "Casa Rosada", siège du gouvernement national. Cette place a été dès le debout de l'organisation nationale, le scénario de la plupart des grands évenements politiques et historiques. Les média, la TV et la radio informaient et amplifiaient la proteste populaire. Des miliers des personnes dans tous les quartiers de la capitale sont descendus dans les rues. Des femmes avec des possettes avec des enfants, des viellards, des hommes mûrs de la classe moyenne, les étudiants, les chômeurs, les Mères de Plaza de Mayo, ..............et presque acun personage politique. Les gens chantaient:"Quel cons, quel cons, l'êtat de siege se l'enfoncent au trou!!!!" et aussi "Qui partent tous, que ne reste pas aucun!". Le gouvernement ayant ressenti la pression populaire, avait ordonné la répresion policière, des chocs entre la police et les maniféstants on étés continuées les suivantes 20, la plupart faisant de la résistance non violente, et le reste avec des pavés et barreaux contree la police. Résultat: des nombreux détenus et blessés et ....... seppt morts par les balles de la police dans le centre ville.Sept citoyens, tués sur place par la police argentine, comme le fût Carlo Giuliani à Genoa. Sept "Carlo Giuliani" à Buenos Aires, partie des treize victimes mortales dans tout le pays, et qui probablement auraient été plus si De la Rúa n'avait pas démisioné la nuit du 20/12 et partait en hélicoptère de la "Casa Rosada".
Les protestes des voisins et chômeurs n'ont pas cessé jusqu'au présent, et commencent à changer l'histoire argentine. Les soulevements populaires ne sont pas conduits par aucun groupe politique determiné, qui sont réjectés par la plupart des gens ainsi que la conduction sindicale. Au contraire, le mouvement est characterisé par le fait d'être absolument spontané. Il y a une auto-convocatoire populaire en base du territoire, à travers des assemblées de quartiers, totalement autogestionées, horizontales et démocratiques. On voit une profonde rupture qui se produise et un changement culturel et politique dans un vaste spctre de la population. Ce changement a été prenoncé par le refus de voter ( presque 50% du padron) dans les dernières élections parlamentaires du passe 24/10/01 (en Argentine le vote est mandatoire). Les organsations de Droits Humaines et les organisations de base sont part de cettes protestes.
· L'alliance hégemonique entre les groupes capitalistes plus concentrés et les "representants politiques, a perdu complètement sa legitimité et c'est l'objet de pressions sans précedents para la movilisation populaire. Le régime, tel qu'on le connait aujourd'hui, est seriesement divisé, blessé, confus et acharné par la montante résistance citoyenne.
· ARGENTINE EST L'EXACTE DEFINITION D'UNE CRISIS, LE VIEUX REGIME EST MORT; LE NOUVEAU N'ARRIVE PAS A NAÎTRE. Les perspectives sont uncertaines, mais le futur est abolument ouvert. Les sentiments de peur au chaos se sont melés à une nouvelle et inconnue joie par le pouvoir et dignité recuperés. La peur de répeter le passé dictatorial et genocide, la fsacination de la création d'une nouvelle sociéte.
· L'Argentine est au milieau chemin entre l'abisme de la dissolution sociale et nationale et d'un processus de re-construction.
· L'Argentine est un scenario global, et le peupleargentin a besoin de la solidarité eficace des citoyens du monde pour résister et Gagner cette bataille; une bataille que va être longueet qui n'as pas fait que commençer. Il faut bâtir des réseau mondiales d'information, dénonce, d'action directe, d'appuie, de lobby, etc.
· Des actions de solidarité avec le peuple argentin on été lie dans plusieurs villes mondes, et d'autres vont se développer. Nous avons des nouvelles à propos de ceci de Barcelona, Bilbao, París, Toronto, Montreal, Oviedo, Berlin, Madrid, Londres, Porto Alegre, Nueva York. A Barcelona se s'est éfectue un grand "cacerolazo" devant du consulat argentin, en coordination avec des citoyens à Buenos Aires qui l'ont fait en face de l'Ambsssade de Espagne, toutes les deux en refus des multinationales tel Telefónica et au gouvernement espagnol par sa conduite colonial e Argentine. Cette action concerté a constitué le premier pas et antécedent du caerolazo global.
· FAISONS QUE LA RESISTANCEARGENTINE SOIT AUSSI GLOBAL QUE LE CAPITALISME OPRESSANT.
· UNE AUTRE ARGENTINE ET UNE AUTRE MONDE SONT-ILS POSSIBLES ET NECESSAIRES.
Pourquoi le 2/3 Février 2002?
· Entre le 31 Janvier et le 5 Février aura lieu à New York le ressamblement annuel de Forum Economique Mondial (World Economic Forum/WEF), aussi connu commme forum de Davos, parce que jusque à cette année c'est toujours dévelope à la ville suisse de ce nom. Dans ce Forum son répresentés les plus hautes répresentations d'entreprises, financières, academiques et politiques du monde capitaliste gobalisé. Là, chaque année, les pouvoirs du planète renforcent son aliance vis à vis le reste du monde. Dans les dernières annés, cette réunion a dû faire front à des manfestations de proteste chaque fois plus dures de la part des citoyens des mouvements globales anti-capitalisme, les mêmes qui ont eu une grande répercussion avec des multitudinaires manifestations dans le blocages à Seattle, Prague, Genoa et d'aitres lieux où los gouvernants et les propiétaires du monde se reunissent à porte fermée à décider le destin de l'humanité. Chaqu'un de ses évenements se sont transformés dans batailles pareils à ce qui ont lieu en Argentina à Plaza de Mayo entre le 19 et 20 de Diciembre de 2001. En chaque opportunité, le capitalisme transnational a éte dénoncé par ses effet terrorifiques et destructives de la vie naturelle et sociale du planète, chaque fois est sorti sans légitimation et questioné, coome en Argentine l'est la "classe politique", et l'haine publique tourne chaque fois plus difficile pour ces organisateurs la realisation de ces réunions. Chaque fois il les faut s'entourner de plus en plus de policiers pour réprimer sauvagement aux manifestants, comme en Argentine, et dans la dernière oportunité, a Genoa, Italie, où ils sont arrivés à tuer à sang froide au jeune homme Carlo Giuliani, comme les jeunes hoomes qui ont été tués à Buenos Aires. C'est por ça que les organisateurs cherchent à se refugier derièrre des grandes messures de sécurite, et cette année ont decide de realiser le Forum de Davos à New. Mais ils se trompent s'ils attendent s'ils attendent echapper aux protestations de refus. Des liliers de manifestants se préparent déjà pour exprimer sa comdenation par les désatres imposés par ces gens au planète. Et cette anné le "cas Argentin" sera mis à la lumiere par mésure de batement de casseroles à New York, que dans le cas argentin est le clair reflêt des politiques,interêts et conductes perverses de qceux qui sont réunis dans WEF.
le samedi 2 Février, est sera accompagné à la même date par des "cacerolazos" dans plusieurs villes du monde, particulièrement au Canada, Europe, specialement Espagne et Amérique du Sud, spécialement à la ville de Porto Alegre, Brésil, où ont lieu à la même date le Forum Sicial Mondial, aussi connu com le Forum Alternatif ou anti.Davos. Le Forum Social Mondial a eu une grande ouverture en Janvier 2001, reunissant 20.000 personnes de centenaires de mouvements, ONGs et citoyens du monde entier opossant à la globalissation capitaliste, et attends réunir à cette ocassion 50.000 citoyrens du monde entier sous la device "Autre planète es possible".
· C'est dans le marque où convergent des sentiments globaux de indigantion et refus du capitalisme transancuional, et avec les meileurs voeux et espoirs de pouvoir un · autre planète possible"que nous invitons à tous les citoyens à sonner toutes ensemble les casseroles dans le monde entier dans un gigantesque concert de casseroles mondial!!!! Faire sonner toutes les casseroles por une "Argentine possible"
· PARCE QUE LES MEMES ENNEMIES DU PEUPLE ARGENTIN, LES MEMS TRANSANACIONAUX, LES MEMES ORGANISMES COMME LE FOND MONETAIRE INTERNATIONAL ET LA BANQUE MONDIAL, LES MEMES GOUVERNEMENTS ET SISTEMES POLITIQUES CORROMPUS SONT LES ENNEMIS DU PEUPLES DU MONDE ET DE LA VIE SUR LE PLANETE.
· PARCE QUE COMME ON DIT EN ARGENTINE"ICI ON SE SAUVE ENTRE TOUS OU IL NE SE SAUVE PERSONNE", AUSSI LES PEUPLES PEUVENT SE SAUVER SOLIDAIREMENT, OU TOUS SERONT DTRUITES PAR LE CAPITALISME GLOBAL.
POURQUOI UN "CACEROLAZO"?
Le "Cacerolazo" se globalise commo proteste, il a comme méthode plusieurs avantages:
· C'est absolument non-violent
· Il n'est pas absolument legitime, sinon il est aussi legal
· Il est un méthode absolument simple et populaire, il ne faut pas des technologies coûteuses, ni training ni des habiltes speciaux, c'est massif, et toute la famille peut y participer.
· C'est la fête, du carnival.
· Dans le contexte actuel, le mot et l¡action "caerolazo" ˆen espagnol-signifie Argentine, comme la parole disparu.
· Un grand battemet de casseroles à New York face au WEF et au même temps à Porto Alegre et d'autres villes dans le monde, il va être une façon absolument légitime, non-violente. Efective, masive et populaire de se solidariser avec le peuple argentin, et au même temps dénoncer y montrer au monde la crise univeselle du paradugme neoliberal soutenu par le WEF; Argentina c'est la demostration de la crise du consensus de Washington et les recettes neo-liberaux du FMI/WB Banque Mondiale.
· Dénoncer mondialemet qu'après le vol, il faut la repressiom et violence contre les peuples, surtout les Argentins à ce moment.
· Il faut faire responsables de cet inminent péril de violence et guerre civile aux Multinacuionales, au FMI/WB, à l'Union Européene, au G8 et à tous ceux qui se reunissent dans le WEF.
VOISINS ET CONCITOYENS DU MONDE:
PARCE QUE AUJOURD'HUI TOUS SOMMES ARGENTINS, LE SAMEDI ET DIMANCHE 2 ET 3 FEVRIER FAISONS SONNER NOS CASSEROLES GLOBALEMENT."
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